C'est le printemps! Pour tout savoir sur la nouvelle version, c'est ici ! |
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Invité Invité
| Sujet: - enter, sandman - Jeu 21 Nov - 20:45 | |
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WEIR, CHARLES just shut your mouth, and go on dossier médical nom : weir, un héritage lointainement irlandais. prénom(s) : charles, mais bien trop pompeux à son goût. il préfère se faire appeler charlie, même par les patients qui insistent pour l'appeler docteur. il a horreur de ça. âge : trente-quatre ans. lieu et date de naissance : août 79, dans le nevada. statut civil : maqué à une jolie interne. métier/occupation : diplômé en chirurgie générale, il préfère rester un simple médecin urgentiste. il n'opère que rarement, parce qu'il est un homme de terrain, mais principalement car les patients n'ont pas confiance en sa gueule de mauvais garçon, même s'il n'est plus un gamin, a une lourde expérience du métier et surtout beaucoup de talent. lassé de voir les malades passer leur tour à l'évocation du nom de weir, son chef de service décida simplement de le rapatrier vers les urgences. il lui arrive d'opérer de temps en temps cela dit, même s'il y a presque perdu goût. nationalité : yankee. orientation sexuelle : hétéro, depuis qu'il est fœtus. caractère : déterminé, passionné, hyperactif, rancunier, têtu, accessible, impulsif, patient, anxieux, arrogant, combatif, dévoué, loyal, égayant, débrouillard, perfectionniste. groupe : scalpel ou stitch, je sais pas trop du coup. avatar : charlie hunnam. type de personnage : scénario.
à hôpital ✂ l'hôpital t'y vas souvent ? j'y vis mec, alors oui, on peut dire que j'y suis souvent. un urgentiste, contrairement à certains hauts placés qui passent plus de temps avec le cul collé sur leur chaise que le stéthoscope à la main, se doit de passer le plus clair de son temps à l'hosto. les patients n'attendent pas. ça doit faire des mois que j'n'ai pas dormi deux nuits de suite dans mon propre pieu. le rythme est dur, mais c'est aussi pour ça qu'on fait ce job. l'adrénaline. ✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? un pansement et c'est réglé, j'suis pas du genre à piailler comme une gonzesse à la moindre coupure. une fois, je suis tombé à moto en prenant un virage trop serré. une belle entaille sur la cuisse, et un mal de chien à la cheville, mais j'ai pas cherché à comprendre. trois jours plus tard, on me forçait à prendre un congés maladie de deux semaines, pour infection carabinée et double entorse. comme quoi jouer les machos rend rarement service. ✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? par médecine douce, t'entends les extraits d'huiles essentielles et toutes ses conneries? non, très peu pour moi, merci. si j'arrive pas à me guérir sans rien prendre, je me cantonne à mon ordonnance, et puis basta. cela dit, j'suis jamais malade, donc la question ne se pose pas. ✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? quelques bières devant la télé, j'appelle pas ça mettre ma santé en danger. la clope au quotidien, elle, par contre, c'est une autre histoire. j'essaye de décrocher depuis plusieurs années, mais j'crois qu'au fond, j'en ai même pas envie. la clope t'aide à passer le temps, même s'il est vrai qu'elle te consume à petit feu: mon meilleur ami et son cancer en sont les parfaits exemples. mais au final, on mourra tous un jour ou l'autre, non? ✂ t'as des problèmes de santé connus ? quelques soucis d'hypertension de temps en temps, mais ça s'arrête là. ✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? nope, mes ancêtres se sont toujours portés à merveille. ✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? comme j'te l'ai dit, j'ai une santé d'enfer. un petit rhume chaque hiver, et ça s'arrête là. j'dois tomber malade une fois tous les trois ou quatre ans, mais quand ça m'arrive, j'peux te jurer que je fais pas semblant. méningite, pneumonie, les merdes du genre. mais honnêtement, je préfère ça à une gastro tous les mois.
