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| HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Lun 30 Sep - 19:20 | |
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Harley Whitestone « Ce qu’il y a de réconfortant dans le cancer, c’est que même un imbécile peut attraper une tumeur maligne. » dossier médical nom : Whitestone, son nom de jeune fille qu'elle a récupéré après son divorce il y a de ça trois ans. prénom(s) : Harley, papa étant un grand fan de motos. âge : vingt-huit ans. lieu et date de naissance : New York, le 26 septembre 1984. statut civil : divorcée et célibataire. métier/occupation : auparavant ambulancière, elle est aujourd'hui en arrêt maladie prolongé. nationalité : américaine. orientation sexuelle : bisexuelle, ça ne la dérange pas de coucher avec les deux, mais elle revient toujours aux hommes à la fin. caractère : au premier abord, elle paraît froide, pour ne pas dire conne, mais quand on apprend à la connaître, on découvre qu'Harley s'est juste endurcie avec son expérience. Il suffit juste de percer cette carapace qui s'est formée il y a de ça quatre ans pour découvrir une femme amusante et généreuse, parfois un peu fêlée sur les bords. groupe : Anesthesia. avatar : Scarlett Johansson.
à hôpital ✂ l'hôpital t'y vas souvent ? l'hôpital, c'est un peu la seconde maison d'Harley. Dans un premier temps, c'était son lieu de travail, mais pour son plus grand malheur, il est devenu un lieu de torture. Elle ne compte plus ses nombreux séjours. ✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? à la découverte de sa tumeur, Harley a craqué et est entrée en dépression. Cette période sombre de sa vie est désormais derrière elle et la jeune femme avance maintenant tête haute, ne se laissant pas abattre par la peur d'une mort inévitable et imprévisible. ✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Harley n'aime pas se bourrer de médicaments, mais après les derniers événements, elle a dû prendre sur elle afin d'avoir de meilleure chance de survivre. Elle vit désormais avec plusieurs traitements. ✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? une cuite de temps en temps avec des copains, mais rien de plus. Harley n'a jamais ressenti l'envie de fumer ou encore de s'amuser avec les matières illicites. ✂ t'as des problèmes de santé connus ? à part le léger détail qu'est sa tumeur cérébrale inopérable, Harley n'a aucun problème de santé, elle a toujours eut un monde de vie sain. ✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? aucun à sa connaissance, mais avec la chance qu'elle a, elle ne veut pas se réjouir trop tôt. ✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Harley est une personne plutôt résistante, ce qui est sûrement la raison qu'elle tient depuis quatre ans avec cette merde dans son crane. Elle n'a jamais eu la grippe ou encore la varicelle.
derrière l'écran Coucou mes poussins ! Je m'appelle Wendy et j'utilise le pseudo .rawr parce que ça rappelle les dinosaures et que j'adore ces bestioles là j'ai 18 ans et je suis en pleine crise existentielle, étant perdue entre rester à la fac ou bien faire autre chose enfin, c'est ma vie quoi sbaff. Sinon, j'ai connu le forum grâce à Bazzart, je suivais le projet, sans jamais oser poster dans le sujet mon emploi du temps me permet de me connecter tous les jours sinon, je tiens à m'excuser s'il y a des fautes, parce que je suis malade et que certaines conneries échappent à mes relectures à cause de la fatigue et des effets des médicaments le comble pour un rpg hôpital
Dernière édition par Harley Whitestone le Mer 2 Oct - 13:10, édité 3 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Lun 30 Sep - 19:20 | |
| histoire
C'est ton tour, Harley. Réunion du 30 septembre 2013. Je gigote un peu sur ma chaise, cherchant la meilleure des positions pour commencer pour récit. J'avais rejoint ce groupe de soutient sur un coup de tête, sans vraiment y réfléchir. Depuis quelques séances, une personne à la fois était à l'honneur. Cette personne avait tout le long de la réunion pour raconter son histoire, ses réactions par rapport à la maladie. Aujourd'hui, c'était mon tour. Je m'éclaircis la voix avant de prendre la parole. « Hum, je suis Harley Whitestone et je vis depuis quatre ans avec une tumeur cérébrale inopérable. » Je marque une pause, essayant de trouver par où commencer. Le début, c'est pas mal, non ? « J'ai eu vingt-huit ans il y a quatre jours et je suis née à New York. J'ai également grandie dans cette ville, que j'ai quitté à la découverte de la maladie. Ma mère est une enseignante et mon père est un ancien pilote de motocross, reconverti en agent immobilier. Une famille ordinaire, si on peut dire. Je suis fille unique. À l'école, j'ai toujours été une bonne élève, mais pas assez pour aller à la faculté de médecine. C'est pour ça que