nom : Geller, le nom de jeune fille de sa mère, qu'elle porte depuis quelques années prénom(s) : Poppy de son second prénom, à la base elle s'appelle Azalée âge : 27 belles années à son compteurs lieu et date de naissance : 04/07/86 à San Francisco  statut civil : Célibataire. métier/occupation : Interne en chirurgie nationalité : Américaine, avec quelques origines Australienne orientation sexuelle : Hétérosexuelle. caractère : Intelligente ♦ Jalouse ♦ Solitaire ♦ Secrète ♦ Ambitieuse ♦ Réconfortante ♦ Colérique ♦ Stressée ♦ Curieuse ♦ Bavarde ♦ Dragueuse ♦ Libre ♦ Donne facilement sa confiance, trop facilement ♦ Bordélique ♦ Bosseuse. groupe : STITCH avatar : Megan Fox.

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? Nan jamais… Ah si j’y vais souvent ? J’ai mal compris, j’ai cru que vous me demandiez si je quittais l’hôpital. En réalité j’y passe limite ma vie la bas, je suis interne et autant dire que je passe plus de temps la bas que chez moi.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Peut-être pas me recoudre moi-même mais bon, je ne suis pas non plus du genre chochotte à pleurer pour un petit bobo.
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Tant que ça me soigne et vite, je prends. Je déteste être faible alors j’me drogue aux médoc pour être en forme. Ouais, je sais ce n’est pas forcément pas un très bon exemple.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Je fumais avant mais j’ai réussi à arrêter il y a de ça trois ans. Par contre l’alcool c’est une autre histoire… Je ne bois pas forcement tous les jours mais quand je sors je ne me gêne pas.
✂ t'as des problèmes de santé connus ? Non, pas à ce que je sache. A par le manque de sommeil, mon ancien problème d’obésité et le fait que je m’énerve facilement, je vais très bien, merci de vous en inquiéter.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Ma famille va très bien heureusement et mes ancêtres allaient bien eux aussi. A ce que je sache, aucun cancer ou maladies graves, heureusement.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Je suis allergique aux champignons, sinon pas grand-chose de plus. Je ne tombe pas souvent malade, à part des maux de cranes mais c’est une autre histoire, heureusement.

« Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours voulu être chirurgien. Dans ma famille, c’est une tradition. Mes parents sont chirurgiens, mon frère également, tout cas mes grandes parents et mes oncles et tantes. En fait, rares sont ceux qui se tournent dans une voie complètement opposée. Lorsque j’étais enfant, je voulais perpétuer la tradition familiale, mais disons que j’avais peur de les décevoir et de ne pas y arriver… »


Azalée avait neuf ans lorsque sa maitresse de classe lui donna un exercice qu’elle redoutait tant : passer devant toute la classe et dire ce qu’elle désirait faire lorsqu’elle serait grande. La fillette avait beau répéter à sa maitresse qu’elle n’en avait pas la moindre idée, elle n’avait pas le choix, ce n’était pas vraiment très important ce qu’elle allait dire, le but principal étant it de s’exprimer à l’oral et de savoir argumenter un maximum. En réalité, Azalée savait parfaitement ce qu’elle voulait faire, elle voulait perpétuer les traditions familiales, mais elle manquait cruellement de confiance en elle et redoutait le jugement d’autrui. Il faut dire qu’à cet âge, les enfants ont tendance à facilement se moquer et Azalée était régulièrement le centre des moqueries générales. Elle était différentes des membres de sa famille, elle était la seule à avoir un problème de poids et à l’école, personne mis à part son institutrice n’était tendre avec elle. Elle n’avait pas beaucoup d’amis, seules deux fillettes étaient gentilles avec elle et c’était avec elles qu’elle passait chaque déjeunée, mais de manière générale, Azalée était terriblement seule et passait la plupart de son temps dans ses bouquins, que ce soit durant les pauses à l’école ou encore même chez elle. Ses parents étaient souvent de garde et son frère de sortie. En fait, heureusement que sa nourrice était là ! C’est donc pour cela qu’elle redoutait de passer devant ses camarades moqueurs mais elle n’avait pas vraiment le choix. Après avoir dit tout ce qu’elle avait préparé au préalable, elle finit par dire : « C’est pour toutes ses raisons que je souhaite devenir chirurgienne » C’était la première fois qu’elle le disait, à voix haute. Même ses parents ne le savaient pas. Il faut dire qu’elle avait terriblement peur d’entendre ses parents lui dire qu’elle n’en était pas capable. C’est en baissant le regard qu’elle ajouta : « Mais je n’en ai pas les capacités alors je sais que je n’y arriverais pas et que ce n’est pas pour moi. » Sa maitresse semblait surprendre mais elle savait son manque de confiance en soi alors elle lui dit avec un sourire tout à fait chaleureux « Je sais que tu deviendras un brillant chirurgien » Après tout elle avait les meilleures notes de toute l’école, et de loin ! Comme quoi, ça sert de passer ses journées dans la tête dans ses livres.


