nom : Parker. prénom(s) : Edward. âge : 37 ans. lieu et date de naissance : 7 mars 1976, à Oxford. statut civil : Fiancé. métier/occupation : Titulaire en chirurgie plastique. nationalité : Anglais. orientation sexuelle : Hétérosexuel. caractère : Optimiste, chaleureux, exigeant, franc, compréhensif, tenace. groupe : Scalpel. avatar : Joseph Morgan.

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? Après avoir été diplômé et avoir le choix d’ouvrir ma propre clinique ou de travailler dans un hôpital, j’ai opté pour cette seconde option. Du coup, je me retrouve tous les jours à l’hôpital, avec le plaisir d’avoir mon bureau personnel et de travailler aux côtés de personnes compétentes et des collègues de choix.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Aujourd’hui, je suis du genre Mc Gyver. Mais quand j’étais plus jeune, avant mes études de médecine, je n’aurai pas supporté de toucher une plaie. Heureusement, étant chirurgie plastique, je suis doué pour tout soigner, y comprit mes propres bobos.
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Je suis des deux à vrai dire. Quand je sais que ce que j’ai va être dur à soigner, je prend des médicaments directement. Par contre, quand c’est le début d’une maladie ou que ça ne semble pas bien grave, avaler des médicaments ne sont pas ma priorité.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Je ne fume pas du tout, je trouve ça vraiment mauvais pour la santé et ayant eu des amis qui ont eu des problèmes avec la cigarette je préfère m’abstenir. Pour l’alcool je ne suis pas fan, mais je bois de temps en temps. Jamais pendant le service évidemment, mais un verre de temps en temps, je ne dis pas non.
✂ t'as des problèmes de santé connus ? J’ai une fracture du genou droit qui était assez grave. Avec une fracture-tassement du plateau tibial externe et une rupture complète du ligament croisé antérieur. C’est à cause du basket à l’école, quand j’ai fais une mauvaise chute. Du coup, j’ai été opéré mais uniquement pour enlever le sang meurtri. Rien dans mon genou n’a été remit à neuf, parce que je ne comptai pas faire de sport à haut niveau. Du coup, de temps en temps mon genou me fait mal. Quand je laisse ma jambe pliée trop longtemps, ça fait mal, donc il faut que je la déplie, mais comme ça aussi ça fait mal. Malgré tout, je sais gérer la douleur. Autrement, rien d’autre à signaler.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? L’optimisme de ma mère compte ? Il y a des antécédents de problèmes cardiaques, mais ça remonte à mon arrière grand-père et depuis personne n’en a souffert. Ma grand-mère elle a la maladie de Parkinson et si on suit les générations je devrai en héritier, mais pour l’instant je n’ai pas été touché.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? La seule allergie que j’ai, c’est la poussière. A part rien, je n’ai pas d’allergie et je sus du genre résistant face aux maladies, je ne le suis pas souvent, mais quand ça arrive, c’est du costaud et je mets une bonne semaine à m’en remettre.

Enfin tu réponds !
Bonjour maman.
Je commençais à m’inquiéter. Tu ne répondais plus à mes lettres, ni mes mails et encore moins mes appels.
Je sais. J’ai été très occupé ses derniers temps.
Alors, comment ça se passe là-bas ?
Ca va. Je n’ai pas à me plaindre.
Tu me manques mon grand.
Tu me manques aussi maman.

