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| | | Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... |  |
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 | | Sujet: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 20:21 | |
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Eric Strahm Si vivre c'est savoir quelque chose, ce que nous apprenons en dernier est précisément cette fin, et lorsque enfin nous la voyons se profiler, tout ce que nous savons ne se résume qu'à la mort. Nous ne devons rien essayer de savoir car ceux qui ne peuvent triompher de la mort devraient rester dans l'ignorance. dossier médical nom : Strahm. prénom(s) : Eric. âge : 43 ans. lieu et date de naissance : Oakland, le 15 Novembre 1970 statut civil : Marié. métier/occupation : Titulaire en chirurgie orthopédique. nationalité : Américain. orientation sexuelle : Hétérosexuel. caractère : Séducteur - égoïste - marrant - spontané - rancunier - têtu - méticuleux - complexe - moqueur - philosophe. groupe : Scalpel. avatar : Alexander Skarsgård. type de personnage : PV.
à hôpital ✂ l'hôpital t'y vas souvent ? J’y organise des soirées aussi vous savez…
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Disons que … Si j’ai un gros bobo dans la cuisse, je pourrais me péter une toute petite et fine phalange distale pour ne plus ressentir notre affreux ami bobo de la cuisse. Voyez-vous le cerveau est tellement fascinant qu’il n’enregistre que la douleur la plus récente, bloquant ainsi la précédente. Bon c’est vrai ça serait périodique, mais ne serait-ce pas génial de ne plus ressentir la douleur que j’avais à la cuisse ? Ah et en fait … Mc Gyver, ça doit être le cousin de l’oncle de mon frère de lait, si vous voyez ce que je veux dire …
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? J’adore le goût des médocs. C'est à la fois acide, et salvateur. Paradoxal.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Je suis peut-être l’un des seuls médecins de ce pays qui persiste encore à croire que boire ne nuit pas à la santé. Donc non, merci de vous inquiétez pour moi mais je ne mets pas ma santé en danger. En plus je ne fume pas, c’est extraordinaire non ?
✂ t'as des problèmes de santé connus ? Un médecin malade, ça tuerait vraiment le cliché.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Une déchirure du diaphragme fatale pour madame Strahm, un cancer du pancréas pour Strahm senior et deux-trois belles petites tumeurs par-ci et par-là qui se dandinent autour de la joyeuse fratrie. Elle est pas belle la famille ?
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Non plus.
derrière l'écran  Bonsoir. Ces derniers jours je m’étais mis à la recherche d’un forum histoire de m’occuper un peu, et après avoir étudié plusieurs pubs de forums sur Bazzart, j’ai finalement opté pour celui-là. C’est la première fois que j’expérimente ce genre de forum à contexte médical, donc ça serait une première. Je pense aussi qu’il faut que je m’y mette à GA ou bien Dr house, mais je suis pas non plus étranger au domaine parce que je suis tout de même en première année d’étude en médecine, donc ça va. J’aime déjà beaucoup la gestion et l’organisation de celui-ci et j’adhère au contexte.  Et pour le mot de la fin, je vous souhaite bonne chance et une longue vie pour votre forum qui est vraiment très bien construit. Une merveille. 