je me suis tournée vers le métier d'ambulancière. » Je croise les jambes et m'attache les cheveux. Ma dernière chimiothérapie remonte à quelques mois, ainsi mes boucles blondes avaient eu le temps de repousser. « Après avoir été engagée, je rencontre Blake, ma coéquipière lors de ma première année. Je ne resterais qu'un an en sa compagnie, jusqu'à son départ soudain. Le long des trois années suivantes, j'ai appris à me faire une place parmi les ambulanciers. Appréciée par mes collègues, heureuse sur le plan privée également. Il ne me manquait qu'une chose, mais cela n'aller pas tarder, il suffisait juste que je devienne la fille à l'arrière de l'ambulance. » La dame s'occupant d'organiser ces réunions me regarde avec un sourire et un air interrogateur, comme le reste des personnes assises en cercle. « La fille à l'arrière de l'ambulance ? » Je rigole légèrement à la suite de question, les souvenirs revenant chacun leur tour dans ma mémoire. « Il y avait cet interne qui se trouvait souvent en trauma. Nolan. Allez savoir pourquoi, mais parmi tous ces jeunes hommes, c'était lui qui avait attiré mon regard. Le clown de service, celui qui avait toujours le sourire aux lèvres, même quand quelqu'un arrivait avec le thorax grand ouvert à cause d'un accident. C'était juste... lui. » L'organisatrice hoche la tête, toujours en souriant. Elle ne s'arrêtait jamais, peut-être qu'il s'agissait d'une clause dans son contrat. « Vous étiez amoureuse. » Je fais non de la tête en signe de réponse. « Je ne lui avais jamais parlé et je pense qu'on ne peut pas tomber amoureux sans avoir un minimum échangé avec la personne. C'était plutôt un coup de coeur. Mais bien évidement, quand j'arrivais aux portes des urgences, il s'occupait du patient et non de moi. Il ne m'avait pas remarquée, tout simplement. Ma nouvelle coéquipière, Blake étant déjà partie, n'arrêtait pas de me pousser à lui parler, mais je n'osais pas y aller. Jusqu'à cette soirée de décembre, en 2006. » Je regarde autour de moi et découvre les gens qui m'entourent pendus à mes lèvres, attendant la suite de mon histoire et du fameux Nolan. « Un problème était survenu sur notre ambulance, alors que nous étions sur le parking des urgences. À cause de la neige et du verglas, on ne pouvait avoir un mécanicien que le lendemain. J'ai dû alors prendre mon matériel pour le ramener à la caserne. J'étais donc à l'arrière de l'ambulance, à réunir ce dont j'avais besoin, quand je le vis, sortant par la porte des urgences. Surprise, je fis tomber du matériel, ce qui attira son attention. Je me suis baissée en vitesse afin de ramasser ma boulette, sans réaliser qu'il était monté avec moi afin de m'aider. Je me souviens encore parfaitement de ses mots : on sait jamais comment réagir par rapport à la neige. C'est vrai, c'est beau, ça rend heureux, mais en même temps, elle attire tellement de problèmes qui remplissent les urgences en un rien de temps. Je relevai la tête pour le voir me tendre un sac de seringues stérilisées. Je me suis ensuite redressée sur mes jambes pour les prendre en le remerciant. Je ne sais plus vraiment ce que j'avais dit par la suite, mais je me souviens qu'il avait rigolé avec moi. Par la suite, je me rappelle qu'on s'était assis et qu'on avait commencé à discuter. De l'hôpital, de nos vies respectives. Et sa réplique que je n'oublierais jamais, quand il m'a dit qu'il m'avait vu depuis un petit bout de temps, mais qu'il n'avait jamais osé m'aborder, parce que et je cite, je ne suis qu'un interne. Sur le coup, ça m'avait fait rire, jusqu'à ce que je réalise ce qu'il venait de me dire. » Je marque une nouvelle pause, ressentant le besoin de boire. Je me lève pour me diriger vers la table où se trouvent les collations, comme dans les films sur les alcooliques anonymes. « Je ne vous raconte même pas l'explosion qui s'est passée en moi après sa réplique. » J'entends quelques rires tout en me servant un verre d'eau, avant de le liquider en vitesse. Je retourne m'asseoir et détache mes cheveux. Moi gênée ? Un peu. « Je n'ai pas réussi à lui répondre. » Je remarque quelques airs déçus dans la salle, ce qui m'amuse. « Du moins, avec des mots. » J'attire encore plus leur curiosité avec mon récit à énigmes. « Je l'ai embrassé. Poussée par une force inconnue. » Des sourires se dessinent sur les visages de certains, alors que d'autre semble choqués. Pourquoi être choqué ? C'était réciproque, alors pourquoi devais-je me retenir ? Les pauvres ne sont pas au bout de leur surprise. « Faire l'amour à l'arrière d'une ambulance, c'est encore plus cool que l'on ne le pense. Surtout avec Nolan. Oh, mais rassurez vous, on avait fermé les portes avant hein, on est pas fous non plus. » Décidément, certains sont vraiment surpris de voir l'aisance que j'ai à parler de détails aussi intimes. On devait bien raconter notre