CE QUI SE SAIT SUR ELLE ▲ Elle a étudié à Columbia (New York City) et a fait toutes ses années de residency là-bas. Très respectée au sein de l'hôpital, elle est autoritaire, mais extrêmement compétente. Tous reconnaissent qu'elle fait passer l'intérêt de son service et des patients avant tout le reste. Elle mène les urgences d’une main de fer et jusque là, personne n’a encore essayé de la contredire ou de lui reprocher quoi que ce soit. Du coup, on la surnomme le tyran. Ca l'amuse secrètement. Sa cryptonite est sans conteste le café. Tout le monde dans son service prend bien garde de vérifier que la cafetière dans son bureau est toujours pleine avant de venir lui demander quoique ce soit. Elle vient tous les jours en moto.

CE QUI SE DIT SUR ELLE ▲ Blake est la source de nombreuses rumeurs. Par exemple, on raconte qu’elle a la fâcheuse tendance à « fraterniser » avec la gente masculine de la ville ou même certains de ses confrères de passage dans l’hôpital. C'est vrai qu'elle a tendance à flirter facilement. Et qu'ayant grandi dans un univers exclusivement masculin, elle est, socialement, plus à l'aise avec les hommes qu'avec les femmes en général. On raconte qu'elle a été fiancée à une époque, mais ça semble peu vraisemblable pour beaucoup de monde. C'est pourtant vrai : avant qu'elle ne quitte NYC, elle était fiancée à un autre médecin. Sauf qu'elle est partie sans un mot, sans une explication. Et qu'elle n'en parle pas. Jamais.

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AMANTS (tous groupes acceptés - hommes officiellement célibataires uniquement) ► Des coups d'un soir pour se réchauffer, des histoires de plusieurs soirs pour profiter. C'est indéniable : Blake aime la gente masculine et ses attentions. Et c'est une belle femme, après tout. De là à dire qu'elle couche avec n'importe qui, c'est faux. Déjà, il faut que l'autre parti soit beau. Intelligent de préférence. Intéressant (drôle, spirituel, attendrissant, etc) obligatoirement. Et surtout : pas prise de tête. Bon, ok. Parfois elle se plante et au petit matin, ils sont là à se prendre la tête. Galère quoi.

COLLEGUES (scalpels, scrubs, book -professeurs-) ► Brillante et volontaire, Blake est respectée et reconnue pour ses compétences. En revanche, comme elle mâche rarement ses mots avant de les servir à ses confrères, parfois, ça peut aller au clash si en face, on souffre d'un excès de susceptibilité ou d'émotivité.

ELEVES (stitch, book -étudiants-) ► Pour les étudiants, être sous sa houlette présente l'avantage certain d'un enseignement fait par une des meilleurs et le confort d'avoir des ordres clairs et précis. Par contre, il faut s'accorcher. En général, Blake n'aime pas enseigner à ceux qui ne sont pas motivés. Et elle s'irrite rapidement de l'incompétence crasse. Certains diraient qu'elle manque de patience et de tact. Certes, mais elle est persévérante et donc préservera à essayer de faire entrer le savoir dans ces chères têtes blondes. Au fond, elle les aime bien ses élèves et elle se montre abrupte avec eux pour leur apprendre un peu la vie.

PATIENTS (anesthesia, inhabitant) ► On peut dire ce qu'on veut sur Blake, mais on ne pourra jamais lui enlever le dévouement qu'elle a envers ses patients. Bien sûr, c'est parfois un peu rude, un peu rugueux dans la façon de faire. Mais elle fait de la médecine d'urgence et, contrairement aux autres spécialités, on n'a pas toujours le temps de faire dans la dentelle aux urgences. Alors qu'on lui pardonne sa dureté, c'est vraiment toujours pour le bien du patient qu'elle fait ça.

ET TOUT LE RESTE (tous groupes acceptés) ► Si vous avez des idées, n'hésitez pas à proposer, surtout ! <3

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NEW COLLEAGUE ► Blake ne le connait pas bien. Ou seulement en passant. Son nom, son parcours et ses capacités. Blake ne s'est vraiment intéressée à lui que le jour où son CV a atterri dans sa pile de paperasse pour une demande d'intégration au service. Compétent, c'est ce qu'il semble - après tout, jamais elle n'embaucherait un incompétent notoire. Malgré tout, Blake le surveille. Pas parce qu'elle ne lui fait pas confiance ou parce qu'il a notablement foiré un jour. Mais parce qu'elle met un point d'honneur à connaître et évaluer les capacités et limites de chaque membre de son service. Enfin parce qu'elle ne voudrait pas qu'il fasse gripper la machinerie bien huilée qu'elle a mise en place aux Urgences.