nom : HEMSWORTH prénom(s) : June Novah âge : 24 ans lieu et date de naissance : 1 juin 1989 à Manatthan, New-York statut civil : célibataire métier/occupation : 4 ème année de droit nationalité : américaine  orientation sexuelle : hétérosexuelle caractère : Novah est une personne particulièrement positive, enjouée, drôle, charismatique et énergique. On peut aussi la considérer comme étant trop insouciante, immature, irrationnelle, tête en l'air et lunatique, mais au final, elle demeure une jeune femme qui gagne à être connue. Elle a un bon coeur, est très sincère et est énormément généreuse. Évidemment, le fait qu'elle prenne presque tout à la légère peut se révélé être un grand problème, mais ses proches ne cessent de la résonner. Rien à faire. Elle ne veut pas vieillir et elle est incapable de prendre des décisions sans l'aide des siens. Bref, un être complexe, mais très charmant. groupe : anesthesia avatar : ici. type de personnage : scénario

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? A vrai dire, je suis une petite chanceuse, jamais une foulure ou une entorse, même au petit doigt! Jamais de fièvre trop élevée ou d'accident de voiture. Sauf mon entorse au genou.  Enfin bref jamais de bonnes raisons d'aller à l'hôpital, jusqu'à il y a 6 mois, ou j'ai commencé à avoir des migraines oculaires très fréquentes, et encore plus depuis 4 mois, où j'ai été admise en oncologie après la découverte de ma tumeur au cerveau. J'ai quand même passé quelques semaines au chevet de ma maman avant son décès.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Hum, ni l'un ni l'autre, je suis beaucoup trop chochotte pour me recoudre toute seule, j'ai pas peur, plus peur des piqûres et du sang mais pas assez de compétences et surtout de cran pour me recoudre ! Je ne pleure pas pour rien, du moins, ça peut toujours être pire non ? Alors à quoi bon se fatiguer a pleurer, autant profiter de la vie !
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Ça dépend, pour les petits bobos je suis médecine douce, mais disons que parfois la vie ne nous laisse pas le choix, et la chimio c'est pas super naturel !
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Je ne mets pas ma santé en danger mais disons que j'ai pas vraiment conscience des risques alors pour ça il faut demander à mes proches. Je fumais quelques cigarettes en soirée et buvais un ou deux verres, mais depuis mon entrée à l'hôpital je préfère éviter autant que je peux, ce qui ne m'empêche pas de fumer une petite clope de temps en temps !  
✂ t'as des problèmes de santé connus ? Ma tumeur au cerveau, au lobe frontal plus précisément mais c'est tout ! On peut dire que j'ai de la chance de ce côté ! Ah si ! Ma naissance un peu tumultueuse mais sans conséquences.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Ma maman était asthmatique mais j'ai échappé à ça ! Comme je vous l'ai dit, je suis une petite chanceuse pour ça.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Là par contre je répond présente ! Jamais grave mais toujours tout les petits trucs et super souvent ! C'est simple je suis enrhumée 8 mois sur 12 ! La grippe presque deux fois par an et le printemps, vive l'allergie au pollen !

Je m'appelle June-Novah HEMSWORTH , je suis née un premier juin mille neuf cent quatre vingt-neuf à Manatthan, New-York. Mon arrivée au monde fut un véritable miracle pour mes deux parents, Thomas Charles Hemsworth et Sara Nyla Fischer. A peine ai-je poussé mon premier cri que je fut séparée des bras des mes parents pour m'emmener en couveuse. J'avais fais un arrêt cardiaque et on avais dû me réanimer. Mon état était critique et je resta plusieurs semaines a l'hôpital. Mes parents et mes grands frères venaient me voir tous les jours a l'hôpital. A mon retour à la maison, je grandit dans un famille ordinaire, modeste et unie. Mes premiers pas furent enregistrés par une vidéo faite par mon père. Mes premiers mots furent pour la femme qui m'avait mise au monde. Mes premiers jeux dans le jardin en compagnie de ma fratrie. Ce qui m'a valu mon côté garçon manqué.


Lorsque je fus en âge d’entrer à l’école mes parents m’inscrivirent dans une école catholique. J’ai toujours aimé l’école dès la maternelle, je m’y sentais très bien mais je n’étais pas pour autant la première de classe. J’étais la sympathique amie qui savait y faire avec la lecture plus que le calcul et j’ai fini la petite école avec une mention bien. Les années collège passèrent tant bien que mal. J’étais fort appréciée de mes camarades de classe qui aimaient ma compagnie. J’étais sympathique avec tout le monde puisque même adolescente, je ne fus jamais une garce sans cœur. Voilà peut-être la raison qui fait que maintenant, je ne le suis toujours pas. J’eus quelques petits amis au collège comme toute jeune fille. Aucun ne fut mon grand Amour. Du moins pas durant ces années là.