histoire de toute façon, non ? « J'en garde de très bon souvenirs. Il m'a ensuite ramenée chez moi. Et non, il n'est pas resté. » Je suis certaine que des personnes présentes me prennent pour une fille facile. Je ne pense pas, non. J'étais attirée par Nolan depuis le début, je ne m'étais pas jetée dans les bras du premier venu, loin de là. « Et ensuite, vous l'avez revu ? » En voilà au moins une de passionnée par mon histoire avec Nolan. Je m'éclaircis de nouveau la gorge, peu habituée à parler autant. « Bien entendu. Le lendemain, lorsque je suis venue avec la coéquipière pour récupérer notre ambulance. Il était aux urgences, encore. Je crois bien qu'il avait réussi à soudoyer un résident afin de rester le plus possible à ce poste, pour avoir les meilleurs traumas avant les autres. Je lui ai moi-même remis un patient pas mal amoché. Fidèle au travail avant tout, je me suis contentée de lui indiquer tout ce que lui et son résident devait savoir sur le blessé. Mais alors que son résident s'éloignait avec le brancard en lui demandant de le suivre, il s'est avancé vers moi pour déposer un baiser au coin de mes lèvres avant de me dire de l'attendre le soir même, après mon service. Oui, il avait retenu mes horaires au fil des semaines. » J'avais l'impression de peindre le portrait de l'homme parfait au fur et à mesure de mon récit. Mais Nolan était un peu comme ça. Je sens un pincement au cœur en y repensant. « On a donc commencé à se fréquenter, puis on s'est fiancée l'année d'après, avant de se marier trois mois plus tard, le 15 mars 2007. » Oui, le pincement au cœur était là et ne voulait pas s'en aller. Personne ne remarquait que je me retenais de pleurer. J'avais appris à ne laisser paraître aucune émotion depuis la découverte de la tumeur. « C'est une très belle histoire je trouve. » Belle histoire certes, mais tout avait une fin. Une fin causée par ma faute. « Jusqu'à ce qu'on découvre la tumeur. » Je me rattache les cheveux. Chaque fois qu'ils repoussent, je ne peux pas m'empêcher de les toucher, de rester en contact avec, comme si j'attendais le moment qu'ils disparaissent de nouveau. « Comment avez-vous appris ? » La scène me revint parfaitement en mémoire, tous les détails. « C'était en 2009. Je sortais de mon ambulance en me précipitant, comme à mon habitude, pour ouvrir les portes arrières au plus vite. C'est là que j'ai glissé sur une plaque de verglas et que je me suis cognée la tête sur le bitume. Je me suis relevée et je m'apprêtais à m'occuper du patient, mais un des urgentistes insistait pour que je passe un examen pour savoir si tout allait bien. Quand j'y repense, j'aurais peut-être mieux fait de refuser, au moins, ça ne serait pas parti en couille de cette façon. » Je m'installe en tailleur sur la chaise, afin d'être plus à l'aise. « Me voilà donc au scanner, attendant les résultats, que je pensais sans problème. J'entends encore la voix de Nolan, qui s'était précipité aux côtés des autres médecins présent derrières les écrans. Je me souviens lui avoir dit que tout allait bien. Du moins, jusqu'à ce que l'image apparaisse. » Je peux lire dans le regard des autres la compassion. Nous sommes tous passés par le même stade. « La tumeur était là. Très mal placé bien sûr, sinon c'est pas drôle. Le lobe frontal. » Je laisse s'installer un silence. J'ai besoin de prendre mon temps avant de reprendre la parole. Du temps pour remettre tout ça en place dans ma tête. « Comment Nolan a réagi ? » Je relève la tête afin de regarder l'organisatrice. « Mal. Il était dévasté. Encore plus que moi. Je le revois encore se précipiter dans la salle de scanner alors que je sortais de la machine. Il n'avait pas eu besoin de me le dire, je voyais sur son visage qu'il y avait quelque chose. C'est lui qui m'a appris l'ampleur de la chose. » Je remarque bien la compréhension des autres. Les choqués ont oublié mon récit précédent. « C'est là que j'ai commencé à changer. Je le reconnais, je suis devenue une véritable conne à la suite de cette découverte. Vous savez comment ça se passe, on en veut à la Terre entière. Mon mariage n'a pas survécu, j'ai envoyé Nolan balader un an après le diagnostique. Trois ans de relation et deux ans de mariage foutu en l'air. Je tiens également à dire que je suis partie à San Francisco directement après la découverte de la tumeur, sachant que les médecins y étaient plus réputés. Nolan venait me rendre visite le plus souvent possible, mais il voyait bien que ça clochait. J'ai demandé le divorce. Je ne l'ai pas vu depuis trois ans. » « Vous ne regrettez pas votre divorce ? À vous entendre, on dirait que vous êtes encore amoureuse de lui. » Je hoche la tête de gauche à droite. « Je ne regrette pas, non. Car je reconnais que je suis très exécrable depuis quatre ans. Oui, je suis encore amoureuse de Nolan, mais je refuse de rester