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| (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 12:22 | |
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Wren Levi Vanderhaart Time is running out, ghost keeping me alive. I get what it means, you have to survive. dossier médical nom : Vanderhaart. Plus néerlandais, tu meurs. prénom(s) : Wren et Levi, mais il a profité de l'obtention de la nationalité américaine pour faire sauter Wren de sa carte d'identité. Ce prénom a été choisi par sa mère, et ça ne lui plait pas. âge : trente ans tout pile. lieu et date de naissance : 4 décembre 1983 à Amsterdam, plus précisément dans une chambre d'hôtel miteuse et pleine de crasse. statut civil : en couple avec son cancer, mais rêve de célibat. métier/occupation : Etait résident en chirurgie cardio, et n'allait pas tarder à passer titulaire lorsque son cancer s'est manifesté. Depuis, il est simplement patient de l'hôpital. nationalité : Néerlandaise en premier lieu, puis Américaine. orientation sexuelle : S'en fout complètement. Il a décidé de tenter sa chance avec l'autre sexe quand il a appris pour son cancer, mais il n'a pas renoncé aux femmes. Bisexuel, en gros. caractère : Lunatique – Cache toujours ses émotions en restant étonnamment calme, quoi qu'il arrive – Passe fréquemment d'une bonne humeur intense à une profonde colère - Etait plutôt jovial, avant d'être diagnostiqué – A un sens de l'humour particulier – Vit très mal le fait d'avoir dû mettre entre parenthèse sa carrière pour ce foutu cancer – Trop fier - N'était pas un médecin très conventionnel, ni professionnel – A toujours fumé comme un pompier, et ne s'est qu'arrêté que lorsque son état cancéreux est devenu critique - Se contrefout des règles – Charismatique – Egocentrique - Impertinent - Taquin – S'en sort toujours en embobinant ses médecins - Indépendant - Ne perd pratiquement jamais son sang-froid – N'avait aucun scrupule à se taper ses patientes, autrefois - Orgueilleux – Mythomane – Rancunier – Méfiant – Très bon comédien – Infidèle – Borné - Malin – Manipulateur – Susceptible. groupe : anesthesia. avatar : James Franco. type de personnage : inventé.
à hôpital ✂ l'hôpital t'y vas souvent ? Tu te fous de ma gueule, ou quoi ? Un peu trop souvent à mon goût, ouais. Il y a une époque où ça ne me dérangeait pas du tout, puisque j'y allais pour faire mes études de médecine. J'y étais résident en chirurgie cardio, et c'était généralement un plaisir et un honneur d'y mettre les pieds. Mais les choses ont changé. Désormais, c'est en tant que patient atteint d'un cancer que j'y vais, et inutile de préciser que ça ne m'enchante plus autant qu'avant. ✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? J'aimerais bien que tout soit aussi facile, c'est vrai. Si mon "bobo" était simple à soigner, j'imagine que j'estimerais n'avoir besoin de personne d'autre que de moi-même, et je m'en sortirai seul. Simplement, tous les maux ne sont pas guérissables en un claquement de doigt. Dans mon cas, je n'ai pas d'autre choix que celui de faire confiance aux médecins, et au temps. ✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Médocs, on va dire. Je ne crois pas en toutes ces conneries de médecine homéopathique, et tout ce qui va avec. ✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Ahah. Pour que je me retrouve avec un cancer des poumons à trente ans à peine, il a bien fallu que je déconne un peu avec ma santé. Je fume, ouais, ou plutôt je fumais. Presque un paquet par jour. J'ai un petit peu cherché ce qui m'arrive, en somme. ✂ t'as des problèmes de santé connus ? Un cancer des poumons, et ça me suffit amplement. ✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Ma famille en elle-même est un antécédent pas très glorieux. Enfin, ce qu'on peut qualifier de famille : Une mère prostituée, et un père client, que je n'ai jamais connu. Je ne sais pas si mes "parents" avaient des problèmes de santé, et à vrai dire, je m'en branle. ✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Non. Le cancer est le premier truc sérieux que j'ai choppé. Manque de bol, c'est pas le plus facile à soigner.
