« Taylah. » Sa voix était douce, sa voix était la seule chose que tu avais besoin d'entendre. Mais en même temps, tu ne voulais pas l'entendre. Tu venais de la laisser, laisser la seule personne que tu avais jamais réussi à aimer. Tu savais que c'était une erreur, mais quand tu avais déménager à San Francisco tu t'étais promis de ne pas tomber en amour, mais bien sur ton coeur ne t'avais pas écouter. « Taylah, ne fais pas cela. Je sais que tu ne veux pas me laisser. Je sais que tu m'aimes. » Tu entends dans sa voix les craquement qui indique que les larmes ont commencés à couler. Ta main est sur la poigner de la porte, tu n'ose même pas la regarder. Tu sais que lorsque tu ouvriras la porte, elle retournera à être qu'une infirmière et toi une chirurgienne mariée à son travail. Tu retiens les larmes qui veuillent que tomber. Tu sens le mouvement derrière toi, tu sais qu'elle s'approche, et tu sais aussi que si tu te laisses faire, tu ne vas pas faire ce que tu dois faire. La laisser avant que tout devienne trop sérieux et que tu finisse avec un coeur brisé comme tu l'avais été il y a si longtemps. Tu sens sa main se glisser dans la tienne. Tu inspires tranquillement, essayant de contrôler ton corps qui ne veut qu'une chose, la toucher. « Stacey... S'il te plaît. » Ta voix habituellement si ferme et autoritaire sonne comme une adolescente qui est incertaine d'elle-même. Tu essayes de te contrôler, et tu fais la seule chose que tu sais que tu peux faire. Pour une dernière fois, une dernière fois avant que tu mettes fin à la seule bonne chose dans ta vie à part ta carrière. Tu te retournes et l'embrasse. Un baiser qui dit au revoir, un dernier baiser, une baiser qui veut tout dire, qui lui montre que tu l'aimes, mais tu ne peux pas te permettre de l'aimer. Et avant même qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, tu ouvres la porte et te retrouves dans les couloirs de l'hôpital. Tu prends une grande respiration, met ton regard que tu portes toujours quand tu travailles et part en direction de ton département sans regarder en arrière pour ne pas voir le visage de celle que tu avais tant aimé.

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Tu l'as regarde. Tu sais que tu ne devrais pas, mais tu ne peux pas t'en empêcher. Cela fait maintenant un an que tu l'as laisser. Tu as entendu qu'elle n'avait jamais été avec quelqu'un de sérieux à nouveau. Personne ne sait vraiment que c'est toi son dernier amour. Tout le monde pense que c'est quelqu'un que personne ne connaît. Tu n'as jamais voulu mettre ton homosexualité devant tout le monde dans le monde hospitalier. Tu préférais le garder pour toi-même. Ne voulant pas laisser le commérage sur ton cas grandir. Tu ne veux simplement pas que la personne que tu es devienne plus importante que ton travail. Tes yeux sont sur elle, elle ne t'a presque pas reparler depuis un an. Elle t'évite du mieux qu'elle peut, elle ne te parle que si elle doit vraiment. Le problème est que maintenant, elle vient de se faire transféré en neurologie. Elle va devoir travailler avec toi. Tu le sais bien, tu sais qu'elle ne va pas te pardonner, mais tu espères simplement retrouver l'amie que tu avais perdu dans tout cela. Tu essayes de prendre ton courage pour l'approcher. Elle et toute sa beauté. Mais tu en es incapable. Tu es planté la dans le milieu de ton département. Tu allais enfin avancé vers elle, quand les portes s'ouvre et une femme qui te dit quelque chose se dirige vers la station des infirmières. Puis avant que tu sois capable de faire quoi que ce soit, une des infirmières te pointe du doigt et avant même que tu réalises ce qui arrive tu vois celle avec qui tu avais coucher à quelques reprises quand tu te sentais seule se diriger vers toi et tu sais déjà ce qui va arriver avant même que cela arrive. Sa main est sur ton visage et tu sais que les rumeurs à ton sujet ont déjà commencés. « » Elle éclate de rire et tu sais qu'elle va te frapper à nouveau et quand sa main te touche. « Tu aurais au moins pu apprendre mon nom. » Tu lèves ton regard et tu sais que tout le monde te regarde, mais la seule que tu vois c'est elle, Stacey. Tu soupires tranquillement et tu sais que si tu voulais essayer de recoller les morceaux, maintenant c'est terminé. Tu regarde celle qui venait de te frapper à deux reprises. Et tu soupires. « Écoutes, je ne cherches rien. Peut importe qui tu es, je suis désoler pour peut importe ce que j'ai fais, mais si tu as un problème avec moi, si tu peux s'il te plaît attendre après que j'ai fini mon chiffre au lieu de perdre mon temps... » Tu l'as vois éclater de rire et tu sais que les rumeurs sont partis, il n'y a plus de possibilité de cacher ton secret. Après un commentaire que tu n'a même pas pris la peine d'écouter, tu vois celle-ci partir et tu veux simplement te cacher, mais tu prends ton regard sérieux et te dirige vers le bureau, prend un dossier et part dans une chambre pour faire la seule chose à laquelle tu sais qui ne va jamais te laisser tomber. Ton métier. La médecine.