nom : Oswald. prénom(s) : Maisy. âge : vingt-cinq ans. lieu et date de naissance : Née à San Francisco le 23 Septembre 1988. statut civil : En couple... ou pas. métier/occupation : Interne en urgence. nationalité : Américaine. orientation sexuelle : Bisexuelle. caractère : Bornée + compétitrice + mord la vie à pleine dent + positive mais à des limites + attachiante + sens de la logique + mémoire photographique + courageuse + impatiente + sensible sur certains points + colérique + grincheuse pour le plaisir. + Entêtée + Joueuse + Fêtarde + Accro du shopping + consciencieuse + Gaffeuse + moulin à paroles. + impressionnable + Aime faire l'autruche lorsque la situation l'énerve + jalouse + téméraire + fonce tête baissée + Maladroite + Tenace + Fragile  + Violente + Fatigante + Sociable + Drôle d'humour + Inventive. groupe : Stitch. avatar : Elizabeth Olsen.

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? Eh bien j'y passe tous les jours, on peut même dire que je n'arrive pas à m'en passer... malheureusement, pour moi je pense que je risque d'y passer moins souvent.. Un pressentiment comme ça.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Je suis plutôt du genre à me recoudre avec tout ce qui me passe sur la main. Je suis débrouillarde et je n'aime pas demander quelque chose aux gens.
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Plutôt médecine douce, même si je sais que quelquefois les médicaments sont plus offensifs je préfère utiliser la médecine douce, mon corps le supporte mieux.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Même pas... bon d'accord je fume quelquefois, lorsque je suis trop stressée. Je fume donc énormément en ce moment mais j'aimerais bien arrêter, j'aimerais bien me réveiller et ne plus fumer.
✂ t'as des problèmes de santé connus ? Je suis séropositive.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Pas à ma connaissance, sauf peut-être un coude qui craque dès que je le bouge.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Je suis allergique au polen, mais je crois que 90% des gens ont cette allergie. Heureusement pour moi je ne suis jamais tombé malade, je touche du bois, car je sais que je suis plus fragile maintenant.

"On m'a dit que tu serais là et en même temps cela ne m'étonne pas tant que ça tu as toujours aimé les grands espaces!" Une jeune femme monte des escaliers pour accéder à la scène et rejoindre un homme un peu plus âgé qu'elle. A première vue ils ont l'air proches. "Que... bravo! Pourquoi m'efforçai à trouver un endroit où me cacher si tu me retrouves toujours hein?"dit l'homme d'un ton amusé, elle lui répond d'un air taquin. "Eh oui pourquoi cela?" Elle s'assied à ses côtés et n'étant pas du genre à tourner autour du pot décide de percer l'abcès. "De qui te caches tu cette fois-ci?" Il la regarde, ne peut s'empêcher de sourire puis décide de lui répondre. "Devine..." "Sarah!" dit-elle en acquiesçant. C'est étrange comment une seule personne peut avoir un immense pouvoir sur son entourage. C'était le cas de Sarah, de sa grande soeur envers ses frères et soeurs et malheureusement pour Maisy elle faisait partie de cette fratrie. "Qu'est-ce qu'elle a encore fait ou dit?" "Je...je ne sais pas si je dois t'en parler Maisy, c'est quand même ta soeur pas vrai?" Il reçoit comme réponse un soupir, un soupir qui veut tout dire. Certes c'était sa soeur mais il ne fallait pas être devin pour comprendre qu'entre elles deux ce n'était pas l'amour fou et ce conflit était malheureusement présent depuis déjà des années, depuis leurs enfance. "Ce n'est pas parce que c'est ma soeur que tu n'as pas le droit de te défouler sur elle!" Une nouvelle fois il rigole. "Tu es si différente de ta soeur! Avec Sarah j'ai toujours cette impression d'être sur une pente glissante, alors qu'avec toi c'est plus...simple!" Maisy rougis. Elle sait que cette réaction n'est pas celle qu'on attends d'elle mais elle n'a jamais été du genre à cacher ses sentiments. Elle a toujours été ce genre de