firt we fell. then we fall. ♣ nawel

Invité Invité

Nawel Sixtine Lincoln

« The best and most beautiful things in the world cannot be seen or even touched. They must be felt with the heart. »

dossier médical

nom : Lincoln. prénom(s) : Nawel Sixtine. âge : Elle vient tout juste d'avoir trente ans mais ça ne la dérange pas plus que ça. lieu et date de naissance : Le trois janvier 1984, à Seatlle. statut civil : Fiancée, ce qui lui vaut des tas de commentaires de la part de sa fraterie. métier/occupation : Sage-femme titulaire. nationalité : Américaine et canadienne. orientation sexuelle : Elle ne s'est jamais posée la question. Elle sait que ce ne sont que les hommes qui l'intéresse. Nawel est donc hétérosexuelle. caractère : Douce, sensible, maligne, naïve sentimentalement, protectrice, attentionnée, protectrice, ouverte d'esprit, têtue, sociable, courageuse, souriante, généreuse. groupe : Salpel. avatar : Sophia Bush. type de personnage : scénario de Brant.

à hôpital

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? Bien évidemment. Et je suis d'ailleurs plus souvent à l'hôpital que chez moi. Mon fiancé me le reproche parfois. Mais j'aime mon métier et je n'hésite pas à faire des heures supplémentaires.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Connaissant la médecine, je ne panique pas. Je ne pleure pas mais j'agis. Si c'est possible bien évidemment. Sinon, je me débrouille du mieux que je peux. Puis, je dois dire que je me blesse souvent, alors j'y suis désormais habituée.
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Parfois l'un, parfois l'autre. Tout dépend de la gravité de la maladie. Mais lorsque je peux soigner naturellement, je n'hésite pas à le faire. Un bon lait miel pour la voix, et voilà que c'est reparti !
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? J'ai bien évidemment, déjà essayé de fumer mais ça ne m'a absolument pas donné envie de recommencer. Du coup, je ne fume pas. Par contre, lors de soirées, il m'arrive de boire. Un peu trop même. Certains se souviennent de moi dans des attitudes honteuses d'ailleurs.
✂ t'as des problèmes de santé connus ? J'ai une phobie dont je ne suis pas très fière d'avouer. L'astraphobie, qui est donc la peur du tonnerre. Dans ces moments-là, j'ai besoin que quelqu'un soit prêt de moi.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Ma mère ayant eu un cancer de sein mais a réussi à le combattre avec détermination. Je l'admire d'ailleurs pour cela mais j'espère ne pas l'avoir à mon tour. Pour l'instant, il n'en est rien.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? Jusqu'à ce jour, je ne crois pas avoir d'allergie. Ensuite, j'ai simplement des petites maladie dans une statistique se trouvant dans la moyenne.

derrière l'écran

Coucou ! Je m'appelle Dorine, j'ai dix-huit ans. J'ai beaucoup de passions dont les CDs (une grosse collection), la danse, le graphisme, les animaux...Sinon, votre forum est juste sublime !

Invité Invité

histoire

Née trois minutes avant la naissance de mon frère jumeau, je suis ainsi considérée comme la cadette de la famille. Une famille dans laquelle nous sommes tous très liés, très unis. Une grande force. Évidemment, il existe parfois des tensions, des querelles. Comme dans toute famille "normale". Enfant, je me souviens avoir surtout été proche de l'aîné, Brent mais aussi de mon faux jumeau. Je ne compte plus les fois où ils me taquinaient et où je leur rendais la pareille. Des chatouilles. Des blagues. Que de bons souvenirs qui me font me dire que j'ai de la chance d'avoir une telle famille. Mais attention, je n'étais pas si facile que cela, à vivre. Heureusement, je me suis améliorée depuis le temps. J'allais souvent cacher les chaussures de mes frères ou de ma sœur. Ils me demandaient de leur rendre mais que nenni, j'étais tellement têtue que je rigolais dans mon coin, en leur donnant tout de même quelques indices. Je perdis à chaque fois puisque mes parents me remontèrent les bretelles à chaque fois. Je pleurais dans mon coin et ma fratrie venait me voir, me disant qu'ils me pardonnaient. Puis, je recommençais encore et encore avec d'autres bêtises plus enfantines les unes que les autres.

Je rentrais du collège -après avoir tout de même passée un peu de temps au parc- pour retourner à la maison, comme tous les soirs. Mais cette fois-ci, j'étais en pleurs. Lorsque j'ouvris la porte, je fis disparaître mes larmes. « Nawel, papa et maman s'inquiétaient pour toi ! » Je ne fis pas vraiment attention à ce mon frère venait de me dire. Je voulais simplement monter dans ma chambre et me mettre dans mon lit. Afin de ne pas montrer que j'avais pleuré, je ne montrais pas mon visage. Mais mon jumeau me connaissait si bien qu'il avait remarqué que quelque chose n'allait. Alors que j'étais rentré dans ma chambre et m'étais allongée sur mon lit, il vint me rejoindre. « Qu'est-ce qu'il ne va pas, Nawel ? » « Teddy... » Pas besoin de dire que mon premier petit-ami qui était maintenant mon ex m'avait larguée. Lui, il m'avait tout de suite compris. « Tu peux pleurer, ça te fera du bien. » Pas besoin qu'il me le dise pour que cela se fasse. Il m'avait serrée contre lui et je m'étais blottie contre lui finalement contente de ne pas avoir choisi la solitude aux bras de mon frère.

J'ai souvent eu des regrets en ce qui concerne les histoires d'amour. Les regrets de ne me pas m'être éloignée quand il l'aurait fallu, pour ne pas tomber amoureuse et ensuite être déçue. Du coup, je me disais à chaque fois que cela n'arriverait plus. A un moment, ça a bien marché, je n'allais plus aussi loin que l'amitié. Mais un homme m'est tombé dessus. Un homme dont je suis tombée amoureuse. Un ancien soldat de l'armée. Je l'ai repoussée. Je ne voulais plus être déçue. Malheureusement, je suis revenue vers lui. « Je te promets de ne pas te faire de mal. » « Pas de promesses, s'il te plaît. » On s'est mis en couple. Et j'étais réellement heureuse. Prête à prendre le risque qu'il me lâche un jour, ce que je n'espérais évidemment pas.

« Je t'aime et je veux que tu sois ma femme, Nawel. » Les papillons dans le ventre, qui disait que ça n'existait pas ? En tout cas, il se trompait car je les ai ressentis à ce moment-là. J'étais si heureuse. Mais mes frères ne l'étaient pas. Aucun des trois. Je descendais alors de mon bonheur. Ils me disaient de ne pas me marier à lui. A la longue, j'avais appris à les écouter. Peut-être ont-ils raison après tout. Mais je ne sais pas, depuis que je suis avec lui, je suis tellement heureuse... Je n'ai aucune idée de ce que je devrai faire. Arrêter ou continuer ? Peut-être que pour une fois, ma fratrie se trompe. Peut-être veulent-ils que je sois malheureuse ? Peut-être sont-ils jaloux ? Je n'en ai réellement aucune idée.

+ MPottez-moi pour des liens !