(avery) you're gonna hear me roar louder than a lion.

Invité Invité

Avery Ruth Pope

disappearances happen. Pains go phantom. Blood stops running and people,
people fade away.

dossier médical

nom : Pope, un nom qu'elle tient de son père, James Pope et de sa défunte mère Alison Pope. prénom(s) : Avery, prénom masculin qui n'a pas été choisi par hasard. C'est un hommage à son grand père, décédé lors de la guerre du Vietnam. Ruth était le prénom de sa grand mère. Avery est un hommage à elle seule. âge : vingt-sept ans. lieu et date de naissance : le 2 mars 1986 à Phoenix, Arizona (USA). statut civil : en couple avec meetic. métier/occupation : résidente en deuxième année, hésitant encore entre la pédiatrie et ?. nationalité : américaine, avec cependant des origines grecques. orientation sexuelle : hétérosexuelle. caractère : drôle, souriante, têtue, caractérielle, douce, attachante, sensible, adorable, intelligente, compétitrice, brisée. magic smile groupe : stitch. avatar : emilia clarke.

à hôpital

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? j'y travaille de jour comme de nuit. En tant que résidente, je me dois de toujours être à la disposition de mes titulaire et de mes patients. Il m'arrive d'y rester plusieurs jours sans jamais rentrer chez moi. La salle de repos n°4 est pratiquement devenue ma seconde maison, et lorsque je ne suis ni chez moi, ni dans cette salle, alors vous savez que je suis au bloc à tenter de sauver des vies.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Quand on a passé tant d'heures aux urgences à recoudre patients sur patients, on apprend à faire face aux petits bobos. Il m'arrive de me suturer moi-même mes petites plaies, ce sont des gestes simples qui deviennent quotidiens. Je pense que dans ce milieu, on a pas le temps de pleurnicher sur nos plaies, on a seulement celui d'agir.
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Je ne suis pas adepte des médicaments. Etrange lorsqu'on sait la dose de médicaments que l'on est capable de donné à un patient dans une seule journée. Mais lorsque cela me concerne, je limite la prise de médicaments. Malgré cela, le doliprane est toujours mon meilleur ami au lendemain d'une soirée.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? c'est par vagues. A certains moments, la cigarette devient un besoin vital pour moi. Je suis capable d'en fumer la quantité d'un paquet par jour. Mais je sais aussi m'arrêter lorsque mon corps faibli et que je prend conscience des choses. Au niveau de l'alcool, c'est un réel problème pour moi. Je bois plus que je ne le devrais, je bois pour oublier, pour me pardonner, même si cela s'avère inutile.
✂ t'as des problèmes de santé connus ? je ne crois pas être porteuse de quoi que ce soit. ma mère est morte d'un arrêt cardiaque à l'âge de 45 ans, donc je peux craindre une anomalie cardiaque, mais je n'ai pas le temps de voir ça, j'ai d'autres choses à faire, d'autres personnes à sauver.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? un goût étrange pour les fraises avec du fromage, ça compte ?.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? de ce côté là, je suis plutôt épargnée. La plus grande peur de mon père fut lorsque je me suis foulée le pouce en jouant au volley lorsque j'avais treize ans.

derrière l'écran

ALOHA ! Alors moi c'est Louise, ou Lou, c'est comme vous voyez. Plus connu sous le pseudo de paper brain., j'ai 18 ans, je suis en première année de Licence de droit parcours franco-britannique et je suis une grande passionnée des séries, et plus particulièrement de Grey's Anatomy qui est ma number one. Je me connecte sur les forums tous les jours quand le temps me le permet, et je trouve ce forum juste magnifique, tombé du ciel ! Et enfin je voudrais dire que les fraises avec du fromage c'est super bon.

Invité Invité

histoire

Messing up. It's what makes a person. It's how we learn, where we find joy.

sons and daughters, allman brown & liz lawrence.

