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 This girl is on fire.

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MessageSujet: This girl is on fire.    This girl is on fire.  EmptySam 25 Jan - 15:32

Norah Jefferson
" all people have three characters: that which they exhibit, that which they are, and that which they think are. "

 
dossier médical
nom : Jefferson. prénom(s) : Norah, Elizabeth. âge : Vingt-cinq ans. lieu et date de naissance : 21 février 1989. statut civil : Célibataire, mariée à sa vocation. métier/occupation : Interne. nationalité : Américaine. orientation sexuelle : Hétérosexuelle. caractère : Déterminée, ambitieuse, lunatique, décalée, humour particulier, cynique, sarcastique, courageuse, froide, insensible (en surface), peu sociable, fidèle, franche, caractérielle, énergique, talentueuse, indépendante, féministe. groupe : Stitch. avatar : Rachel Bilson. type de personnage : Inventé.
 

 
à hôpital
✂ l'hôpital t'y vas souvent ? L'hôpital, c'est comme mon nouveau chez moi. J'y passe le plus clair de mon temps et à défaut d'y vivre réellement, je vis, je pense hôpital presque constamment. Mon entourage extérieur ne comprend pas bien cette obsession mais, c'est comme si c'était un prolongement de mon être. L'endroit où je suis supposée être, où je me sens moi-même.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Je pense que j'ai les nerfs assez solides pour ne pas me laisser démonter à la première difficulté qui s'impose à moi. Ainsi, je suis loin d'être du genre à pleurer et s'il faut que je me soigne moi-même, je n'hésite pas à le faire. Après tout, on est jamais mieux servi que par soi-même..
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Je crois en la médecine comme à une religion. C'est un science avérée et qui a su faire ses preuves et qui ne cesse de s'améliorer qui plus est. Je ne crois pas à la médecine douce ou tout du moins, elle me laisse perplexe. Je préfère me contenter de mes bons vieux médicaments.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Je n'ai jamais fumé, j'ai toujours trop tenu à mes poumons pour cela et puis, en voyant la santé de mon grand-père se détériorer à cause des médicaments, cela ne m'a jamais vraiment tenté. Par contre, je ne refuse jamais un verre. D'autant plus depuis que j'ai commencé à travailler à l'hôpital, étrangement...
✂ t'as des problèmes de santé connus ? Aucun, heureusement pour moi. Je crois que mon ambition et mes projets d'avenirs m'immunisent contre toute maladie, quelle qu'elle soit.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Tout va plutôt bien de ce côté là. Je sais qu'il y avait des risques de diabète du côté de ma mère mais, je fais bien attention à tout cela.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Allergique aux relations, sans doute. Sinon, au sens strict du terme, rien à signaler.


 
derrière l'écran
Hello everyone !  This girl is on fire.  1755454274  Alors alors, moi c'est Camélia aka fifties. sur le net et j'ai actuellement dix-huit ans. Je suis en première année de LLCE anglais et je fais du rpg depuis... trop longtemps déjà  This girl is on fire.  3070958848 
Je suis donc administratice de ce super forum et je fais des bisous à toutes mes copines du staff en passant  This girl is on fire.  3276111495  This girl is on fire.  3276111495  Je suis passionnée de cinéma, de séries, de chant, de littérature et d'un tas d'autres trucs. Mon père étant médecin urgentiste, autant vous dire que j'ai grandi dans cet univers qui m'a toujours intrigué. En tout cas, si vous avez le moindre problème ou si vous avez envie de parler, ma boite mps reste grande ouverte  PERV  PERV   


Dernière édition par Norah Jefferson le Sam 1 Fév - 16:14, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: This girl is on fire.    This girl is on fire.  EmptySam 25 Jan - 15:32