derrière l'écran Salut la populace ! Mon pseudo, c'est SWANY, mais appelez moi Julie. J'ai dix-huit ans depuis quelques mois, et je suis en première année à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, alias Sciences po, alias Sciences pipo et compagnie, ahah. J'ai connu le forum sur bazzart bien avant son ouverture, et j'avais même un autre compte avant de créer celui-ci (Sophia Silver-Grey), que j'ai préféré supprimer car il ne m'inspirait plus. Je suis amoureuse de James Franco, et de ce forum également ! Au plaisir de vous croiser en rp
Dernière édition par Levi Vanderhaart le Mar 17 Déc - 20:15, édité 4 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 12:23 | |
| histoire Une homme se tenait debout devant l'hôpital de San Francisco, pensif. Cela faisait plus d'une heure qu'il faisait tourner une cigarette entre ses doigts, inlassablement, et de plus en plus vite. Un seul dilemme encombrait son esprit. Devait-il la fumer, ou devait-il s'abstenir ? La réponse semblait tellement évidente que l'homme venait à en douter. Cela faisait plusieurs mois que cette scène se répétait tous les jours, voire même plusieurs fois par jours. Généralement, il parvenait à lutter, et balançait la cigarette vierge de toute brûlure dans le caniveau. Il ne la donnait que rarement à quelqu'un, car si lui-même ne la fumait pas, personne d'autre ne devait poser ses lèvres dessus. Triste égoïsme dont il avait toujours fait preuve, avec et sans la maladie. Une frustration de plus en plus conséquente l'envahissait, alors que la cigarette dansait encore entre ses doigts. Et puis merde. Sortant son briquet, l'homme porta la cigarette à ses lèvres, et fit jaillir la flamme de l'appareil. Celui-ci finit par les lâcher lorsqu'il fut pris d'une violente quinte de toux, qui lui arracha une fois de plus le peu de poumon en bonne santé qui lui restait. La clope lui avait échappé, et le briquet aussi. Tous deux gisaient dans une flaque poussiéreuse et sale, dans laquelle il ne les récupèrerait pas. Et merde. Encore merde. Vie de merde, hôpital de merde, et surtout, cancer de merde.
La vie de Levi n'avait pas vraiment bien commencé, et elle ne finirait pas mieux, de toute manière. Fils d'une prostituée du quartier rouge d'Amsterdam, il avait vu le jour dans une chambre d'hôtel miteuse, et n'avait jamais connu son père. Il s'agissait probablement d'un sexagénaire bedonnant et pervers, qui s'était offert une nuit de plaisirs nocturnes avec la jeune femme d'à peine vingt-ans qu'était la mère de Levi à l'époque. Si cette pensée l'avait empli de rage dans les premières années de son existence, et plus particulièrement pendant son adolescence, l'homme avait tiré un trait sur son passé depuis bien longtemps. Il avait toujours été plus facile pour lui de se considérer comme un orphelin, plutôt que d'assumer le fait d'être un vulgaire « accident de travail ». Curieusement, malgré sa basse naissance, il s'en était plutôt bien sorti, au final. Le fait d'avoir autant rejeté ses origines avait fait de lui un adolescent égocentrique, mais étonnamment brillant. Il n'avait en réalité qu'une seule motivation : obtenir une bourse pour quitter les Pays-Bas, et partir faire ses études ailleurs. N'importe où, tant qu'un océan le séparait de ce passé qu'il n'avait jamais cessé de vouloir renier. Il était parvenu à ses fins, puisqu'il se trouvait désormais à San Francisco, devant ce stupide hôpital dans lequel il avait ironiquement énormément de chance d'avoir pu mettre les pieds un jour. Traverser l'atlantique à seulement dix-neuf ans avait été un pari risqué, même avec une bourse en poche. S'inscrire dans une fac de médecine à San Francisco avait été une simple intuition, une décision prise sur un coup de tête, et dont l'issue lui paraissait bien incertaine à l'époque. Un gamin des quartiers défavorisés d'Amsterdam, faisant des études de médecine aux Etats-Unis ? Improbable, et cela faisait pourtant partie de son histoire. Malgré son impertinence et son orgueil, Levi avait probablement trouvé sa voix, et s'investissait dans ce qu'il faisait. Il réussit même à intégrer le service de chirurgie de l'hôpital, et vint à bout avec ténacité des dures années qu'étaient celles des résidents en chirurgie. Il avait choisi la cardiologie, et excellait dans son domaine. Un an plus tôt, il avait été sur le point d'obtenir enfin ce poste de titulaire tant convoité, et pour lequel il se battait depuis des années. Il n'était passé qu'à quelques millimètres de son ultime objectif. Mais il l'avait manqué. Triste destin, qui le ramenait à la case départ.