« Qu’est-ce qui se passe ? » Debout dans l’encablure de la porte, James Pope déposait les courses à ses pieds, un sourire inquiet aux lèvres. La nuit était tombée depuis des heures déjà, mais Avery s’était habituée aux rentrées tardives de son père. Il avait toujours cet air épuisé, ces traits marqués par l’âge, la colère et la tristesse. Adolescente, elle le questionnait toujours. Elle lui demandait : comment peut-on être si triste ? Il mettait un certain temps à répondre, afin de trouver une nouvelle réponse à chaque fois. La dernière en date était celle du jour précédent, lors de leur énième dispute à propos de l’avenir de la jeune femme. Mais cette fois-ci, il avait soupiré, l’avait observé un long moment, puis avait baisser la tête avant de s’enfermer dans sa chambre. Au fond, elle la connaissait la réponse. Elle savait depuis quand il était comme ça. C’était depuis la mort de sa mère, depuis qu’elle l’avait quitté précipitamment, dans cette salle à manger, là, à quelques mètres de là où il se tenait aujourd’hui. Elle coupait le potiron avant d’en faire un soupe, le plat préféré d’Avery. Elle souriait à sa fille qui dessinait sur la table, lui faisant un petit clin d’oeil avant de reprendre son travail. James avait promis de rentrer tôt ce soir-là, pour qu’ils soient en famille. Il suffit d’un coup de téléphone, un seul. Celui qui fit sursauter la mère comme la fille. Mais continuant son dessin, Avery ne remarqua pas la main que portait Addison à son coeur, ni le couteau qu’elle fit tomber à terre alors qu’elle tentait de se maintenir en équilibre contre la cuisinière. Les yeux bleus d’Avery ne quittèrent sa feuille qu’au son du corps de sa mère tombant au sol, alors que la porte s’ouvrait sur son père. Il lâcha ses courses aux pieds avant de se pencher sur sa femme. Il la secouait, hurlait, tentait de ranimer son coeur alors qu’Avery courrait déjà dans l’allée en criant à l’aide. Les pompiers arrivèrent trop tard et, calmement, après les tests, ils expliquèrent à la petite Pope que le coeur de sa mère l’avait lâché avant l’âge, tout comme sa grand-mère avant elle. Toutes ces images défilèrent sous les yeux d’Avery, 18 ans, alors que son père venait de lâcher les courses au sol en apercevant la valise que tenait sa fille. « Je pars Papa. » Il se baisse pour ramasser les pommes qui s’étaient échappées du sac avant d’aller les mettre dans levier, calmement. « Et où comptes-tu aller ? » « A San Francisco. J’ai été accepté. » Son rêve, sa chance. Sauver des vies, devenir quelqu’un, quelqu’un d’autre que la fille de l’épicier, quelqu’un d’autre que l’orpheline d’une mère, servir à quelque chose. James Pope n’avait jamais compris pourquoi sa fille avait autant d’ambition, pourquoi elle avait eut tant besoin de s’affirmer, pourquoi elle ne suivait pas ses traces. « Bien. Alors je ne te retiens pas. » Il mettait à bouillir une casserole d’eau froide, tournant toujours le dos à son unique enfant. Avery sentit ses yeux s’embués, alors qu’elle se levait pour marcher vers la porte. Ils n’étaient jamais d’accord sur rien. Ils n’avaient jamais trouvé de juste milieu. Il était glace et elle était feu. Ils revenaient toujours l’un vers l’autre, mais Avery savait déjà que cela leur prendrait des années pour se pardonner ce départ. Alors elle frôle la poignée, portant une dernière fois un regard vers l’endroit qui avait vu périr sa mère. Un autre point sur lequel ils s’étaient longtemps disputés. Jamais il n’avait voulu quitter cette maison. Et pourtant, c’était cette raison qui poussait Avery à partir. Prisonnière de ses démons, elle avait finit par se détacher de tout ce qui avait pu la retenir ici. La porte s’ouvre sur elle, et elle aperçoit le taxi garé devant. « Ave' ! » Elle se retourne vers son père, lui qui avait enfin retrouver le regard qu’elle connaissait lorsqu’il la regardait petite. Il allait lui dire, lui donner sa réponse, elle en était sûre. Pourtant, le regard de son père s’éteignit à nouveau. « Ne reviens pas ici. » Elle sourit tristement, avant de refermer la porte derrière elle.

just because people do horrible things, it doesn't always mean they're horrible people.

the weight of us, sanders bohlke.