« En grandissant, je me suis reprise en main, si je voulais y arriver, il fallait que je mette toutes les chances de mon côté et être bien dans ma peau en faisait partie… »


« Tu es vraiment sure de toi ? » La mère d’Azalée semblait inquiète pour sa fille qui avait particulièrement changé durant ces dernières années. Non pas par son comportement mais plutôt physiquement. . Après avoir passé des années scolaires assez difficiles à cause de ses camarades, la brune avait donc décidé qu’il était temps de se reprendre en main. Psychologue, diététicienne pour des régimes adaptées et surtout sans relâche ou encore coach perso, ses parents avaient été d’accord pour l’aider et puisqu’elle l’avait demandé, ils avaient engagé les meilleurs. Elle avait dix-huit ans passés lorsqu’elle avait parlé à sa famille de sa volonté de passer par la chirurgie. Même si elle avait changé et qu’elle se sentait mieux dans sa peau, elle avait comme le sentiment qu’elle se sentirait mieux après. Elle voulait le financer elle-même, bien entendu, ou du moins les rembourser plus tard car avec ses études elle n’avait pas le temps de gagner un petit salaire à côté. Mr et Mme Hamilton n’étaient pas favorables à cette idée bien qu’ils voulaient la voir totalement heureuse et ce, même s’il fallait qu’elle passe par des opérations. « Oui maman, j’en suis sure ! Ca fait des années que je le sais et maintenant que j’ai dix-huit ans, je ne compte pas revenir sur ma décision. Tu sais très bien que les risques durant cette opération sont rares ». Elle était bien placée pour le savoir, travaillant dans la chirurgie plastique, mais cela ne l’empêchait aucunement d’avoir peur pour elle.
Finalement, elle l’avait fait ! Voulant vraiment vivre sa vie en toute liberté, elle était partie vivre à Miami pour continuer ses études là-bas en changeant d’identité. Azalée Hamilton est devenue alors Poppy Geller. Poppy étant son deuxième prénom et Geller étant le nom de jeune fille de sa mère. Non seulement la brune ne voulait plus être rattachée à celle qu’elle était dans le passé et dont elle avait honte mais aussi, elle ne souhaitait pas qu’on puisse imaginer ne serait-ce qu’une seule seconde que si elle réussissait ses études c’était grâce à son nom de famille et non grâce à elle. C’est donc ainsi qu’elle a commencé sa vie à Miami, pour une nouvelle vie bien qu’elle avait initialement de bons contacts avec ses parents et surtout avec son frère qui a toujours été là pour elle, dans les mauvais comme dans les bons moments.