fille à avoir des relations sérieuses, sauf après les ruptures mais ça c'était une tout autre histoire s'intitulant Mike. "Tu détournes le sujet monsieur perfection!" dit-elle en le tapant à l'épaule. Il se relève. "Je ne sais même pas pourquoi on s'est encore engueulés la seule chose que je retiens de notre discussion c'est qu'elle aimerait que je sois plus engagé dans notre relation et que je te..." Elle relève la tête, le regarde dans les yeux et comprend la suite de sa phrase. "Que tu arrêtes de traîner avec Maisy..." "Tu es sa soeur je serais obligé de te voir!" Comment ça se fait qu'elle ne l'avait pas vu venir. Sa soeur aimait lui montrer qu'elle était la plus forte, la plus parfaite, celle qui avait tout ce qu'elle voulait mais ce qu'elle n'arrivait pas à comprendre c'était qu'elle n'avait pas le droit de lui enlever cet homme se tenant devant elle. Des personnes diront que c'est parce qu'elle est amoureuse mais personne ne connait la vraie raison... "Tu vas faire quoi?" C'est maintenant à lui de soupirer. "Si elle m'a demandé ça c'est parce qu'elle sait pour?" dit-il tendu. Elle ne peut s'empêcher à ce moment là de rire. "Non elle ne sait pas que nous avons couchés ensemble avant que tu ne sortes avec elle. De toute façon cela ne voulait rien dire! J'avais rompu avec mon petit copain, tu étais le mec mignon du bar! C'est une terrible coïncidence qui se trouve être bien gardé en tout cas sache que je ne dirais rien, car je ne veux pas créer la tempête Sarah!" Il s'agenouille devant elle et lui dit: "tu sais que je l'aimes?" Elle acquiesce , même si au fond elle a du mal à y croire. "Alors ça te dérange pas si on..." Rien que cette question lui déchirait le coeur mais il avait pris sa décision et malheureusement son choix s'était tourné vers sa soeur. Encore une fois. "Non, tu es toujours mon meilleur ami... quoi qu'il arrive!" Il sourit la prend dans ses bras et lui murmure dans l'oreille. "Je t'adore Maisy, promis."


"Bon j'en ai marre je n'arrête pas de recevoir des messages de Mike! Je crois qu'il n'a pas compris la phrase ou encore même le système d'une histoire d'un soir!" Les rires de son amie ne fait que l'agacer encore un peu plus. "Tu es obligé de rire? Ce n'est pas drôle!" dit-elle d'une voix aiguë mais la réponse de son amie ne l'aide en aucun point. "Peut-être que si tu répondais tu saurais le pourquoi le pourquoi de ces appels incessants... peut-être que c'est urgent, qui sait! C'est peut-être pour t'annoncer qu'il est enceinte!" dit-elle en s'esclaffant et en s'allongeant dans l'herbe. Maisy arrache de l'herbe et essaye désespérément d'en lancer sur son amie, sans grand résultat étant donné qu'elle l'aperçoit virevolter, stagner et tomber un millimètre plus loin. "Tu sais quoi? Tu as raison. Je vais l'appeler..." Elle n'attend pas que son amie reprenne la parole pour lui dire quoi faire et continue sa phrase, déterminée. "mais pour lui demander d'arrêter de me harceler sinon j'appelle la police d'accord?" dit-elle sûre d'elle bien qu'au fond elle se demande réellement ce qui peut bien se passer. Lorsqu'elle l'avait connu elle avait tout de suite remarqué sa nonchalance c'était d'ailleurs ce qui l'avait plu chez lui, le fait que c'était un je m'en foutiste. Elle savait qu'avec lui elle n'aurait aucun problème de possession ni de jalousie... et pourtant le voilà qui n'arrête pas d'appeler... c'était louche. Après avoir composé le numéro de ce cher Mike, elle attend impatiemment une réponse ce qui ne se fait pas attendre, après deux sonneries. A sa voix elle comprend très vite qu'il s'est passé quelque chose. Mais elle essaye de ne pas se démonter et commence à lui dire: "Bon Mike tu es bien gentil mais on ne s'était pas dit de..." il lui coupe la chique, chose qu'elle déteste. Elle va pour reprendre la parole mais elle comprend au ton de son interlocuteur que ce n'est pas le moment de plaisanter, car quelque chose vient d'arriver et qu'il faut qu'elle écoute attentivement car cela risque de tout chambouler.