histoire
« Tes coudes chérie. » Me murmurait ma mère alors que je me tenais mal assise à table, selon ses propres critères de bourgeoise coincée et psychorigide. Nous étions entourées de dames toutes aussi prétentieuses et snobinardes qu'elle : Des femmes de haut rang, tout le supposé gratin de San Francisco. Je m'ennuyais à mourir, écoutant malgré-moi des conversations aussi barbantes qu'inintéressantes. Je fixais ma fourchette, secouant rapidement ma jambe comme pour essayer de me contenir pour ne pas piquer une méchante crise. J'avais envie de m'enfuir de là. De leur crier à toutes de la mettre en veilleuse mais, ma mère ne me l'aurait jamais pardonné. J'avais tout juste seize ans et malgré ma grande maturité, j'étais encore plus ou moins sous ses ordres. « Alors Norah, dîtes-nous un peu ce que vous souhaitez faire après le lycée. » Enfin une question qui éveillait mon intérêt. Ce que je voulais faire ? Je le savais pertinemment. « Chirurgienne. J'aimerais devenir chirurgienne. » Proclamai-je fièrement. Mais alors qu'un sourire triomphant étirait mes lèvres, un rire narquois de ma mère vint rompre le charme de cet instant. « Elle plaisante bien sûr. La médecine ce n'est pas un métier pour une jeune femme de bonne famille. Elle fera des études de littérature pour parfaire sa culture puis, elle se trouvera sans doute un mari bien comme il faut avec qui elle pourra construire quelque chose de stable. » J'avalai mon eau de travers à l'entente de ces paroles, et j'essayai de retrouver mes esprits face à tant de conneries débitées en une seule phrase. Par 'un mari bien comme il faut' elle entendait riche à souhait. Je m'apprêtai à rétorquer quelque chose mais, elle posa sa main sur ma cuisse, signe que je devais me taire et ne pas me montrer désobéissante. Une fois rentrées chez nous, je balançai mes affaires dans l'entrée et cherchai à avoir des explications. « C'était quoi cette scène affligeante devant tes amies quinquagénaires ? C'est vraiment ce genre de vie que tu souhaites à ta propre fille ? Je m'en fous de ce que tu penses. Tu m'empêcheras pas de faire ce dont j'ai envie. » La colère s'emparait de mon visage qui devint rouge en un rien de temps. Je haïssais ma propre mère. Cette femme froide, orgueilleuse et manipulatrice qui préférait le paraître à l'être. Ce soir-là, je me fis la promesse de ne jamais devenir comme elle. Jamais.

Clyde Atkins. La star du lycée, adulé par les filles, jalousé par les autres garçons. Il était en dernière année et moi, j'étais tout juste en première année. Un rat de bibliothèque qui passait inaperçu, le genre de personne invisible dont tout le monde se foutait. Mais, je ne m'en plaignais pas. J'appréciais ma solitude car je partais du principe qu'il valait mieux être seule que mal accompagnée. Et puis, je me devais de rester au top au niveau de mes études si je voulais prétendre à faire partie d'une grande université. Quoi qu'il en soit, je déjeunais seule ce jour-là, comme à mon habitude. Je lisais « La lettre écarlate » pour mon cours d'anglais, écoutant de la musique grâce à mon ipod. J'étais dans ma bulle, coupée du monde extérieur.

« Hey Atkins, ça te tenterait de gagner mon dessert ? » Le jeune homme fit soudainement intrigué. Il lança un regard à son ami, l'air de dire 'dis toujours, on verra'. « Va inviter l'intello à sortir avec toi. » Il désigna Norah d'un signe de tête avant de rire comme un imbécile. Clyde, gagné par l'idiotie qui était propre à la jeunesse, s'en alla en direction de la jeune Jefferson qui mangeait dans son coin. Il s'assit en face d'elle, lui adressant un sourire ravageur. Norah releva lentement la tête, affichant un regard de mépris. Elle retira l'un de ses écouteurs, demeurant silencieuse. « Salut. » Finit-il par dire. Les autres filles auraient sans doute déjà craquées mais, pas elle, ce qui eut le don de le laisser perplexe. « Que puis-je pour toi ? » Rétorqua-t-elle sèchement. Norah n'avait aucunement envie de se montrer aimable, surtout pas envers cet énergumène, ce sportif à moitié décervelé. Elle en avait entendu des choses à son sujet. Ils n'avaient rien en commun et elle se méfiait de lui comme de la peste. Face à tant d'hostilité, Clyde tentait de ne pas perdre son sang froid. Il avait envie de lui apprendre la politesse mais, après tout, il n'était pas très bien placé pour cela, lui qui venait l'embêter pour gagner un pari des plus stupides. « Je me demandais si t'étais libre samedi soir ?  J'aimerais bien t'emmener au cinéma. » Il la regardait dans les yeux, tentant de la captiver, de la faire tomber sous son charme mais, Norah n'eut d'autre choix que de ricaner avec dédain. « Plutôt mourir que de sacrifier mon samedi soir pour toi. » Clyde fronça les sourcils, étonné par tant d'audace venant d'une première année. « C'est vrai, j'avais oublié que tu avais déjà rendez-vous avec tes bouquins. » Norah ferma son livre et soupira lourdement avant de se lever. « Je te suggère de retrouver ton chemin jusqu'à la table des cheerleaders. Je suis certaine que Shelly, Polly ou n'importe qui d'autre sera ravie de te tenir compagnie ce weekend. » Elle lui adressa un sourire faussement courtois puis, partie. Clyde resta quelque peu bouche-bée, affrontant les rires de ses amis qui avaient assisté à la scène de loin.