« Coucou chéri, je vais passer la soirée avec les filles, pour l’occasion de l’anniversaire d’Alexandra » Lorsque Poppy parlait « des filles » elle faisait bien sur référence à ses trois meilleures amies qu’elle connait depuis son arrivée à Miami. Tobias son petit ami le savait très bien. « Nan, j’veux pas que tu sortes ce soir, j’veux qu’on passe la soirée ensemble, juste toi et moi ! » Tobias était comme ça, il n’aimait absolument pas la partager, même avec ses amies. Poppy s’en était rendue compte à quel point il contrôlait sa vie après avoir emménagé avec lui « On passera la soirée ensemble demain, ça fait longtemps que je n’ai pas passée une soirée avec elles ! » Trop longtemps même, elle ne se souvenait même pas la dernière fois qu’elle l’avait fait. Ah si, elle venait d’arriver dans leur bar favoris lorsque Tobias lui avait fait une scène au téléphone pour qu’elle rentre et encore une fois, elle avait obéit sans se rendre compte à quel point il était lourd et que ça en devenait vraiment ridicule. Comme on dit, l’amour rend aveugle, elle en était la preuve parfaite. « Tu sais bien que je ne leur fait pas confiance à ses femmes, elles ont une mauvaise influence sur toi ! » Même si Poppy ne supportait pas qu’on critique ces amies, elle l’écouta et resta sagement en sa compagnie. Si seulement c’était la seule chose pour laquelle elle l’écoutait… Non seulement elle ne sortait plus et ne voyait plus vraiment ses amies, mais en plus, elle avait arrêté ses études pour lui, car selon lui, les études de médecine allait pomper tous leurs temps pour passer des moments ensemble et l’avait convaincus de travailler au restaurant avec lui, en tant que serveuse où il avait toujours un œil sur elle lorsqu’elle parlait avec d’autres hommes, même lorsqu’il ne s’agissait seulement de client au restaurant. Mais le pire que Poppy avait fait, c’était de ne plus parler avec sa famille, encore une fois, pour lui ! Il faut dire que ses parents et son frère n’aimaient pas l’homme avec qui elle était et qui la coupait totalement de la réalité et du reste du monde. Il n’était donc pas accepté par ces derniers et Poppy l’avait choisi lui. Après tout, elle en était amoureuse et il était le seul depuis son opération  qui semblait s’intéresser à elle pour autre chose que pour sa plastique de rêve.


« Et contre toute attente, après avoir commencé mes études de médecines que je semblais réussir avec succès et faire la fierté de ma famille, j’ai tout arrêté… »


« Cependant, mon rêve et le désir de suivre les pas des Hamilton étaient trop grand et je n’ai pas pu m’empêcher de les reprendre après deux ans. »