Dernière édition par Eric Strahm le Dim 20 Oct - 20:26, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 20:22 | |
| histoire Eric Strahm. Hum. La règle d’acier qui tombe sur une main d’enfant. Disons que c’était un peu ce que les gens associaient à cette combinaison nominale une fois qu’une bouche se mettait à lancer les hostilités en prononçant ce prénom, pourtant bien loin d’être dégueulasse. Sa popularité en prime. Et son charisme aussi. Pourtant, peu de gens auraient pu parier sur ce gars là, voir quasi-personne n’aurait misé sur ce cheval peroxydé tellement on avait déjà à l’âge de l’adolescence l’échantillon d’un jeune qui pétait des vitres et les trombines de ses joyeux compagnons de classe ; une de ses petites saloperies immatures à effet virale qu’on aimerait envoyer au quatrième cercle de l’enfer, tout de même enjolivée par une apparence européenne qui suinte l’innocence à deux milles kilomètres, mais qui affichait dans son tout, malheureusement tous les symptômes d’un futur peu glorieux. Dommage, il avait déjà de la gueule au stade de spermatozoïde le petit, et Oakland pouvait être fière de cette pépite, même si la ville n’allait s’en rendre compte que plus tard. Oui déjà. Les plus tolérants, eux, avaient eux aussi cessé de croire en le jeune Eric tellement il se présentait comme étant un déchet de la société. Branleur. Bon à rien. Pseudo philosophe et moralisateur anti-scolaire avec ses citations bidons qui entraient par l’oreille et ressortaient par le rectum. Les plus moqueurs, eux, s’amusaient à prédire la trajectoire de cette balle qui ne savait pas encore où se loger tellement il était instable dans ses idées, variable dans ses humeurs, inconscient dans ses opinions, et lui prédisait des destinations toutes plus folles les unes que les autres. Lance pierre dans la poche arrière de son jean à l’âge de huit ans, un canif à la place deux ans plus tard et déjà un mini casier judiciaire qu’il aimait s’inventer lui-même pour s’autoproclamer ennemi public numéro un du quartier ; un casier fictif pas plus long que son macroscopique petit pouce, il s’enfonçait encore plus dans la merde et s’amuser à y replonger quand le désir lui sautait la cervelle, incapable à cet âge de songer à son avenir, et pourquoi pas de commencer à se demander s’il n’aurait pas les épaules assez larges pour enfiler une blouse blanche un jour. L’idée n’avait pas encore germé à cet âge là. Pas encore. Le fantasme des voitures, des belles bagnoles, des nanas aux gros nichons était ce qui alimentait son encéphale encore miniaturisé, même si en parallèle on pouvait déjà noter une nette progression et une toute nouvelle croissance. Une bifurcation au meilleur des moments, dans le meilleur des mondes possibles. Un développement assez étrange qu’on aurait certainement jamais pu prédire chez lui. C’était comme s’il s’était lassé de jouer aux caïds, opérant ainsi un grand changement dans sa vie pour y échapper. La rue n’était plus son endroit chouchouté, ni son repère, préférant ainsi migrer vers la lecture de certains livres plutôt que de perdre son temps dehors. Il s’était toujours vu dans ce rôle de garnement intellectuel, et s’amusait toujours à espérer le devenir un jour. Avant, ce n’était point possible, mais à présent, c’était envisageable vu que le garçon avait assez connu de malheur pour se calmer. Passant du branquignole bruyant et moyennement violent, il avait progressivement, tout doucement réussi à faire monter son QI de souris en croissance histoire de devenir une bête sauvage de la répartie et un libre-penseur deux étoiles. C'est-à-dire, un larbin du mouvement. Son nouveau temps additionnel, il le passait à apprendre des mots pourtant inconnus chez bons nombres d’adultes, dans des coins et des pages encore inexplorées du Grand Robert. Il avait en, deux ans, réussi sa métamorphose ovidienne, créant ainsi son propre personnage, son propre caractère, présentant ainsi à une jeune société encore moyenâgeuse et peu développée un auto-culte de la personnalité qui, commençait, petit à petit, à séduire. Beau parleur, il évoluait dans l’art du mensonge, de la tromperie, de la fausse sympathie aussi, dans l’illusion, la drague et sans oublier : la séduction. Les premières filles commencèrent à tomber, les culottes à s’envoler et les plus belles, ainsi que ses préférés avaient l’ultime privilège de perdre tour à tour cette chose qu’on appelait 'virginité'. Eric commençait à se faire un nom puisqu’on avait tendance à le préférer au gros frimeur bagnolé vu que lui, à la différence de son confrère arriéré, il était complet. Un truc qui semblait être le fruit de la maturité. Viril, imposant, instruit et à présent, violement intellectuel, il commençait à soutirer assez de filets de bave qu’il ne le pensait. Il s’impressionnait devant son potentiel à suggérer un acte à un tiers, n’usant que de son visage angélique, ou de son charme incontournable. Il commençait à se parfaire, à se durcir. Les premiers traits du Strahm actuel commençait à se dessiner à cet âge où il enchaîner les années scolaires avec une aisance déconcertante, et sans se lâcher pour autant. Il refusait de se donner à fond, et proposait ainsi le strict minimum, le quotta suffisant pour passer une année civile et ne pas redoubler. Se préservant, selon ses théories d’on ne sait quelle planète, pour la suite. Les fondements et les bases de ce qu’il allait devenir pour plus tard commençaient à se stabiliser. On ne reconnaissait plus le môme d’il y’a longtemps, on avait même oublié son existence celui-là tellement il a su comment l’effacer radicalement des esprits.