Etre séparé de sa mère, Edward ne l’avait pas souvent été. En effet, il avait toujours eu cette femme dans sa vie. A sa naissance, il avait fait le bonheur de ses parents. Il avait toujours été aimé et choyé. Sa mère est une femme incroyablement gentille et compréhensive. Elle fait partit de ces personnes qui préfère donner plutôt que recevoir. Ed a beaucoup apprit avec elle et ne pourra jamais lui rendre tout le bonheur qu’elle lui a donné au fil des années. Pour ce qui est de son père, c’est totalement différent. Quand il était petit, il ne le voyait pas beaucoup. Etant un homme d’affaire, il partait souvent de la maison. Edward ne le voyait pas aussi souvent qu’il l’aurait voulu, mais quand ils étaient ensemble, il faisait en sorte que son père ne se consacre qu’à lui et sa mère. C’était sans doute égoïste, mais il avait parfois l’impression de ne pas connaître son géniteur. Il voulait juste être proche de lui. D’ailleurs, il avait toujours eu de l’admiration pour ce dernier. Comment ne pas aimer un homme qui rend sa mère heureuse, qui ramène des cadeaux à la maison et qui fait toujours tout pour leur donner le sourire ? Edward avait une vraie adoration pour son père. Il ne voyait pas le mal en lui et ne pouvait donc imaginer qu’il n’était pas le seul à profiter de cet homme. Etant fils unique, il s’amusait souvent seul. Mais, il avait aussi le droit d’aller jouer avec les voisins du quartier et même les copains d’école. Il était un petit garçon plein de vie, qui aimait s’amuser. Comme tous les garçons, il jouait avec des voitures, des soldats et ne faisait pas attention aux filles. Il passait son temps avec ses copains, faisait parfois des bêtises, mais ça n’était jamais méchant. Côté scolaire, il n’avait pas de gros problèmes. Il aimait beaucoup les matières scientifiques, mais ne laissait pas pour autant le reste de côté. Au contraire, il devait combler ses lacunes et il avait la chance d’avoir une mère douée en lettres.

Tu as réussit à faire ta demande ?
Oui.
Et ?
Elle a accepté.
Oh mon chéri, je suis tellement heureuse pour toi.
Merci maman.
Maintenant, il va falloir que je fasse sa connaissance officiellement.
Tu l’as déjà vu par webcam.
Ca ne compte pas. Je veux voir ma belle-fille en face à face.

Il était amusé par sa mère. Il savait qu’elle s’en ferait toujours pour lui. C’était sa mère et si elle n’était pas comme ça, il se serait posé des questions. Depuis toujours elle faisait tout pour lui faciliter la vie. Elle voulait toujours le meilleur pour son fils et ce dernier faisait en sorte qu’elle soit fière de lui. Avec son père, encore une fois, c’était différent. Comme il n’était pas souvent à la maison, Edward avait décidé de suivre les traces de l’homme d’affaire. Il voulait lui prouver qu’il pouvait être aussi doué que lui dans son métier et qu’il était à la hauteur. Malheureusement un soir son père sembla peut apprécier cette idée. Ed ne comprenait pas pourquoi. Après tout, il semblait heureux dans son métier, alors pourquoi son fils ne pouvait-il pas faire la même chose ? Le jeune homme s’était posé la question pendant plusieurs semaines. Même si son père tentait de faire oublier la conversation qui perturbait son fils, ce dernier la gardait dans un coin de son esprit. Peut-être qu’un jour il en aurait la réponse. Mais à l’époque, il se concentra plutôt sur ses études. Etant un élève doué, il n’avait pas de grandes difficultés. Cependant, il comprit que les affaires, ça ne serait pas pour lui, alors il opta pour la médecine. Il eut son diplôme sans grand problème. Côté privé, Edward n’était pas du genre à s’attacher. Après tout, s’il voulait que son père soit fier de lui, il fallait qu’il travail. Donc, les filles, elles ne faisaient que passer. Il les considérait comme des coups d’un soir, deux à la limite si la fille était douée. Mais ça n’allait jamais plus loin. De plus, il ne voyait pas pourquoi il devrait s’attacher à quelqu’un. Même si ses parents étaient heureux, il n’avait pas envie d’être en couple avec qui que ce soit. Ayant donc fait des études de médecine, ayant décroché son diplôme, il devint médecin à Oxford, sa ville natale.

Qu’a dit sa famille ?
Qu’ils étaient heureux pour nous.
C’est tout ?
Ils veulent dîner avec nous prochainement, mais on doit voir nos emplois du temps pour ça.
J’aimerai bien rencontrer ses parents un jour.
C’est prévu. On en a discuté et on vous fera savoir quand ça sera possible.
Par rapport à ton métier, ça passe ?
Disons que son père a eu des doutes et risque d’en avoir tout le temps, mais ça n’est pas parce que je suis chirurgien plastique que je suis superficiel.
Ca c’est bien vrai. Tu es mon fils et certainement pas un homme mauvais.

