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| (aloïs) why'd you only call me when you're high. | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Dim 29 Sep - 19:52 | |
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Aloïs Nicholson petite citation petite citation petite citation petite citation dossier médical nom : nicholson, un nom pas réputé du tout dans le monde médical, j'suis un parfait outsider dans l'boulot. parfois, quand j'vois des potes être connu ça m'fout les boules, mais ça a ses avantages d'être monsieur nobody. prénom(s) : aloïs, bizarre hein ? mais tu peux aussi m'appeler lolo, y'a pas de problèmes. âge : vingt-quatre, fraichement diplomé. lieu et date de naissance : le 25 août 1988 à San Francisco. statut civil : c'est compliqué, très compliqué, j'suis marié mais c'est une big erreur. métier/occupation : j'suis sage-femme. s'il te plait, ne te fous pas de ma gueule. oui c'est écrit femme et j'suis un homme petit con. j'aime mon métier. sinon j'fais du jogging tous les dimanche matin. nationalité : américain, cent pour cent californien. orientation sexuelle : homosexuel dude. ça fait longtemps que j'le sais, que j'le sens, que je désirais les mec. caractère : puérile, irresponsable, viril, protecteur, avare, menteur, joyeux, hyperactif, indiscret, aimant, susceptible, doux, exubérant, un peu con, inculte, bohémien, naturaliste (il aime se promener tout nu dans l'appart'), pacifiste, tête-en-l'air, sensible, séducteur. groupe : scrubs. avatar : alex libby.
à hôpital ✂ l'hôpital t'y vas souvent ? j'y travaille, donc ouai assez souvent lol, c'est-à-dire six jours sur sept. ✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? voir les gens souffrir, je supporte, mais me voir avec une petite égratignure au poignet peut me donner la nausée. je déteste ne pas me savoir en santé. ✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? j'me mets la totale. boum tiens quatre paracétamol pour calmer ma migraine, bam des antibiotiques contre la crève dès que je ressens le moindre gazouillis au niveau des glaires. ✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? je fume et beaucoup. je sais que c'est pas bon pour la santé, que j'me détruis sûrement les poumons et tout l'tralala, mais j'peux pas m'arrêter. j'ai besoin de mon quotta de nicotine dans la journée pour pouvoir suivre le rythme de mon job. c'est pas facile à l'hopital alors j'essaye de me déstresser avec mes clopes. ✂ t'as des problèmes de santé connus ? à part la flemme lorsque je rentre chez moi, rien d'alarmant. ✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? je sais imité schwartzenegger. ✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? ouai j'suis hyper sensible des oreilles, alors bonjours toutes les otites que j'me tape. sinon je touche aux femmes enceintes, donc j'suis pas le plus propice à attraper des maladies à l'hopital.
derrière l'écran moi c'est darkshadows. la joueuse derrière l'écran que je suis a vingt ans et est en deuxième année de biochimie. voilà on s'en fout sûrement hein mais bon je sais jamais quoi dire dans ses trucs ah si, j'ai trouvé le forum sur baz' no kidding puis, j'ai jamais regardé grey's anatomy shame on me i know j'crois que j'vais commencer, en plus une amie me harcèle pour que je regarde alors bon histoire d'avoir la paix bon, si quelqu'un veut un lien qu'il m'en parle
Dernière édition par Aloïs Nicholson le Dim 6 Oct - 9:28, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Dim 29 Sep - 19:52 | |
| histoire Nos pieds crissent sur les graviers et craquent sous le sable. Le jour est encore présent bien que le soleil commence sa descente dans les tréfonds de la Terre. Les ténèbres ne s’abattront que plus tard sur San Francisco. L'un des avantages de la région pour les gamins que nous sommes. Nous profitons toute l'année du climat estival ou presque. Ici, on a l'habitude de sentir les rayons du soleil taper ainsi sur notre peau. La chaleur est de coutume. Aujourd'hui ne déroge pas à la règle, il fait beau. Aucun nuage ne vient troubler l'étendu bleu qui se prolonge jusqu'à l'horizon. Si on se couche dos par terre, on pourrait croire qu'une mer calme et douce, brillante et tiède se tient là-haut. Je me suis toujours demandé ce qu'il y avait après ce plafond immaculé. A l'école, on m'avait répliqué que j'apprendrais ce qu'il se cache derrière cette couleur bleue. J'attends encore les réponses à mes questions. J'ai onze ans et je suis dévoré par ces choses qu'on ignore. Je veux savoir, tout savoir. Je veux connaitre ce que la Terre recèle comme trésors. J'en ai marre de me contenter d'apprendre les mœurs des différents États des States et des Capitales. J'ai envie d'explorer un tout autre monde, celui qui se situe en dehors de notre pays. Je veux voir ce qu'il y a plus loin que nos frontières. Paris, São Paulo, Tokyo, etc... Moi, je ne demande qu'à voir de mes propres yeux. Les photographies sont belles, mais ce ne sont que des images. Je ne les ai jamais aimés. Seth non plus