Elle sentait à peine les filets de pluie qui descendaient de ses cheveux, qui coulaient sur son visage blême. Elle n'aurait su dire si ses larmes s'y mêlaient, elle ne savait même pas si elle pleurait alors. Seul le banc avait un caractère sûr, car elle sentait le bois sur son dos, lui faisant presque mal. Son regard bleu s'était perdu loin devant, sur un point invisible dans l'obscurité malgré la lumière de la ville. Sa blouse était trempée tout comme elle l'était, malgré le fait qu'on y apercevait de si et là quelques gouttes de sang. Celui de Dany, sa meilleure amie. Elles s'étaient rencontrées cinq ans auparavant, elles étaient voisines lorsqu'Avers débarqua à San Francisco. Il avait suffit d'une blague, d'un sourire, inséparables. Puis Dany avait fait la rencontre de Gaspar, et choisit naturellement Avery en demoiselle d'honneur. C'était parfait, une vie parfaite. « Dany n’est pas là ? » avait-elle demandé alors que la porte s’ouvrait sur Gaspar. Il lui sourit avant d’ouvrir un peu plus la porte d’entrée : « Elle est en retard, tu la connais. Entre, je t’en pris, tu vas pas la boire seule. » Elle lui tend la bouteille de rouge qu’elle avait dans la main avant de passer près de lui et de déposer son manteau dans l’entrée. Il sort deux verres à pieds avant de rejoindre Avery sur le canapé, lui servant un verre tel un professionnel. Elle rit doucement avant boire d’une traite son verre, souhaitant rapidement oublier que cette journée avait été un désastre. Elle incita Gaspar à faire de même, et bientôt la bouteille fut vide. Elle riait fort, il la faisait rire, c’était un homme bien, elle l’avait toujours dit à Dany. Et sans qu’elle sache pourquoi, elle se retrouvait à embrasser cet homme, le mari de sa meilleure amie, son ami. Leurs lèvres se rejoignaient, comme poussées par une force obscure qui empêchait tout contrôle. Les clés de Dany retentirent dans l’entrée et Avery se détacha de Gaspar, visiblement aussi désolée qu’elle. Elle se lève avant d’attraper son manteau et d’apercevoir Dany débouler dans le salon. « Oh non vous avez commencé sans moi. » Elle rit en voyant la bouteille vide qui trônait sur la table basse et interrogea Avery du regard en la voyant ramasser ses affaires et se diriger vers la porte. « Tu pars déjà ? » « Oui, excuse-moi, j’ai oublié de rendre le dossier de Mr Bilman, je retourne à l’hôpital. » Visiblement déçue, Dany acquiesce avant de prendre son amie dans ses bras et de la laisser s’enfuir. La voix de Gaspar s’élève. « Je te raccompagne en bas. » Malgré elle, Avery le laisse passer la porte avant elle, la refermant sur Dany qui se penchait déjà sur les gâteaux apéritifs. « Ecoute… » Avery commence, avant d’être coupée. « Elle ne doit rien savoir. Jamais. On a fait une erreur, ça n’arrivera plus. Tu connais le chemin. » Le sourire d’Avery disparut alors qu’il tournait déjà les talons. Il avait dit les mots justes. Et pourtant, aucun des deux n’auraient alors pu penser que ces mots étaient faux. Et que cette erreur durerait encore un long moment.
« Aidez-moi ! » Les portes des urgences s’ouvrirent sur Gaspar, Dany à ses cotés, presque pliée. Elle ne l’avait pas vu depuis près de deux mois, depuis qu’elle avait tout découvert. Depuis qu’elle savait. Depuis qu’elle avait découvert son mari et sa meilleure amie. Elle l’avait rayée de sa vie, terminé. Le juste prix à payer pour ce qu’Avery avait fait. Pourtant elle n’hésita pas en la voyant ainsi, presque évanouie à huit mois de grossesse. Tout se passa vite, Gaspar avait interdiction de l’accompagnée au bloc, alors qu’Avery lui promit de rester près d’elle. L’intervention fut courte, mais elle resterait la plus longue pour Avery. C’était l’intervention où elle avait vu mourir sa meilleure amie, celle qu’elle avait trompée, à qui elle avait menti, celle qu’elle avait brisée. Elle avait brisé trois vies ce soir-là et depuis des mois déjà. Dany, le bébé, et Gaspar. « Je suis tellement désolée, on n’a rien pu faire, c’était trop tard. » Il la regardait à peine. Elle cherchait à atteindre ses yeux flous, injectés de sang et meurtris par l’annonce de la mort de sa femme et de son fils. Elle avança une main vers lui mais il s’écarta, dégouté. « Je ne veux plus jamais te revoir. » Il la contourna avant de s’évanouir dans le flot du personnel de l’hôpital. Elle passe doucement les portes de l’établissement, et la pluie vient doucement caresser son visage. Elle s’assoit, là, sur ce banc. Celui qui avait accueillit Dany des centaines de fois alors qu’elle venait manger ici ensemble lorsqu’Ave avait une pause. Et ses larmes chaudes se mêlent à la pluie qui lui glace l’échine.