"Docteur Grey, je... j'aimerais vous parler!" dit-elle en n'arrêtant pas de ce tortiller, ce qui a le don et elle le sait très bien d'agacer son supérieur. "Arrêtez de gesticuler Oswald, vous êtes une adulte pas une enfant de cinq ans à ce que je sache! Si vous voulez me parler agissez comme tel s'il vous plaît, car.." dit-il en la regardant droit dans les yeux. "je n'écoute pas les personnes effrayées." Il commence à passer son chemin, mais Maisy sait qu'il y a trop en jeux pour qu'elle laisse tomber. Elle trottine derrière lui et arrivée devant les vestiaires se place entre lui et la porte. "J'aimerais vous proposer un cas. J'ai cru déceler quelque chose dans cette prise de sang mais je n'en suis pas aussi sûre du coup je voulais avoir votre avis!" Elle venait d'exposer la situation d'une traite et à une vitesse phénoménale... Au début surpris, il reste tout de même impassible face au comportement de son interne et laisse passer quelques minutes avant de donner une réponse. "Vous l'avez sur vous?" "De quoi?" dit-elle sous le choc. "L'échantillon bien sûr!" gênée elle sort de sa blouse la petite fiole contenant le sang, son sang. "Oui le voilà!" il la prend, l'observe puis lui dit de d'un ton froid: "J'espère que c'est intéressant Oswald!" Elle acquiesce. Ils restent encore un petit moment à se regarder. "Vous me laissez passer Oswald où il faut que je vous pousse?" Elle se déplace, il rentre dans les vestiaires pendant qu'elle souffle, elle se sent divaguer, se demande si elle a bien fait. N'étant pas en service, elle s'empare à la va vite de son téléphone et commence à composer le numéro de sa meilleure amie. "C'est fait!" la personne au bout du fil essaye de la rassurer, de lui dire qu'elle a bien fait elle se demande de plus en plus si tout ça n'est pas une grosse erreur, si elle ne va pas le regretter. En passant dans un couloir elle aperçoit quelques internes en train de discuter, elle décide de raccrocher et se rapproche tout doucement du groupe pour écouter le sujet de leur conversation. "Ta vu ce qu'elle a fait? Elle est vraiment incroyable!" "J'aimerais tellement bosser sur une intervention avec elle." "Puis elle est si disponible je suis sûre que si tu lui demandes elle accepterait volontiers!" "Vous pensez? Oh non si elle décide de travailler avec un interne ce sera certainement sa soeur." "Oh ça je ne pense pas." s'entend-elle murmurer, assez fort apparemment pour que la petite bande se retourne et la regarde. "Qu'est-ce que tu viens de dire?" "Si tu as envie je parlerais de toi à ma soeur comme ça tu pourras assister à l'une de ses opérations!" De toute façon elle était quasiment sûre que sa soeur accepterait de travailler avec chacun des internes ici présents sauf elle. Après avoir passé plusieurs jours à s'occuper, elle n'arrêtait pas de s'enlever de la tête cette petite fiole contenant son sang et les résultats que devait avoir en main l'un de ses supérieurs. Elle n'avait qu'une envie le chercher puis lui demander mais elle n'arrivait pas à le trouver et cela commençait à l'agacer et c'est alors qu'après deux semaines passés elle décida de passer outre. S'il n'avait pas eu d'écho c'était qu'il n'y avait rien. Suite à cette conclusion elle commença à retrouver sa joie de vivre et se dépenser au boulot. L'orage était passé. Un beau jour pourtant, ce fut la dégringolade. Elle était en train de s'entraîner sur un mannequin lorsque le docteur Grey vint à sa rencontre. "Oswald vient par ici j'ai à te parler!" Surprise, elle sort de la salle et le suit dans le couloir. "A propos de votre échantillon vous vous rappelez?" dit-il, elle, pendant ce temps, coupe sa respiration, que se passe-t-il que va-t'il lui annoncer? Certainement une bonne nouvelle, pas de quoi s'inquiéter. "Bon je pense qu'effectivement il y a eu une petite erreur... de votre part, je veux dire par là que... ce n'est pas de mon ressort." "Que voulez-vous dire par là?" dit-elle ne comprenant pas la situation. "Je... votre patient est séropositif. Il n'a pas contracté le sida mais il a le virus! Malheureusement je suis cardiologue je ne peux donc rien apporter à votre recherche! Je suis désolé mais la prochaine fois tournez-vous vers un autre médecin!" dit-il en terminant sa phrase par une petite tape sur l'épaule. Elle est séropositive.