On ne connaissait plus que cet Eric 2.0 intelligemment amélioré, mais encore loin du modèle actuel, plus abouti et plus accompli. L’idée de faire médecine n’était encore qu’au stade embryonnaire, mais elle avait métastasé quelques semaines plus tard dans tout son organisme, pour finir par s’implanter enfin au fond de son cerveau. Comme un bébé, la petite idée ne cessait de naître, semaine après semaine et, arrivée à un certain stade de non-retour, le projet était finalement prêt à être dévoilé. Au départ, on croyait que c’était une blague. Une bonne blague. Mais le jeune homme était loin de badiner. On saluait l’initiative, mais on ne s’imaginait pas le plus petit des Strahm avec une blouse, sourire narquois sur les lèvres entrain d’annoncer à un patient qu’il allait vivre. On s’imaginait mal ce genre de rire moqueur qui vous retire l’envie de sourire le long de votre vie venir s’installer parmi les sonorités d’un bloc opératoire, ni l’une de ses remarques sarcastiques venir conforter un patient. C’était impensable tellement le profil ne collait pas avec le cliché qu’on se faisait du médecin souriant qu’il n’était surement pas. Peut-être physiquement, oui, mais pas mentalement. Il était loin de l’éthique, tellement loin malgré ce qu’il présentait comme qualité.
Mais pour notre jeune homme, cela équivalait à devenir un dieu. Il avait toujours espéré un jour gravir cette échelle, devenir un monarque céleste, décider de qui allait vivre, et qui allait mourir. Opérer pour sauver une vie, cela revenait à être un acte divin qui commençait à l’obséder, continuellement. Ses idéologies un brin philosophes et plutôt spéciales, aussi casse-gueules, ironiques et déplacés soient-elles, séduisaient un grand nombre de public qui voyait en ce larbin une nouvelle fenêtre sur le monde de la médecine, mais une fenêtre qu’il était bien des seules à regarder. Il ne se le cachait pas, son désir de vouloir devenir médecin ne se reliait pas à une bonne cause, là encore il en était loin, très loin même. C'est plutôt histoire d’arriver à conclure certains fins personnelles. C’était quelqu’un qui affirmait vouloir devenir médecin, puis titulaire en chirurgie, puis chef de service afin que, selon lui, tout le monde soit obligé de reconnaître son existence. C’était brave, mais très égoïste. S’octroyer aussi un mannequin en guise de femme qu’un plombier ne peut acquérir avec sa faible rémunération salariale, et s’élever ainsi à ce stade d’apothéose que lui seul comprenait. Ça avait tout de même le mérite d’être ambitieux. Il se mit ainsi à travailler, et la médecine commença à opérer en lui quelques changements. Il devint plus loyal, plus sérieux, plus mûre et largement plus strict. Néanmoins son côté moqueur n’avait pas fondu, l’aspect séducteur aussi, plus au moins aidé par un physique qui le lui permettait encore. Il était devenu plus cartésien, plus terre à terre, donc plus exaspérant. Plus vieux aussi. Il séduisait malgré son décalage, malgré sa différence sur certains points moraux dont il était le seul à s’en éloigner. C’était drôle mais on l’acceptait, quoiqu’on fasse on s’y faisait, et on finissait par y croire, même. La médecine le rendait plus spécial, plus charismatique, plus respectable, et son implication l’aidait aussi, dans ce sens où elle lui donnait une raison de vivre. Il travaillait dur afin d’arriver là où il voulait poser ses fesses, empilant les diplômes et les stages, parfois en travaillant plus que les autres. Il lui arrivait d’apprendre ce que les autres n’avaient pas appris juste pour se faire bien voir, et adoptait bien évidement une attitude de lèche-cul, de parfait faux cul énervant, mais qui apportait tout de même ses fruits… Il se surpassait pour écraser la concurrence ; devenir le meilleur était pour lui un objectif, et non un luxe. Des années à tirer la même tronche, le même sourire ironique, sa marque de fabriques, sa signature faciale en autre, et les mêmes vannes qui laissaient à désirer des fois, mais auxquelles on y était à présent forcé de reconnaître leur potentiel, de notre plein gré puisque l’enfant terrible de la médecine venait de gravir des échelons. Des années à construire une identité médicale, une référence dans le domaine. Le cynisme en blouse blanche, même certain médecin restait sceptique, mais ses performances et sa réputation commençaient à prendre le dessus, poussant les experts à le respecter. Le mannequin, il l’empocha finalement, mais le vulgarisa au point de le tromper en fureur. Ce n’était qu’un détail, et puis il gérait habilement, se réjouissant dans ce rôle