nom : Malrow prénom(s) : Katerina âge : 25 lieu et date de naissance : le 16 décembre 1988, Nouvelle-Orléans statut civil : Célibataire métier/occupation : Interne en chirurgie nationalité : Américaine orientation sexuelle : Hétéro caractère : Katerina est quelqu'un de très douce ,mais surtout quelqu'un de très seule. Ayant grandi avec pour seul parent, un vieux militaire russe, elle ne connait pas grand-chose à l'amour si ce n'est que de vague relation sans lendemain qu'elle compare au grand amour. S'attachant très vite aux personnes autour d'elle, au fil du temps elle sut se forgée une carapace pour se protéger et, pouvoir vivre dans ces songes.
Vous le verrez par vous-même, Katerina n'a jamais les pieds sur terre et toujours la tête dans les nuages. Encore une grande enfant, elle est le genre de fille qui pleure devant les films avec un pot de glace, qui joue à cache-cache dans un hôpital pour décompresser et qui se déguise pour Halloween. groupe :STITCH avatar : Barbarra Palvin.

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? Oui bien sûr, étant donné que je suis interne en chirurgie. Je passe pratiquement 80 heures par semaine, alors si j'y vais souvent c'est un euphémisme.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ?Vous foutez pas de moi, mais je suis plutôt du genre grosse chochotte. Je saigne un tout petit peu que j'ai déjà les larmes aux yeux. Et pour me soigner une vraie catastrophe, je jure comme une poissonnière alors qu'on m'a à peine toucher.
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Repas de médocs et ça trois fois par jour, personne n'a su me supporter étant malade, car j'ai un caractère de chien quand je le suis. Je pleurniche quand j'ai de la fièvre, grogne pour le moindre problème, gueule pour un rien. Du coup je fais tout pour ne pas tomber malade.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? J'ai commencé à fumer au lycée pour faire chier le colonel, hélas cette habitude que je n'ai pas sut perdre. Je bois aussi, presque qu'à outrance mais qu'en soirée. J'ai un peu honte, mais je suis le genre de nana qui se laisse aller et qui est très vite pompette. Pourtant, je n'arrive jamais à me contrôler.
✂ t'as des problèmes de santé connus ? Non aucun.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Non plus, mais c'est pas comme si je parlais de ça avec le colonel.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Non, je n'ai jamais eu d'allergie.

Le cœur, sans doute l'organe le plus important du corps humain. Le plus beaux aussi, de loin le plus majestueux, le cœur m'a toujours intrigué depuis ma plus tendre enfance.

Petite c'était le son qu'il émanait. Cognant dans ma poitrine, je le percevais à chaque instant de ma vie, quand j'étais heureuse, triste, en colère. J'entendais toujours cette rengaine qui ne s'éteignait jamais. Ce boum boum, qui m'a autant bercé que fasciné. S'en était une obsession je voulais sans cesse en savoir plus ce petit bout de chair que j'arrivais à sentir quand je posais ma main sur mon sein.

A l'adolescence, ce fut son rôle qui m'interpella. Le fait de pomper tout ce sang m'obnubilai en permanence, je passais des nuits blanches à me demander comment pouvait-il faire ça. Est-ce le cerveau qui lui en donnait l'ordre ? En faites à cette époque, je me demandais plein de choses, mais ça n'empêchait pas de me documenter sur le sujet dès que j'en avais l'occasion.

Un peu plus tard, ce fut un côté plus émotionnelle du cœur qui devint ma nouvelle lubie, quand je tombais pour la première fois réellement amoureuse de quelqu'un. Je m'en rappelle de chaque sensation que ressentait mon cœur, chacune si différente et pourtant si semblable. J'adorais le fait d'être amoureuse, je passais des heures dans ses bras. Je m'endormais aux rythmes de ses battements de cœur qui me berçait petit à petit dans le monde de Morphée.

Tout le long de ma vie cette obsession ma suivie, le coeur était comme un proche à part entière, alors ce fut une évidence quand je décidai de devenir chirurgien cardiologue. Qui mieux que moi pouvait correspondre aux critères. Manque de jugeote de ma part, il s'est avéré que plein de personnes pouvais correspondre aux critères. Et ce n'est pas pour autant que j'ai baissé les bras, la route à était incroyablement longue est semé d'embuche.

Un calvaire qui n'est pourtant pas fini, alors pourquoi quand tout le monde est mort de fatigue, craque et devient complètement fou, moi je reste moi ? Est-ce ma forme de folie ou ai-je assez de contrôle sur pour pouvoir me maîtriser amplement. On m'a dit un jour que chaque passion parle un différent langage. Fascinée, passionnée et obsédée, ne sont-il pas des synonymes après tout ?

C'est belle est bien ce que j'ai fait depuis que j'ai l'âge de mon souvenir, parler la langue du coeur.

-------------------

douce- réservé- solitaire- rancunière- égoïste- indépendante- attachante- naïf-

Elle est née à la Nouvelle-Orléans est à toujours était sous le charme de cet endroit. Petite, elle était adepte du vaudou et avait même conçue une poupée vaudou à l'effigie de son père, le colonel. Quand ce dernier sans rendit compte, il brûlât toutes ces affaires en lui répétant sans cesse que " Les distractions sont les meilleurs moyens de détourner son esprit de son but. Elle se promit, de tout faire pour un jour quitter sa maison et de se délivrer de son influence.

Sa mère est morte dans un accident de voiture. Elle fut renversée par un chauffard sous substance hallucinogène, morte sur le coup. Elle n'avait que sept ans à l'époque. Ce jour-là, elle perdit ses deux parents, car le colonel ne fut plus jamais le même. C'est ce jour qu'elle sut qu'elle allait devenir médecin.

Elle eut une bourse pour intégrer une des prestigieuses universités de la Ivy League. Elle fit donc ces études à Yale. Bien que le colonel ait accepté de payer ces études malgré son désaccord avec la carrière de sa fille, Katerina refusa. Elle ne voulait plus dépendre de son père.

Le colonel est quelqu'un d'assez connu. Ayant servie de nombreuse fois son pays, il a été récompensé à plusieurs reprises. Katerina est toujours un peu gênée quand on apprend leurs liens de parenté, car pour elle il n'est rien d'autre qu'un inconnu. Elle ne veut surtout pas qu'on l'associe à lui.