d'ailleurs. Faut dire qu'on s’ennuie à en mourir à l'école. Je n'arrive pas à me concentrer. Être attaché à une chaise et ne pas se lever pendant plus de deux heures est du pur sadisme. Qui a inventé l'école d'ailleurs ? Si jamais je rencontrai l'inventeur, je lui cracherais littéralement à la figure. L'école, c'est pourri. Les leçons ne m’intéressent pas. On s'en fiche de savoir pour la dixième fois qui est le Président de États-Unis. Moi, je veux savoir comment est fait notre monde, comment il est régit, comment la nature est apparue sur cette boule de bouse. Voilà des questions intéressantes. « Tu crois que madame Livingstone s'en remettra ? » En fait, je ne me soucie pas du tout d'elle. Mais j'ai envie de me rappeler les moments fous que nous venions tout juste de vivre, mon meilleur ami et moi. Je penche ma tête vers Seth, un sourire immense et moqueur à la bouche. J'ai envie de voir sa bouche esquisser un sourire complice, un sourire honnête, le sourire que j'aime tant contempler. Les souvenirs de ce matin affluent et je revois l'expression de maîtresse lorsqu'elle a senti l'épine lui transpercer le tailleur. Certes, un classique, mais la classe n'avait pas pu succomber aux rires. Enfin une distraction digne de ce nom. Seth et moi n'avions pas hésité une seconde à mettre en place ce gag. Alors que nous continuons de marcher sous le soleil, l'effet attendu tombe et nous nous mettons à rigoler. Une fois commencé, on ne peut plus nous arrêter. On s'arrête mutuellement et on se soutient les côtes. Nos abdomens ont le privilège d'être bien entretenus. Il nous faut bien plusieurs minutes pour nous remettre de nos émotions. Nous soufflons bruyamment un moment, puis Seth me prend soudainement par les épaules. Il est plus grand que moi, et donc mes bras se dégagent de mon buste pour aller entourer sa cage thoracique. Bras dessus, bras dessous, nous terminons lentement notre chemin. « Aloïs, j'ai déjà une nouvelle idée pour demain! » Je me sens bien collé à lui. On est comme des jumeaux. Castor et Pollux. Des âmes sœurs. La remarque de Seth m'arrache un sourire teinté d'un rictus. Il est fort mon meilleur ami. Le plus fort de nous deux. Autant vous dire qu'ensemble, on est puissant. Rien ne nous arrête. « Vas-y, racontes! » Ma voix est pleine d'excitation et d'impatience. Demain sera un excellent jour. Seth s'élance dans des explications farfelues et moi je hoche la tête, je commente et je le conseille. Nous sommes de véritables stratèges. Petit à petit, nos éclats de voix et le raclement de nos pas s'accrochent au vent et se perdent au loin.
(...)
Et l'inconnu m'embrasse. C'est doux et tendre à souhait. Je suis bercé soudainement dans un halo de lumière d'où jaillissent des rayons chaleureux et voluptueux. Ce gars, je ne connais rien de lui, pourtant ça fait plusieurs fois que j'le vois, je ne pourrais te dire par quel miracle je l'aime autant. Comment le destin nous a-t-il réuni, lui et moi ? Qu'est-ce qui nous unifie alors qu'on a rien en commun ? Le sexe ? Je ne sais pas et je préfère ne pas vouloir y répondre. Le moins je pense en sa présence, mieux ce sera. Non, là, à la seconde près, je goûte pleinement à ses lèvres et au contact de sa chair contre ma peau. Je soupire d'aise entre deux baisers, puis me relance dans notre étreinte amoureuse. J'avance alors qu'il recule. Je ne comprends que lorsque je sens le tissus rêche du sofa me frotter la peau. Je souris dans l'embrasse de sa bouche. De ma main libre, je m'assure à ce qu'il ne tombe pas et l'aide à se coucher sur le canapé. Nos baisers brisés, je le regarde droit dans les yeux, comme si ce qui va suivre est solennel. Je caresse sa joue, puis ses lèvres, ma main descend jusqu'à sa nuque. Mes doigts titillent gentiment sa peau. Je ne sais pas si je vais pouvoir résister plus longtemps à l'entrainer dans une course effrénée. Son t-shirt me fait obstacle. C'est à ce moment-là que je me rends compte que je veux découvrir chaque parcelle de son corps qui m'est inconnue. Et alors, je pense que je n'aurais plus de préjudices à le regarder avec des yeux dévorants de désir, ni à l'aimer en tant que cousin. Je prends le pan de son haut et le tire vers le haut. Le jeune homme l'enlève et met en avant son buste et ses abdominaux. Des pulsions enivrantes naissent dans le bas de mon bassin et m'oblige à respirer à un rythme soutenu. Plus l'inconnu s'offre à moi, plus l'excitation monte. Je me penche à nouveau pour l'embrasser, mais cette fois je n'y vais pas de mains mortes. J'immisce ma langue entre ses lèvres et le force à en faire autant. Je veux que nous ne fassions qu'un, à commencer par nos baisers. Nos langues entremêlées, je ressens déjà le besoin de le satisfaire. Ma main glisse inévitable de son torse musclé au dessous de la ceinture. Là, cet endroit caché, mais si désiré. Du coin de l’œil, j'observe sa réaction pour savoir quels sont ses points faibles et si mes caresses lui plaisent. Sa bouche entrouverte répond immédiatement à mes doutes. La nuit risque d'être déchainée.