Je rentrais du lycée, fatiguée par cette longue journée de travail mais, je savais que mes efforts ne seraient pas en vain, qu'au bout du tunnel se trouverait une récompense digne de ce nom : Les études de mes rêves. La porte franchie, je sentis une étrange atmosphère qui flottait dans tout l'appartement. Tout semblait si calme, si vide. Je partis à la recherche de mes parents, parcourant les pièces une à une dans l'espoir de trouver l'un d'entre eux. Un frisson désagréable me parcourut. Lorsque j'entrai dans la chambre conjugale, la lumière était éteinte mais, je pouvais aisément ressentir une présence. Je distinguai une silhouette, comprenant rapidement qu'il s'agissait de mon père. « Papa ? » Dis-je d'une voix douce et inquiète. Il ne répondit pas. Je fronçai les sourcils, m'approchant du lit où il était assis. Les quelques rayons du soleil qui traversaient les rideaux fermés me permirent de remarquer un bout de papier froissé qui jonchait sur le sol. Je me baissai pour le prendre et je reconnu immédiatement l'écriture de ma mère. Elle nous quittait pour suivre son amant en France et elle demandait le divorce. Je n'avais pas les mots, ni les gestes pour réconforter cet homme qui m'avait tout donné. J'étais abasourdie et cette vilaine douleur à l'estomac ne cessait de me rappeler que ma propre mère m'avait abandonné. Je lui adressai une petite tape maladroite sur l'épaule, lui lançant un « ça va aller » peu convaincant.

Mon premier jour à l'hôpital en tant qu'interne. Je m'étais préparée à ce moment toute ma vie et je n'avais aucunement peur. Je savais que cet univers était le mien et que je m'en sortirai comme un chef. J'avais été la meilleure étudiante de toute ma promotion et je n'avais qu'une hâte : passer à la réelle pratique. Je trépignais d'impatience à l'idée de traiter mes premiers cas et de faire ce pourquoi j'étais venue au monde. J'étais désireuse d'adrénaline et j'avais toujours su que j'étais une chirurgienne dans l'âme. C'était ma vocation et quand bien même je débutais au bas de l'échelle, je savais que je n'allais pas tarder à gravir les échelons. C'est donc avec une demi-heure d'avance que j'arrivai à l'hôpital. Un sourire béat se dessinait sur mes lèvres : J'étais enfin chez moi. Néanmoins, je n'arrivais pas à trouver mon chemin et je décidai donc de ravaler ma fierté pour le demander au premier venu croisé. Un jeune homme élancé au regard magnifique qui eut le don de me troubler rapidement. Je fis taire ma petite voix intérieure qui me criait de lui sauter dessus. Je n'étais pas là pour cela, après tout. « Bonjour. Excusez-moi, est-ce que vous savez où se trouve la salle des internes s'il vous plait ? » Je tâchai de ne pas le regarder dans les yeux pour ne pas perdre mon sérieux bien que ce n'était pas dans mon habitude de baisser le regard. « Bien sûr. C'est la première porte à gauche, juste derrière vous. » Je le remerciais d'un signe de tête puis partis confiante. Je n'avais même pas fait attention à ce qu'il y avait écrit sur la porte mais, j'aurais dû puisqu'en moins de temps qu'il fallait pour dire « scalpel » je déboulai dans le bureau du chef de service. Confuse et soudainement prise de mutisme, j'en sortis aussitôt, sans dire un mot. Enfin, je compris pourquoi le jeune homme m'avait tant troublé. Je le connaissais et n'avais pas un très bon souvenir de lui. Comme il me restait un peu de temps, je partis à sa recherche, le trouvant accoudé au comptoir de l’accueil, un sourire faussement innocent accroché aux lèvres. Je ne supportais pas son air supérieur et le fait qu'il se sentait si malin. « Toi. » Dis-je en serrant les dents alors que je m'approchai de lui d'un air menaçant. « Je suis vexé que tu aies mis aussi longtemps pour me reconnaître. Moi j'ai su tout de suite qui tu étais, malgré tous ces petits changements. » Il se permit de jouer avec une mèches de mes cheveux parfaitement soignés et bouclés avant de m'adresser un regard grossier qui me parcourut de la tête aux pieds. J'étais devenue une femme et lui était demeuré un idiot. Je soupirai d'agacement avant de m'éclipser, le laissant à ses railleries enfantines.
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