avec lui si c'est pour le blesser. » Les gens ont l'air de comprendre. Je sais bien que je ne suis pas la seule à avoir subi un changement radical de comportement. « Lors de ma première année à San Francisco, j'ai vécu à l'hôtel, jusqu'à ce que je tombe sur Blake, mon ancienne coéquipière. Depuis, j'habite chez elle. C'est agréable d'avoir quelqu'un qu'on connaît et qui comprend bien que je peux être une véritable conne quand je veux. Les gens de cet hôpital sont vraiment agréables, je dois l'avouer, même avec mon horrible caractère. Certaines personnes arrivent même à voir à travers tout ça, comme ce brancardier, Matthew. J'aime bien quand il me rend visite, il me fait rire. J'oublie pendant quelques minutes que je risque de mourir à n'importe quel moment, que je vais encore perdre mes cheveux ou plein de merde de ce genre. » Je change de nouveau de position, croisant désormais les jambes. « Vous êtes donc souvent à l'hôpital ? » Je fais oui d'un geste de la tête. « Je vais bientôt entrer de nouveau en chimiothérapie. Ce qui veut dire un long séjour en prédiction. Mais que puis-je faire ? Je reconnais qu'au départ, j'ai voulu me laisser mourir, sachant très bien que je n'avais aucune chance ; puis je me suis reprise. Il faut que je me batte, je ne vais pas me laisser faire par un petit truc dans mon cerveau. Alors me voilà. Je crois que j'ai fait le tour. » On me remercie pour mon témoignage. Après tout, notre histoire est à peu près la même : tout va bien, jusqu'à ce que la réalité vienne vous mettre une claque en pleine gueule.
Dernière édition par Harley Whitestone le Mer 2 Oct - 13:13, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Lun 30 Sep - 19:30 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Lun 30 Sep - 19:42 | |
| Bienvenue, je t'envoie un mp pour le lien |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Lun 30 Sep - 20:11 | |
| Bienvenue parmi nous. Je t'enverrai un mp tantôt également. En attendant, je te réserve Scarlett pour les dix prochains jours. |
| | | Eirene York-Leicester INTERNE → Première année✄ messages : 1351
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Lun 30 Sep - 20:15 | |
| Bienvenue (ce titre ) Ow, vivre depuis 4 ans avec une épée de damoclès au dessus de la tête, pas facile Je n'aurais pas de lien précis à te proposer de mon côté, mais si tu as une idée je suis carrément pour, par contre |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Lun 30 Sep - 21:10 | |
| Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche J'ai pas d'idées sur le coup, mon cerveau a un peu ramolli, mais je vais y réfléchir. Si t'as besoin de quoi que ce soit, hésite pas à demander. |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mar 1 Oct - 10:01 | |
| Bienvenue ! Je t'envoie un MP pour te proposer des liens, tout ça ! =) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mar 1 Oct - 14:17 | |
| merci à vous tous je vais réfléchir pour les liens, pas pratique quand on est malade |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mar 1 Oct - 16:57 | |
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| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mar 1 Oct - 20:10 | |
| merci |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mar 1 Oct - 20:14 | |
| bienvenue ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mar 1 Oct - 20:23 | |
| merci bien mademoiselle |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mar 1 Oct - 21:13 | |
| merci |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mer 2 Oct - 8:41 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mer 2 Oct - 9:05 | |
| j'adore ton pseudo merci |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mer 2 Oct - 9:16 | |
| Merci ! C'est l'effet Jedi :maggle: *sort* |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mer 2 Oct - 11:58 | |
| c'est trop ça bon, mon histoire devrait être bientôt postée, c'est juste que je m'emballe un peu en l'écrivant |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mer 2 Oct - 15:19 | |
| Très belle fiche, j'ai adoré la lire scalpel please ! Te voilà désormais validé ! Tu peux d'ores et déjà aller poster dans le flood, les jeux, et bien entendu rp. Mais avant toute chose, nous te demandons juste de passer recenser ton avatar par ici, et ensuite d'aller poster par ici pour recenser ton métier. Ce sont des passages obligatoires pour qu'on s'y retrouve un minimum sur le forum ! Ensuite, tu es libre d'aller te créer une fiche de liens, de sujets, et puis... Enjoy |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. Mer 2 Oct - 15:21 | |
| merci |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. | |
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| | | | HARLEY ◮ combattre pour la paix, c'est comme niquer pour la chasteté. | |
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