you're gonna hear me roar.

roar, katy perry.

« il y a un mois, vous étiez en fac de médecine : les médecins étaient vos professeurs. aujourd'hui, c'est vous les médecins. les sept années que vous passerez ici en tant que résident de chirurgie seront les meilleures et les pires de votre vie. on vous poussera à dépasser vos limites. huit d'entre vous choissiront une spécialité plus facile, cinq craqueront sous la pression, deux seront priés de partir. vous êtes sur la ligne de départ. c'est votre arène. votre façon de mener le jeu ne dépend que de vous. »

Trois heures de sommeil. Le soleil se couchait à peine alors qu'Avery laissait l'eau chaude de la douche couler sur son visage encore emprunt des rêves de sa courte nuit. C'était un rythme auquel il fallait s'habituer, un combat du quotidien, c'était à celui qui tiendrait encore debout à la fin. Elle avait quitté l'hôpital aux alentours de vingt heures et était tombée dans le canapé sans passer par la case chambre. Elle s'était réveillée encore toute habillée et avait même hésité un moment à repartir dans le même état. Elle s'accorda pourtant un moment de répit, moment rare où elle pouvait encore prétendre à une vie normale. C'était ça, l'internat. C'était considéré son lieu de travail comme sa maison, et trouver son propre appartement étranger. C'était cumuler des jours sans rentrer, dormir dans la chambre de repos 05 en espérant que personne d'autre n'y entrerait. C'était penser boulot avant tout le reste. Car l'erreur n'est pas permise. Et ça, elle l'avait bien intégré. Elle ne comptait pas être la dernière de la liste, celle qu'on bipait lorsque personne d'autre n'était disponible. Elle voulait être la meilleure, comme tous ses collègues. Et pour ça, elle devait retourner à l'hôpital dans moins de trente minutes. Elle attacha ses longs cheveux chocolats en une queue indisciplinée, jeta un coup d'oeil au maquillage dont elle n'avait pas réellement fait usage depuis plus de deux ans, attrapa tout de même son mascara et claqua la porte derrière elle. Les nuits de décembre lui glaçaient l'échine alors qu'elle posait un pieds à l'extérieur de son immeuble. Resserrant son écharpe autour de son cou, la brune commença sa longue marche dans les rues presque désertes de San Francisco. A deux blocs de l'hôpital, elle s'arrêta tout de même à son épicier préféré, encore ouvert. « Bonsoir Fred. » Un sourire radieux mais fatigué s’étala sur les lèvres rosées d’Avery, alors que l’épicier portait ses lunettes à ses yeux pour mieux la voir. « Avery ! Ne me dis pas que tu y retournes à cette heure-ci. » Elle acquiesce pourtant. « De l’esclavage ce boulot, c’est tout ce que j’en dis. » Les cheveux blancs de l’homme disparaissaient dans la réserve alors qu’Avery s’éloignait du comptoir, un sourire aux lèvres, pour parcourir les rayons à la recherche des biscuits qui l’aideraient à supporter la nuit. « Ton fric vieillard. Dépêche toi ! » Du fond du magasin, Avery voit une silhouette pointer une arme sur le vieux Fred. Maintenant accroupie, elle tente de se rapprocher silencieusement de l’avant du magasin, tout en entendant les refus à répétition de l’épicier. Arrivée au premier rayon, le regard de Fred se tourne vers la tête brune qui dépasse derrière les journaux. « Comme tu voudras. » Et le coup résonne. Un bruit sec, fort, dans le thorax. Fred tombe à terre