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| Sujet: (F) JENNIFER LAWRENCE ✂ golden baby. Sam 23 Nov - 23:23 | |
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MARILOU DAËMS 23 ✂ EN COUPLE ✂ EXTERNE EN MÉDECINE ✂ QUÉBÉCOISE ✂ BOOKdossier personnel CARACTÈRE + hyperactive - captivante - optimiste - aimable - imaginative - intrépide - dynamique - joviale - sociable - romantique - passionnée - arrogante - nonchalante - joueuse - casse-cou - colérique - émotive - revancharde - têtue - pot-de-colle.
PROBLÈMES DE SANTÉ + bien que ce soit des soucis d'ordre plus psychologiques que physiques, je l'imagine bien souffrir d'hyperactivité depuis qu'elle est gamine, le tout accompagné d'un trouble du déficit de l'attention. elle suit un traitement permanent censé la calmer, mais ça ne l'empêche pas de mener sa barque à cent à l'heure.
histoire ✂ je te laisse déterminer comment se sont déroulées les vingt-trois premières années de sa vie. difficiles, simplissimes, à toi de voir. ✂ native de sept-îles, elle n'eut jamais quitté le québec, jusqu'à ce qu'elle décide de partir faire ses études sous le soleil de la californie. issue d'une famille potentiellement nombreuse ou tout simplement peu fortunée, je la vois bien galérer financièrement. pas au point de vivre dans un carton, mais disons que la bourse d'études à laquelle elle a droit lui est largement nécessaire. ✂ sinon, tout est totalement libre! c'est ton personnage après tout, pas le mien. CHARLIE WEIR "SOYONS EXTRAORDINAIRES ENSEMBLE, PLUTÔT QU'ORDINAIRES SÉPARÉMENT." - "T'AS PAS BESOIN DE MOI POUR ÊTRE EXTRA".en bref: marilou et charlie se tournent autour depuis deux, trois mois, et ne sont ensembles que depuis quelques semaines, même si officiellement, personne n'est encore réellement au courant. pour ne pas officialiser trop tôt une histoire à peine naissante, mais surtout par crainte d'être jugé par les grands pontes de l'hôpital. charlie se fout du regard des autres, marilou aimerait pouvoir en faire autant, mais sait que le fait qu'une simple externe se "tapant" un résident bien plus vieux qu'elle n'a rien de bon pour sa carrière. alors elle le cache, tant que faire se peut, même si au fond, elle rêverait de pouvoir hurler sa relation à chaque infirmière, à chaque anesthésiste, et même à la dame qui se charge de passer la serpillière tous les soirs. le charlie, elle la fuit pendant longtemps, pour, malgré les apparences, se laisser séduire chaque jour un peu plus par ce mec qu'elle trouvait à la base bien trop vieux et trop ennuyeux. elle le pousse à dévoiler ce grain de folie qu'il a du mal à assumer, tandis que de son côté, il la canalise et lui apporte toute l'affection dont son petit cœur fragile a besoin. lorsqu'ils ne sont pas à l'hôpital, ils ne se lâchent pas, tout simplement. si elle l'aime? déjà? probablement. s'il l'aime? elle le voudrait tellement, mais sait que ce n'est pas encore le cas, et fera tout pour que cela arrive.- - - (extrait de ma fiche) - - -
- Spoiler:
- - - - - I told you I was trouble, You know that I'm no good. Une main, des doigts qui glissent doucement sur ton torse et qui, à chaque grain de beauté, marquent un temps d'arrêt, pour reprendre lentement leur chemin. Tes yeux demeurent fermés, mais tu le sais, tu le sens, tu les connais par coeur. Toutes les femmes que tu as connu n'ont eu cesse de te radoter la même chose, en pensant toutes taper dans l'original. C'est marrant, on dirait une constellation. Parce que j'ai été créé par les dieux eux-mêmes. C'est ce que tu leur réponds à chaque fois, sachant que la carte du prétendu prétentieux est une valeur sûre et intemporelle. Perdu entre le sommeil et l'éveil, le conscient et l'inconscient, tes paupières restent closes et ton esprit embrumé. Tu n'as aucune idée de qui peut-être la fille à tes côtés, l'heureuse propriétaire de cette hanche délicieusement galbée sur laquelle ta main semble être posée. Et là, maintenant, tout de suite, tu t'en fous royalement. Tu ne penses à rien, seulement bercé par ce silence apaisant, cette odeur de café frais, et ses doigts fins qui ne cessent de taveler ta peau. Tu pourrais rester ainsi des heures, au calme, paisible, loin du vacarme et de l'adrénaline constante de ton quotidien. Tu mènes ta vie à cent à l'heure, et c'est comme ça que tu l'aimes, mais quelle machine n'a pas un jour besoin de recharger ses batteries? Le repos du guerrier, comme le dirait ton meilleur ami. Puis son visage te revient à l'esprit, vos soucis avec et, déployant finalement tes pupilles d'un bleu profond, tu décides de balayer William et vos 'différends' d'un coup de cils, plongeant ton regard dans celui de celle dont le corps épouse divinement bien le tien. Marilou. Tu t'en souviens maintenant. Cette petite externe avec qui tu partages ton lit et ta vie depuis plusieurs semaines maintenant. Une jolie blonde aux traits