d’homme marié qui plaisait encore. Sa seule déception à ce jour ne porte que le nom de James Moore dont il examine constamment le pouls histoire d’espérer à chaque fois sa succession. Son dévouement pour l’orthopédie surprends encore plus qu’il ne fascine, et au fil des années, sa réputation d’’esclavagiste’’ a fini par lui coller aux fesses à présent tellement on commence à redouter son service. « Ceci est une salle d’opération. Dans cette zone, je contrôle tout, j’opère tout, et par 'tout' je veux dire... tout ce qui bouge ! » -en parlant de son service ainsi que les gens qui y travaillent- serait passable d’être l’une de ses phrases célèbres, sans compter ses divers allusions sarcastiques, ses dires déplacés et ses écarts de conduites morales. Finalement, Eric Strahm aurait pu être tenté de faire porter à ses collègues une blouse noire, si cela revenait vraiment à être de son ressort, mais vraiment …
Dernière édition par Eric Strahm le Mar 22 Oct - 1:11, édité 2 fois |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 20:24 | |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 20:28 | |
| Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche  Super choix de PV et d'avatar  Je te réserve alexander pour 10 jours, si t'as besoin d'autre chose, hésites pas |
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Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 21:41 | |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 21:48 | |
| OMG OMG OMG ALEXAAAANDER   Welcome (J'exige un liendelamortquitue  ) |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 22:37 | |
| oh merci, merci et merci encore une fois quel accueil (dora : ça serait avec plaisir   ) |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 22:41 | |
| tu es l'homme de ma vie je crois prénom+Skaargard  bienvenue & réserve moi un lien  |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Dim 20 Oct - 23:00 | |
| Bienvenue |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Lun 21 Oct - 2:07 | |
| bienvenue |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Lun 21 Oct - 8:58 | |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Lun 21 Oct - 11:00 | |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Lun 21 Oct - 14:53 | |
| bienvenue |
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Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Lun 21 Oct - 15:11 | |
| j'crois que je vais repasser plus tard pour lire ta fiche, ton perso a l'air super intéressant bienvenue & bon courage pour ta fiche ! |
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Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Lun 21 Oct - 16:15 | |
| BIENVENUE |
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Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Lun 21 Oct - 16:46 | |
| Bienvenue parmi nous.  J'dois avouer que t'as fait un bon choix pour tout. |
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Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Mar 22 Oct - 1:24 | |
| Merci tout le monde pour cet accueil mais vraiment alex : Sinon eh bien ... fiche terminée je crois j'espère que ça ira :oops: |
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Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Mar 22 Oct - 7:52 | |
| Bienvenue parmi nous! ton avatar très bon choix |
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Invité
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Mar 22 Oct - 11:26 | |
| bienvenue sur le forum.  |
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Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Mar 22 Oct - 19:43 | |
| un Gosling merci tout l'monde |
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Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... Mer 23 Oct - 7:26 | |
| Superbe fiche, j'adore ce que t'as fais du perso  scalpel please ! Te voilà désormais validé ! Tu peux d'ores et déjà aller poster dans le flood, les jeux, et bien entendu rp. Mais avant toute chose, nous te demandons juste de passer recenser ton avatar par ici, et ensuite d'aller poster par ici pour recenser ton métier. Ce sont des passages obligatoires pour qu'on s'y retrouve un minimum sur le forum ! Ensuite, tu es libre d'aller te créer une fiche de liens, de sujets, et puis... Enjoy |
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| | Sujet: Re: Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... | |
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| | | | | | Eric ♔ Chirurgien de la mort, à bon entendeur ... | |
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