Il se mit à sourire encore plus. Sa mère était définitivement protectrice et prête à sortir les griffes si on disait du mal de son fils. Malheureusement, il avait changé à cause de son père. Son père, cet homme qu’il avait toujours admiré, c’était avéré être un sale type. Lui qui avait toujours prit son père pour un grand homme s’était trompé. Pour Edward à l’époque, la vie battait son plein. Il continuait de collectionner les femmes et il travaillait dur. De Oxford, il déménagea pour San Diego. Il prenait du plaisir dans ce nouveau monde. Il enchainait les patients et faisait toujours du bon travail. Puis, arriva le jour où sa mère fut devant chez lui. Elle ne lui en avait pas parlé avant et elle débarquait comme ça chez lui. C’était déjà une cause pour se faire du souci. Mais quand il l’a vit en pleure, il comprit que quelque chose de grave était arrivé. Il commença par la consoler de son mieux avant qu’elle ne lui explique la situation. Son père était décédé. Il avait fait une crise cardiaque. Mais pour Edward, le pire restait à venir. Perdre son père était une chose, c’était douloureux. Cependant, découvrir qu’il n’était pas l’homme qu’il prétendait être était encore plus dur. En effet, ce dernier était marié et il avait un autre fils et une fille. Ces derniers étaient les héritiers du défunt et lui se retrouvait sur la touche. Sur l’instant le pire fut de savoir qu’il avait mentit sur toute la ligne. Edward ne pensa pas à lui, il pensa d’abord à sa mère. Elle avait toujours été là pour lui et désormais il ferait en sorte de lui rendre la pareille. Il prit soin d’elle du mieux qu’il pouvait. Il s’était absenté du travail pendant plusieurs jours pour rester avec sa mère. Cette dernière lui disait que ça n’était pas la peine, mais il ne voulait pas la laisser seule. De son côté, il était blessé, mais ne le montrait pas. Il avait eu comme géniteur un menteur et un tricheur. Il fallait donc qu’il se renseigne sur lui et qu’il sache qui est cette famille qui vit de l’autre côté du pays.

Tu as fait leur connaissance ?
Oui et on y va doucement.
Ils sont gentils ?
Pour le moment oui.
Pour le moment ? Tu crois qu’ils vont changer ?
Je ne sais pas. C’est juste qu’officiellement je ne suis rien.
Edward …
Tu sais que c’est vrai maman.
Il était malgré tout ton père.
Je ne sais pas si je peux le considérer comme tel.

En effet, son géniteur l’avait trahit, il avait trahit toute sa famille. Edward lui en voudrait toujours et sa colère pour cet homme resterait toujours en lui. Il le savait parfaitement, cependant, il passait au-dessus en faisant la connaissance de son frère et sa sœur. Il ne les connait pas encore bien, mais ils se voient régulièrement et fait en sorte de leur prouver qu’il se fiche de leur argent, mais qu’ils sont juste une fratrie. A côté de ça, il avait fait la connaissance de celle qui était aujourd’hui sa fiancée. Ca faisait deux ans qu’ils sortaient ensemble, mais cinq ans qu’ils avaient fait connaissance. A l’époque Edward avait été muté de San Diego à San Francisco. Il était arrivé en ville, pour faire la connaissance de cette famille qui lui était alors inconnu. Il était au travail et il avait vu arriver son frère, avec sa meilleure amie. Cette jeune femme sur qui il a flashé tout de suite. Il voulait l’ajouter dans la liste de ses conquêtes, mais elle lui a donné du fil à retordre et c’est grâce à elle qu’il s’est calmé et qu’il est un homme bien plus sage que par le passé. Il sait qu’il ne pourra jamais la remercier assez pour tout ce qu’elle lui apporte depuis leur rencontre, mais il est un homme heureux et comblé. De plus, pour sa demande en mariage, il a beaucoup stressé. Ca ne faisait que deux ans qu’ils étaient en couple et il avait  peur qu’elle dise non. Heureusement pour lui, elle a été ravie et elle s’active énormément pour la préparation de leur mariage. Aujourd’hui, il a la chance d’avoir tout pour lui, que sa soit professionnellement et en privé.

Donc, tout va bien pour toi ?
Oui maman. Ca va très bien.
Il ne reste plus qu’une chose à avoir.
Laquelle ?
Des enfants.
Vraiment ?
Je veux voir mes petits enfants.
Au pluriel ? Combien comptes-tu en avoir ?
Au moins deux tout de même.

Encore une fois il était amusé par sa mère. Cette dernière voulait vraiment que Edward soit heureux et il était content de la chose, cependant, il était encore plus amusé par le fait que sa mère veule le voir fonder sa propre famille. Avec sa fiancée, c’était déjà le cas, mais avoir des enfants serait sans doute le point culminant de tout ça.