ça devait être son jour, elle aurait dû être heureuse, excitée à l'idée de tenir le bistouri, de regarder d'aussi près une opération, d'assister à l'opération et pourtant la voilà qui était effrayée. Terrorisée à l'idée de faire une bêtise, que sa maladresse et son stress prennent le dessus et qu'elle se coupe avec ses propres instruments. Elle pourrait mettre quelqu'un en danger rien qu'avec son sang. Depuis cette terrible annonce elle restait confiné à l'hôpital ou encore chez elle. Elle n'avait pas eu le courage de le dire à sa meilleure amie de peur de voir son regard changer. De même pour sa famille. Au finale personne n'était au courant et elle vivait avec ce secret depuis maintenant un mois. Au début lorsqu'on leur avait appris que c'était la semaine des internes Maisy était restée impassible ce qui avait étonné ses collègues. Elle du jouer la comédie pour qu'ils ne lui posent pas de question. "Oswald dans cinq minutes dans le bloc!" dit l'infirmière. Elle respire un bon coup, ferme les yeux essaye de s'enlever de la tête qu'elle va tout foirer et rentre dans la salle d'opération. Elle respire les odeurs du désinfectant, rejoins le docteur qui lui avait été attribué, un certain docteur Jones. "Prête?" Elle fait signe que oui. "On commence alors!" dit-il après qu'elle se soit installé à ses côtés. L'opération se déroule bien, aucun problème en vue. Il lui donne même des conseils. Elle pense au final qu'elle s'est fait des films, que rien de grave ne va se passer... jusqu'au moment où l'infirmière trébuche sur un fil et bouscule le chirurgien, qui surprit coupe, avec son scalpel, le gant en plastique de Maisy. Prise de panique elle lève les mains et s'écarte de la table d'opération. Le chirurgien observe la situation, interloqué et énervé dit: "C'est quoi ça? Vous pouvez pas faire attention, je veux pas de ça dans mon bloc, vous vous dégagez c'est terminé pour vous!" en disant cela il pointe du doigt l'infirmière. La jeune femme apeurée, sors du bloc. Il va pour se remettre au travail lorsqu'il réalise que son interne n'est plus à ses côtés mais toujours au coin de la pièce, stoïque. "Oswald ça va?" "Je ne peux pas." Il ouvre grand ses yeux. "Vous... de quoi? Vous ne pouvez pas quoi?" "Je ne peux pas revenir vers vous! C'est au-dessus de mes forces!" "Vous vous moquez de moi, certes ça peut être déconcertant mais nous avons une vie à sauver là! Reprenez vos esprits et revenez s'il vous plaît!" il se retourne et s'adresse à la foule: "Ah ces internes!" Pensant qu'elle allait revenir il comprend très vite que ce n'est pas le cas. "Bon Oswald, je veux pas de caprices dans mon bloc! Vous êtes plus une enfant..." et il continue, continue à la comparer à une enfant, mais il ne comprend pas la situation, il ne sait pas, elle regarde sa main, elle perçoit la coupure sur sa main, des larmes commencent à monter, elle n'y arrivera et s'entend alors crier: "JE NE PEUX PAS ALORS VIREZ MOI DE VOTRE BLOC JE M'EN FOUS!" Son supérieur ne sursaute pas, ne se retourne pas. Elle l'entend juste dire d'un ton glacial: "Il faut refermer le jeune homme j'ai terminé vous pouvez le faire Simon?" la personne concernée acquiesce. "Oswald vous sortez avec moi, maintenant!" Elle le suit, sachant que cela allait mal tourner. Arrivé dans le couloir, il regarde sa main:"votre main?" il va pour la prendre mais Maisy recule. "C'était quoi ce cirque?" "J'ai paniqué.." dit-elle timidement. "Pas de ça avec moi Oswald, c'était quoi le bordel que vous avez mis dans mon bloc? C'est votre égratignure elle vous fait mal?" dit-il sarcastiquement. Devait-elle lui dire? Devait-elle l'avouer? "Je suis séropositive..." dit-elle dans un murmure. "Quoi?" dit-il n'ayant pas entendu sa réponse. Elle lève la tête et le regardant dans les yeux lui dit: "Je suis séropositive!" Il se recule. La jeune femme n'est pas blessée par ce comportement, aurait-elle du l'être? Il n'arrive pas à prononcer un mot et elle ne se voit plus en prononcer, elle a tout dit.