alors que le voleur a déjà quitté les lieux avec la caisse. « Fred ! Regarde-moi, reste avec moi. » Alors qu’elle fait pression sur la plaie de sa main droite, elle attrape le téléphone sur le comptoir et appelle les pompiers. Elle n’entend toujours pas les sirènes au loin alors qu’elle ne trouve aucune sortie de balle. Elle n’est pas très enfoncée, assez pour qu’elle la sente encore sous ses doigts ensanglantés mais aussi pour le tuer. « Fred, je vais avoir besoin de ton aide. C’est pas l’heure de dormir, tu dois remplacer ma main pour que je puisse extraire la balle. » Elle ne l’avait jamais fait. Elle n’y avait jamais songé. Elle attrape pourtant la main de Fred avant de la poser sur la plaie à la place de la sienne. Elle se relève et fouille dans les tiroirs à la recherche d’un canif. Elle le désinfecte avec le produit qu’elle garde toujours dans son sac, avant d’ouvrir légèrement la poitrine du vieil homme. Le son des urgences se font enfin entendre derrière elle alors que ses doigts parviennent enfin à se refermer sur la balle. La respiration de Fred se fait plus régulière, alors que les pompiers écartent Avery afin de porter l’homme sur un brancard. La main toujours posé sur la plaie, elle descend du camion devant les urgences de l’hôpital et se retrouve face à son résident. « Homme de 67 ans ayant reçu une balle dans le thorax qui appuyait dangereusement sur ses voies respiratoire. Tension à 6 et pouls irrégulier. Balle extraite sur les lieux, respiration régulière depuis dix minutes. » « Bipez le Docteur Pierce. On prend la relève, bon boulot Pope. Tu lui as probablement sauvé la vie ce soir. » Et on lâche prise. On le laisse partir en salle d’opération. On jette ses vêtements dans la poubelle des vestiaires avant d’enfiler la blouse bleue. L’adrénaline retombe, et alors on se dit que notre job, malgré tous ses défauts, est sûrement le plus beau au monde.

Invité Invité

bienvenuuue. luv

si tu prends Chrysler luv

(avery) you're gonna hear me roar louder than a lion. 1643935750

Invité Invité

morrison la magnifique Leigh est parfaite mais ce n'est pas elle que je vise malheureusement merci beaucouuup

Invité Invité

bienvenue et bon courage pour ta fiche ♥

Invité Invité

Bienvenue

Invité Invité

bienvenue. (avery) you're gonna hear me roar louder than a lion. 1643935750

Invité Invité

bienvenue parmi nous I love you

Invité Invité

blake — diane est très bon choix, merci beaucoup

david — JRM, les Tudors !    merci beaucoup

winston — my gad jamie   , réserve moi un lien merci beaucoup:tx:

cecilia — wilde est magnifique, merci beaucoup

Invité Invité

Bienvenue

(avery) you're gonna hear me roar louder than a lion. 3276111495

Invité Invité

zoe merci

Invité Invité

bienvenue ! I love you

Invité Invité

merci beaucoup à toi

Invité Invité

Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche luv

En ce qui concerne le métier, pour que le résident est une spécialisation c'est en 4ème année, donc 28/29 ans (avery) you're gonna hear me roar louder than a lion. 4221783123

(avery) you're gonna hear me roar louder than a lion. 4221783123

Si t'as besoin de quoi que ce soit d'autre hésites pas I love you

Invité Invité

shame on me, je me disais aussi que c'était trop tôt je vais changer ça tout de suite merci beaucoup, et garde moi un lien parce que tu connais mon amour pour kit