« Ecoutes Az’, cette relation est malsaine ! Tu n’es plus la même personne depuis que tu l’as rencontré, il faut faire quelque chose… » Son frère Jesse était le seule personne qu’elle autorisait encore à l’appeler de son premier prénom. Cela faisait de longs mois que Poppy n’avait pas eu de nouvelle de son frère, ni du reste de sa famille d’ailleurs. La raison principale était sans aucune était Tobias, et oui, encore lui ! Cependant, Jesse semblait s’inquiéter pour sa petite sœur et était débarqué le matin-même et autant dire que ça ne s’était bien passé avec Tobias mais Jesse ne s’était absolument pas laissé faire et la joie de le voir était tellement grande pour Poppy qu’elle lui avait donné raisons et son petit ami était donc parti au boulot, apparemment furieux. Après avoir échangé des banalités, ils étaient venus au sujet pour lequel Jesse était venu lui rendre visite : il s’inquiétait pour Poppy par rapport à sa relation avec Tobias. « Je suis contente de te voir Jess, vraiment, mais si c’est pour essayer de me monter la tête contre Tobias, ce n’est pas la peine, tu peux repartir direct ! » Bien que son frère avait une place importante dans la vie de la belle brune, elle en avait plus que marre qu’on tente de lui faire entendre raison sur sa relation dite « malsaine » alors que pour elle, elle est était juste superbe. Ok il avait tendance à être trop possessif mais elle ne se rendait pas compte à quel point il avait un certain contrôle sur sa vie. En même temps, comment croire que l’homme qui avait tellement été présent lorsqu’elle en avait besoin et qu’elle commençait une nouvelle vie, ne la laissait plus vivre et la contrôler totalement ? Poppy n’arrivait pas à le croire mais son frère était bien décidé à le lui montrer. « Tu ne te rends même pas compte à quel point il contrôle ta vie. On était si proche avant, tu aimais t’amuser et non rester cloitrer chez toi. Tu rêvais tellement de devenir chirurgienne ce n’est pas possible que tu puisses arrêter pour un homme, ce n’est pas toi ça ! » Le pire, c’est qu’il avait raison, entièrement raison, elle avait changé. . Mais est-ce que c’était bien ou mal ? Elle l’ignorait. « Quand tu as décidé de changer, tu avais de grands rêves, tu voulais être libre, tu voulais réaliser tes rêves… Réfléchis-y ! » Elle y a réfléchi, longuement même. Pendant des semaines elle a fini par ouvrir les yeux et a repris ses études. Poppy ne comptait pas remettre en question son couple quand Tobias a mal réagi face au fait qu’elle reprenait ses études elle a compris que son frère avait raison. Elle avait besoin de liberté, alors elle a fait ses valises et est revenue dans sa ville natale à San Francisco, pour recommencer sa vie à zéro. Cette fois, c’était la bonne.



« Puis un jour, j’y suis arrivée. Mes études à la fac terminées, je commençais mon internat dans l’hôpital où ma famille avait tant appris. Je ne pouvais pas être plus fière de moi qu’à cet instant. »


« Mr Kinn, il parait que vous allez opérer Mme Bowman plus tôt que prévu. Est-ce que je pourrais assister à l’opération ? » Cela faisait quelques mois que Poppy avait commencé son internat à l’hôpital. Comme elle l’avait souhaitait au tout début de ses études, elle ne parlait pas de son véritable nom et que son frère est ici en tant que titulaire. Elle ne voulait pas qu’on la considère comme une privilégiée. Au lieu de cela, personne ne s’en doutait, sinon ils n’oseraient pas autant le critiquer comme ils le font, que ce soit les autres internes, les résidents et mêmes quelques titulaires. Si avant lorsqu’elle était gosse on la critiquait car elle était trop « moche » selon eux, maintenant c’était parce qu’elle l’était trop. C’était bien un comble. « Non Mlle Geller, j’ai besoin d’une seconde paire de main pour me seconder, pas celle d’une écervelée qui aurait peur de se casser un ongle. » Lisandro Kinn, dans toute sa splendeur. Il était sans doute le pire lorsqu’il s’agissait de la critiquer. Si les autres parlaient dans son dos ou se contentait de faire allusion, Mr Kinn lui ne se gênait pas pour lui faire comprendre que sa place était plus sur un podium qu’ici à l’hôpital. Poppy se contenta de lever les yeux au ciel et préféra ne rien répondre car il était son supérieur et qu’elle ne voulait pas griller toutes ses chances de pouvoir être sur cette opération. Pourtant malheureusement, elle tomba sur un dossier des plus banals alors que cette chance fut donnée à un autre interne. Pourtant, cela ne les empêcha pas de s’envoyer en l’air dans la salle de garde quelques heures plus tard. Si on enlevait les réflexions, reproches, haines et tout ce que vous voulez, ces deux-là étaient des amants hors paires avant de se re détester une fois leurs parties de jambes en l’air passées. Personne ne s’en doutait bien évidemment, tout comme tout le monde ignorait qui elle était vraiment. Si seulement ils savaient… ils se sentiraient véritablement bêtes et tout serait différent pour Poppy. Mais bon, au moins elle voyait qui lui parlait sincèrement et non pas ceux qui le ferraient par intérêt. C’était une bonne chance en somme.