"C'est parti pour le tournoi, vous êtes prêtes à vous faire laminer? Vous vous rappelez la dernière fois qu'on vous a battus? Oh comme c'était merveilleux combien déjà Braddy?" La voilà qui recommence. Elle en avait marre de ce foutu tournoi et de cette foutu soeur qui passait son temps à se mettre en avant, elle et ses victoires. Elle ne savait même pas pourquoi elle était venue. Chaque année  et cela depuis qu'elle était petite ils devaient amener une personne et chaque année Maisy amenait sa meilleure amie ce qui lui valait une remarque. Là encore sa soeur ne dérogeait pas à la règle. "Bon avoue-le vous êtes plus que des amies non?" dit Sarah je-sais-tout. Sa meilleure amie en rigole et Maisy lui lance un regard noir. Qu'est-ce qu'elle peut l'énerver. Sarah revient à la charge mais leur grand-frère s'interpose et propose de jouer au base-ball. En effet c'était un peu la raison de sa venue. Elle avait besoin de se défouler après l'accident à l'hôpital. Elle se rappelle encore le lendemain, elle pensait que tout le monde allait être au courant alors qu'au final non. Tout le monde se comportait normalement excepté le docteur Jones qui l'évitait soigneusement. Pensant que personne n'allait s'en apercevoir ce fut avec surprise qu'elle put entendre sa soeur dire à la famille: "Vous savez quoi? Maisy fait fuir officiellement les chirurgiens!" Tout le monde la regarde, curieux. Maisy étonnée par cette intervention des plus soudaines lui dit: "Tu peux m'expliquer là? Je dois dire que je ne te comprends pas!" "Eh bien apparemment après ton caprice dans le bloc de Jones....Il ne veut plus travailler avec toi!" Connard pensa-t-elle. Sa meilleure amie s'adresse alors à elle: "C'est vrai?" "C'est quoi cette histoire de caprice?" entend-elle. C'est le petit-copain de sa soeur, son meilleur-ami à elle enfin son ancien. Elle le regarde alors, perçoit l'incompréhension ce qui l'énerve. "Qu'est-ce que ça peut te faire au juste?" dit-elle franchement. Sarah prend la parole. "Ne lui parles pas comme ça d'accord? Je vais vous dire, juste parce qu'il y a eu un petit accident madame à crier qu'elle ne voulait plus assister à l'opération! Certainement parce que t'avais peur de tout faire foirer! Comme quoi avoir une mémoire photographique ne sers pas tout le temps!" Alors c'était de là que tout venait. Sa grande soeur était-elle jalouse de sa mémoire? Elle va pour lui répondre lorsque le grand frère, Braddy, de nouveau décide de s'interposer entre les deux soeurs. "J'ai dit que je voulais jouer, alors on joue!" Danny lui réponds par un soufflement avant de s'éloigner et de se remettre sur la base, Sarah va pour lui dire quelque chose mais Braddy est plus rapide: "Qu'est-ce que t'as à lui chercher des noises tout le temps! T'es énervante Sarah!" Elle soupire et se dirige vers son emplacement. Pensant que les tensions allaient se calmer, la meilleure amie de Maisy se dirige vers celle-ci et lui dit: "tu vas laisser tomber?" Elle l'observe alors et son amie comprend alors que ce n'est pas le cas. "C'est bien ce que je pensais." C'est au tour de Maisy de lancer la balle lorsque Sarah prend la parole: "Ne panique pas cette fois-ci et vise bien!" dit-elle sournoisement. Cela la fait alors sortir de ses gonds et au lieu de viser en l'air, vise sur sa grande soeur, qui la reçoit de plein fouet sur la poitrine. Débute alors une bataille entre les deux, les personnes autour essaye bien de les séparer mais en vain. Ce n'est que quand Maisy reprend ses esprits qu'elle crie: "stop, stop c'est bon tu as gagnée!" elle s'écarte de sa soeur, regarde si elle n'a aucune égratignure, jette un coup d'oeil sur sa soeur. "C'est bon, tu n'as rien?" dit-elle sachant pertinemment que ce qu'elle venait de dire allait faire polémique. "T'es folle!" dit Sarah en se relevant et en allant se faire réconforter dans les bras de son petit-copain. Son frère Braddy va pour l'aider mais elle refuse. "ça va aller je vais bien. "tu es sûre? Tu n'as pas l'air dans ton assiette?" "Tout va bien!" dit-elle sachant qu'elle-même n'arrivait pas à se convaincre.