(...)
Je soupire longuement tout en enlevant le masque qui me couvre la moitié du visage, un si beau visage caché par ce tissu de gaze bas de gamme. Tu n'as pas le choix, c'est le métier qui requiert une protection. Tu fais quoi exactement pour être ainsi accoutré ? 'tain faut que je te parle après Taïssa. Ma collègue hoche la tête alors qu'elle se tue à mettre au monde un bébé. Sage-femme, voilà ce que tu es. Tu détestes le crier à voix haute parce que la plupart du temps on se fout de ta gueule et la plupart du temps tu leur finis pas casse les dents à ses chiens. Tu supportes pas qu'on remette en question ton boulot. T'aimes bien ce que tu fais et t'es fier d'en être arriver à là, c'est pas comme si ta famille se composait de Einstein. Disons que tu es le seul enfant de la fratrie à avoir continuer des études intéressantes et hors du commun. Pour en revenir au présent, tu es donc en train de faire accoucher une meuf. Elle souffre, c'est indéniable. Tu te demandes quand même le taux de douleur que représente un accouchement. Au vu de la transpiration sur les tempes de la dame et à ses cris malgré une péridurale, tu déglutis avec une moue. Non, en fait, tu ne veux pas du tout savoir. Si ça t'arriverai, tu hurlerais de souffrance, tu serais tordu sur ce lit d'hôpital. Et voilà! Félicitation Madame c'est une fille! Ton amie te donne le nouveau-né -beurk c'est laid- et tu t'occupes de la peaufiner, de couper le cordon ombilical, etc. Une fois fait, tu le présentes à la mère, le sourire au lèvres, un véritable sourire colgate. C'est le moment que t'adores. Certains réagissent super bien et puis d'autres... enfin il y a toujours des cas à part vous voyez. Taïssa et toi sortez rapidement. Vous êtes pressés d'être en pause pour en fumer quelques unes sur le balcon. Aussitôt dit, aussitôt fait. Une clope entre les doigts, vous soufflez dans l'air comme la cheminée d'une locomotive. Alors, tu voulais m'dire quoi tout à l'heure ? Tu te redresses et souris nerveusement du coin de la bouche. Tu crains la réaction de ta pote. Taïssa, c'est même plus qu'une copine tu vois, c'est une super pote. Elle tient à toi, vous vous confessez l'un à l'autre, etc. T'as pas envie de tout détruire sur ton passage en lui révélant ton petit secret. Pourtant, si tu ne le lui dis pas, elle l'apprendra forcément et elle t'en voudra à coup sûr. Bon, tu m'fais pas la gueule, promet-moi. Tu la vois hausser des sourcils. Qu'est-ce que t'as foutu encore ? Tu t'éclaircis la gorge. Je... j'me suis marié Taïssa. Je la vois faire les gros. Tu rigoles là j'espère ? T'aurais envie de rigoler mais le coeur n'y était pas. Eh bien non. L'alliance que tu portes au doigt vient contrecarrer le doutes de la brune. Elle met une main à la bouche. Et même pas tu m'invites dumbass! Elle réussit à me décrocher un petit rire. Non mais je ne le connais même pas, c'est ça le réel problème. Taïssa, j'suis dans la merde, j'me suis marié à un inconnu. Je tire sur ma clope de plus belle. Ah bah ouai, t'es dans la merde mec. Tu soupires. Merci pour ton soutien chérie.
Dernière édition par Aloïs Nicholson le Ven 18 Oct - 17:08, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Dim 29 Sep - 20:07 | |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Lun 30 Sep - 3:12 | |
| Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche Je te réserve ce bg pour 10 jours Si t'as besoin d'autre chose fais moi signe. |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Lun 30 Sep - 6:02 | |
| Alex, excellentissime choix. Bienvenue parmi nous. |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Lun 30 Sep - 16:37 | |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Lun 30 Sep - 18:02 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Lun 30 Sep - 19:57 | |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Lun 30 Sep - 20:04 | |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Jeu 3 Oct - 18:59 | |
| bienvenue |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Sam 5 Oct - 14:10 | |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. Jeu 10 Oct - 10:15 | |
| Coucou, ton délai de réservation pour Alex Libby est terminé ainsi que celui pour finir ta présentation. Je déplace donc ta présentation dans les présentations en danger, n'hésites pas à poster un message à la suite pour que l'on t'accorde un délai et que tu puisses finir ta fiche En espérant te revoir très vite |
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| Sujet: Re: (aloïs) why'd you only call me when you're high. | |
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