doux et à l'iris bleutée. Ton reflet, en quelque sorte, si ce n'est qu'elle est bien plus belle que tu ne peux être beau, et bien plus belle que toutes les femmes que tu as pu rencontré. Alors tu la fixes, quelques secondes, et contemple le superbe sourire qu'elle daigne t'offrir. "Bonjour bébé," et d'un geste lascif, ta main vient se caler dans sa nuque, tandis que tu attires son visage vers le tien pour poser sur ses lèvres le plus chaste des baisers. Front contre front, tu lèves ta main encore engourdie, et viens caresser sa tempe du bout des doigts, répondant à son sourire déployé. Puis, prudemment, comme si tu avais peur de la briser à chaque instant, tu laisses ton nez se frayer un chemin vers son cou, et humes à plein poumons l'odeur que dégage sa peau. "Putain, qu'est-ce que j'aime ce parfum, c'est dingue...", et elle rit doucement, amusée par cette phrase que tu lui répètes sans cesse. "Tu radotes, vieil homme. Alzheimer te guette, c'est bien triste." Marilou sent constamment la fleur, la candeur aussi. Une sorte d'analogie qui, même lorsque tu as les yeux fermés et ne peux voir ses traits de poupée, te rappelle à quel point ta copine est encore jeune. Onze ans vous séparent, et bien que tu tentes de te convaincre qu'un vieux biker surdiplômé comme toi n'a rien à faire avec une fille comme elle, tu n'arrives pas à t'y résoudre. Marilou n'a rien d'une gamine écervelée, bien au contraire. Elle est brillante, sera probablement un grand chirurgien, a la tête sur les épaules, et ce grain de folie qui a le don de te faire fondre à chacune de ses frasques. Dieu seul sait à quel point tu as bataillé pour l'avoir, et les milliers de dollars que tu as pu dépensé à la machine à café pour lui offrir à chaque heure de la journée le même sempiternelle chocolat au lait. Le pire, c'est que tout ça, ça ne te ressemble absolument pas. Toi, t'es qu'un coureur de jupons pour lequel les filles se bousculent. Trente-quatre balais, et pourtant, t'as jamais cherché à te poser. Parce que Marilou est différente de toutes les autres nanas que t'as pu fréquenté? Oui, certes, mais au fond, tu sais qu'on est bien loin du compte. Tu es attachée à elle, peut-être même qu'un jour, tu l'aimeras du plus profond de ton âme, comme elle le mérite, mais aujourd'hui, il n'en est rien. Aujourd'hui, Marilou n'est qu'un joli pansement collé sur une plaie que t'arrives pas à guérir. Celle laissée par ton meilleur ami, qui te manque du plus profond de tes tripes. Tu lui en veux pour ce baiser alcoolisé qui t'a tant déstabilisé, tu lui en veux de vous avoir laissé vous éloigner, tu lui en veux aussi de refuser de se soigner. Tu lui en veux tellement, mais en même temps, t'arrives pas à le détester. Parce qu'au fond, Will, c'est tout ce que t'as. Mais t'essayes tant bien que mal de te convaincre du contraire, de te foutre dans le crâne que, désormais, t'es plus tout seul. T'as Marilou, et t'as tellement, tellement envie de l'aimer. Alors, te redressant, tu t'assieds contre la tête de lit et, d'un geste habile, attrape la taille de la belle et viens doucement l'asseoir sur tes hanches, déposant tes deux mains au creux de ses reins. D'un coup d'oeil, tu la toises et, approchant ton visage du sien, viens l'embrasser de nouveau. "Tu pars déjà?", que tu murmures contre ses lèvres. Et à son tour, elle vient caler ses deux paumes sur tes joues, et ponctue ta question d'un énième baiser. "Yep, y'en a qui bosse aujourd'hui, contrairement à certains," qu'elle déclame en insistant sur le dernier mot. Tu ne peux t'empêcher de laisser échapper un léger rire, accompagné d'un sourire satisfait. "C'est mon premier jour de repos d'puis deux ou trois semaines, alors j'te prierais de n'pas trop la ramener jeune fille." Tu baisses les yeux et, soudainement, les motifs de ta housse de couette semblent devenir fort intéressants, et ta voix bien moins assurée qu'habituellement. "Cela dit, j'aurais préféré le passer avec toi." Et Marilou couine, rigole, manque de hurler, manifestement emerveillée par un tel élan de tendresse, bien qu'uniquement verbal. C'est ça qui te plaît terriblement chez elle. Et elle t'attire vers elle, parsème ton visage de dizaines de petits baisers auxquels elle ne te laisse même pas répondre. "Préviens-moi la prochaine fois que tu comptes lâcher une telle bombe. Je viens de frôler l'AVC, connard." Énième sourire, et tes pupilles finissent par retrouver les siennes. "Laisse-moi partir mon chat, je suis déjà en retard. Abbey va me tuer, et je serais obligée de lui dire que c'est de ta faute..." "Laisse-moi une minute, le temps de me mettre un truc sur le dos, et je t'y emmène en moto. Ça ira bien plus vite que ton vieux taco pourri." Ne jamais la quitter, autant que faire se peut.
Dernière édition par Charlie Weir le Dim 24 Nov - 0:09, édité 2 fois |
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