Tout avait commencé avec quelques quintes de toux, gênantes pour un résident, mais peu inquiétantes. Après tout, il était particulièrement connu pour être un gros fumeur, et avait toujours ponctué ses allées et venues dans l'hôpital par de caractéristiques toussotements. Les choses avaient commencé à se corser lorsqu'au lieu de cracher de l'air, il se mit à cracher du sang. L'intuition que quelque chose ne tournait pas rond dans son organisme commença à effleurer l'esprit du néerlandais avec de plus en plus d'intensité. Ayant toujours été borné, Levi décida dans un premier temps de les ignorer, ce qui n'eut pour effet que de les empirer. Il commença alors à perdre du poids, et en tant que chirurgien, réalisa qu'il n'était pas simplement sujet à des bronchites répétées. La menace de la cigarette avait fini par lui tomber dessus, et il ne pouvait plus faire semblant d'aller bien, malgré sa détermination à ne pas mettre de côté sa carrière. C'est lorsque son état s'aggrava brutalement, et qu'il commença à vider ses poumons de sang dans les toilettes de l'hôpital, que Levi fut enfin hospitalisé. A partir de ce moment la, les choses s'enchainèrent, et sa vie tourna au désastre en quelques semaines. Le diagnostic tomba rapidement, et ne le surprit même pas tant il était devenu évident. Cancer des poumons à un stade assez avancé, ce qu'il méritait amplement pour l'avoir ignoré volontairement aussi longtemps. Les médecins envisagèrent un instant une chirurgie, qu'ils jugèrent trop dangereuse pour l'instant, et l'envoyèrent donc en chimiothérapie. Il passa du statut reconnu de résident en chirurgie cardiologique à celui de patient cancéreux pratiquement condamné. Les oncologues lui donnaient quelques années, cinq ans maximum. Dans la meilleure des situations, la chimiothérapie serait efficace, et une chirurgie pourrait lui permettre de gagner un an ou deux. Dans le pire des cas, il mourrait dans quelques mois. L'incertitude était alors devenue la maîtresse de sa propre vie, ce qui représentait en soi le début de sa fin.
Tentant de virer ces abominables souvenirs de son esprit, Levi fixa quelques secondes la cigarette toute trempée qui baignait encore dans la flaque d'eau. Cela faisait presque six mois qu'il avait été diagnostiqué. Presque six mois qu'il trainait dans les services d'oncologie, qu'on lui promettait une chirurgie, puis qu'on le renvoyait en chimio, son état étant trop instable. Ce petit jeu semblait se répéter sans fin, ce qui avait fini par l'épuiser mentalement. Il oscillait sans arrêt entre une jovialité surréaliste et un cynisme fataliste, passait d'une bonne humeur à une colère intense, qu'il s'efforçait de cacher derrière un sang-froid à toute épreuve. Perdre la face devant ses anciens collègues serait la pire des hontes pour lui, et il avait toujours réussi à paraître calme devant son entourage. Cela ne l'empêchait pas d'éprouver au fond une colère monstrueuse, qu'il ne laissait s'exprimer que lorsqu'il était seul. Quand tout ce petit cinéma s'arrêterait-il enfin ? Être un cancéreux doublé d'un chirurgien raté lui paraissait être encore pire que la mort. L'avantage, c'était que vu l'état de ses poumons, il y avait de fortes chances pour que son agonie ne dure pas très longtemps. Fumer ne pouvait qu'aggraver son cas, et le fait qu'il se pointe tous les jours devant l'hôpital une clope à la main en disait long sur son état psychologique. Il s'appliquait tout de même à ne faire pitié à personne, et à avoir l'air parfaitement sain d'esprit. Après tout, il avait failli être un chirurgien. Un chirurgien cardiologique. Au plus profond de lui, il en était toujours un, et les médecins n'étaient-ils pas censés montrer l'exemple ?
Dernière édition par Levi Vanderhaart le Jeu 14 Nov - 23:41, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 12:33 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 12:41 | |
| James Franco Bienvenue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 12:45 | |
| Merci à vous trois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 13:13 | |
| Le titre, l'avatar, c'est tout parfait. Bienvenue parmi nous. On te réserve James pour les dix prochains jours d'ailleurs. Et si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 13:25 | |
| dit-elle avec la sublime Watson en avatar ! Merci beaucoup, je risque pas de le laisser filer, celui la ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 14:33 | |
| Rebienvenue sur le forum Comme je t'ai dit Franco rules |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 14:48 | |
| Bienvenue à toi !! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 14:52 | |
| Merci à vous deux |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 17:15 | |
| James bienvenue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Lun 11 Nov - 21:15 | |
| Merci |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Jeu 14 Nov - 16:01 | |
| Welcome |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Jeu 14 Nov - 23:40 | |
| Merci à toi |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Ven 15 Nov - 19:08 | |
| En espérant que ce personnage t'inspire plus que l'ancien. scalpel please ! Te voilà désormais validé ! Tu peux d'ores et déjà aller poster dans le flood, les jeux, et bien entendu rp. Mais avant toute chose, nous te demandons juste de passer recenser ton avatar par ici, et ensuite d'aller poster par ici pour recenser ton métier. Ce sont des passages obligatoires pour qu'on s'y retrouve un minimum sur le forum ! Ensuite, tu es libre d'aller te créer une fiche de liens, de sujets, et puis... Enjoy |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. Ven 15 Nov - 22:44 | |
| Merci beaucoup |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. | |
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| | | | (levi) I walk this empty street on the Boulevard of Broken Dreams. | |
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