J'aimais, avec mes frères, écouter les conversations téléphoniques de mes parents. Sauf que ce soir là, j'entendis une chose que jamais je n'aurais imaginé apprendre comme cela. Mon père discutait avec un certain Mr Reynolds. Je compris assez rapidement qui était ce Mr Reynolds, puisque mon père l'appelait docteur. Je ne voulais pas écouter la suite et pourtant ma main ne voulait pas lâcher le téléphone. Hôpital, traitement, et surtout tuberculose... Voila les brides de mots que je compris. Mais je voulais savoir de qui on parlait. Même si j'avais de gros doutes. Ma mère fut admise a l'hôpital très rapidement. Je passais mes journées à lui raconter des histoires, à la faire rire, a la regarder dormir. Je voyais ses traits changer, son poids baissait, ses yeux se creusaient, son teint n'était plus aussi resplendissant qu'avant. Mais mère avait toujours un sourire sur ses lèvres et essayait du mieux qu'elle pouvait d'avoir les yeux qui riaient aussi. Je la vis dépérir de jours en jours et la voyait mourir sous mes yeux. Son enterrement fut pour moi le pire jour de ma vie. Je n'ai pas pleurer pendant 17 jours. Puis lorsque je ne pouvais plus retenir mes larmes je pleura pendant 3 jours d'affilés. Seule dans ma chambre. Sans manger ni dormir. Pendant plusieurs mois la vie était terriblement dur pour mes frères, mon père et moi. Durant cette période je ne voyais plus personne et je supportait que leur présence. Moi qui auparavant étais très proche de mon père, je m'en éloignais.  

J'avais beau être forte pour elle mais je dépérissais de jour en jour. J'avais 15 ans ma mère était morte et j'allais faire une tentative de suicide. Mon père me retrouva a demi morte les bras en sang dans la salle de bain. Puis ensuite vinrent les pompiers, mes frères et leur horrible regard qui me disait que je les avais abandonnée. Mais je me rendit vraiment compte de mon erreur lors de mon réveil a l'hôpital. Trop de choses dans ce lieu me rappelaient ma mère. Et je pensa tout de suite a ce que j'avais fais. J'avais forcé mon père et ma fratrie a retourner dans le lieu qu'ils haïssaient plus que tout. Alors je repris des forces et décida d'avancer. En six mois, tout était fini. Depuis l'annonce de la maladie jusqu'à la mort de ma mère. Tout avait été si vite. Et tout nous rappelait Sara. Mon père décida alors de déménager. San Francisco disait t-il.

Notre arrivée en ville fut marquée par mon entrée au lycée. Je fis énormément de rencontres, certaines passagères, d'autres qui restent, comme ma meilleure amie. J'ai eu pas mal de petits copains. Passagés, ou des relations un peu plus longues. Josh. Je pense que ce fut le premier amour de ma vie. Malgré le peu de temps passé ensemble il m'avais énormément apporté. Depuis mes 4 ans je faisais de la danse, je n'avais jamais arrêté et c'était devenu une passion qui m'aidait énormément.

Je savais exactement ce que je voulais faire, la chose qui me procurais un tel plaisir, DANSER. Mais, pour poursuivre ma passion et mon rêve, il fallait que je retourne a New-York. Je passa donc deux ans à N-Y a la Julliard School. Célèbre école de danse. J'étais douée et je désirais en faire mon métier. Je m'acclimatais très bien a ce nouvel environnement. Malgré le fais que je travaillais dur et énormément, je réussi a me faire de nouveaux amis. La vie se passa, même si le manques de ma meilleure amie se faisait ressentir de plus en plus. Il me restait encore un an a la JS et les professeurs croyaient énormément en mon talent. Mon père était fier de moi. Même si cette école et cette passion lui rappelait énormément ma mère. A l'époque, ma mère était une danseuse très connue dans le monde entier et ce fut grâce a elle que je connu cet art qui devint vite ma passion. Malgré le mal que cela me faisait de continuer dans sa voie, je voulais le faire pour elle, pour que de là haut, elle soit fière de moi. Je voyais régulièrement mes frères et nous étions assez proches. Seulement quelque chose fit tout chambouler. Alors que j'étais à un cours de la Juilliard School, je fis un faux pas et l'on dû m'emmener a l'hôpital. Dans la salle d'attente je priais pour que cela ne soit pas grave. Malheureusement, mes doutes étaient fondés. Triple fracture du genou et six mois de repos. J'étais effondré, mon seul rêve venait de partir en fumée. Mon père essayait de me remonter le moral, sans succès. Je pourrais continuer a danser bien sur mais jamais comme avant. Plus jamais je ne pourrais croire à ce futur métier que je désirais tant. Avec le temps et le soutiens de mes proches, je fis face et me découvrit une nouvelle passion. Sans pour autant effacer la danse, j'entra a la fac et commença des études de droit.