derrière l'écran bwarf, que vous dire de bien intéressant sur moi les loups? je m'appelle laure, je n'ai pas de pseudo, 21 ans, et suis actuellement en master 1, master dans lequel j'étudie l'astrophysique. ça suffira? j'aime pas tellement parler de moi, en fait
Dernière édition par Charlie Weir le Ven 22 Nov - 13:37, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Jeu 21 Nov - 20:46 | |
| soundtrack to my life ------ what will we become, brother? Les yeux levés vers le ciel, la clope au bec et les mains encore gantées et tachées du sang du pauvre accidenté de la route que tu viens d'intuber, tu contemples les nuages et, lentement, fermes les paupières pour te laisser bercer par les doux grondements de l'orage guettant. Tu as toujours aimé la pluie. Rouler à moto sous une belle averse, y'a rien de mieux pour te faire prendre un pied d'enfer. Tu as toujours aimé la pluie, mais ta conscience de médecin aimerait t'en dissuader: quelques gouttes et la population s'affole, les urgences se remplissent et la situation devient épique. Une petite vieille tombée devant son paillasson, un skateur au bras fracturé, un mec aux jambes brisées suite à un superbe aquaplaning: tes patients, tu les connais par cœur, et ne peux t'empêcher de soupirer d'avance face à la longue nuit qui risque de t'attendre. Non, tu ne retrouveras pas ton pieu ce soir, pas cette fois. Alors, tandis que le soleil commence déjà à se coucher, tu te contentes de caler ta cigarette entre tes lèvres et de fourrer tes mains dans tes poches, paisible. Pas un bruit, pas le moindre élément perturbateur, et pourtant, t'arrives pas à te vider l'esprit, et à oublier, rien que le temps d'une minute, l'incident qui te hante depuis bientôt vingt-quatre heures. Un patient particulièrement amoché? Non, rien de tout ça, t'as assez d'expérience pour ne plus gerber à chaque exposition de chair fraîche. Non, c'est bien plus futile que ça, mais à la fois tellement plus compliqué. Une demi-bouteille de whisky à lui tout seul, et hier soir, c'était ton meilleur ami qui t'embrassait à pleines lèvres en guise d'au revoir. Ton meilleur ami de quinze ans, ton frère, celui avec qui tu as vécu de longues années, celui dont tu as été le témoin de mariage, celui qui connait ta vie mieux que quiconque. Alors non, tout ça, t'arrives pas à te le sortir du crâne, probablement parce que, malgré tout le mal que tu te donnes, t'arrives pas à comprendre son geste, mais surtout pourquoi toi, t'as répondu à ce baiser. William est un cancéreux fatigué de se battre, abandonné par sa femme, et toi, t'es bien la seule personne encore là pour lui, son seul pilier plus ou moins stable au milieu de toute la merde qui l'entoure. Alors t'essayes de te persuader que c'était un acte désespéré, une sorte d'appel à l'aide venant d'un homme qui n'a plus rien à quoi se raccrocher, juste toi, toi et votre amour fraternel. T'as envie de lui demander pourquoi il a fait ça, et surtout pourquoi ça t'a fait cet effet-là. Mais t'en as pas les couilles, pas le courage, alors tu préfères laisser le malaise planer, planer jusqu'à ce qu'il vous éloigne, même si au fond, rien que l'idée de le laisser seul te rend malade. "Weir! Putain Weir, lâchez cette clope et ramenez-vous, on a b'soin d'votre aide!" Et là, tu finis par ouvrir les paupières: devant toi, deux ambulances, beaucoup de cris et surtout, cette odeur de sang qui te brûle les narines et accélère les pulsations de ton cœur. Le devoir t'appelle. Alors tu cours, slalome entre les brancards, puis t'arrêtes devant celui d'un petit garçon bien amoché, qui plante ses pupilles larmoyantes dans les tiennes, comme s'il semblait avoir vu Dieu le Père. "Qu'est-ce qu'on a?"--------------------- ------ I told you I was trouble, You know that I'm no good. Une main, des doigts qui glissent doucement sur ton torse et qui, à chaque grain de beauté, marquent un temps d'arrêt, pour reprendre lentement leur chemin. Tes yeux demeurent fermés, mais tu le sais, tu le sens, tu les connais par coeur. Toutes les femmes que tu as connu n'ont eu cesse de te radoter la même chose, en pensant toutes taper dans l'original. C'est marrant, on dirait une constellation. Parce que j'ai été créé par les dieux eux-mêmes. C'est ce que tu leur réponds à chaque fois, sachant que la carte du prétendu prétentieux est une valeur sûre et intemporelle. Perdu entre le sommeil et l'éveil, le conscient et l'inconscient, tes paupières restent closes et ton esprit embrumé. Tu n'as aucune idée de qui peut-être la fille à tes côtés, l'heureuse propriétaire de cette hanche délicieusement galbée sur laquelle ta main semble être posée. Et là, maintenant, tout de suite, tu t'en fous royalement. Tu ne penses à rien, seulement bercé par ce silence apaisant, cette odeur de café frais, et ses doigts fins qui ne cessent de taveler ta peau. Tu pourrais rester ainsi des heures, au calme, paisible, loin du vacarme et de l'adrénaline constante de ton quotidien. Tu mènes ta vie à cent à l'heure, et c'est comme ça que tu l'aimes, mais quelle machine n'a pas un jour besoin de recharger ses batteries? Le repos du guerrier, comme le dirait ton meilleur ami. Puis son visage te revient à l'esprit, vos soucis avec et, déployant finalement tes pupilles d'un bleu profond, tu décides de balayer William et vos 'différends' d'un coup de cils, plongeant ton regard dans celui de celle dont le corps épouse divinement bien le tien. Marilou. Tu t'en souviens maintenant. Cette petite externe avec qui tu partages ton lit et ta vie depuis plusieurs semaines maintenant. Une jolie blonde aux traits doux et à l'iris bleutée. Ton reflet, en quelque sorte, si ce n'est qu'elle est bien plus belle que tu ne peux être beau, et bien plus belle que toutes les femmes que tu as pu rencontré. Alors tu la fixes, quelques secondes, et contemple le superbe sourire qu'elle daigne t'offrir. "Bonjour bébé," et d'un geste lascif, ta main vient se caler dans sa nuque, tandis que tu attires son visage vers le tien pour poser sur ses lèvres le plus chaste des baisers. Front contre front, tu lèves ta main encore engourdie, et viens caresser sa tempe du bout des doigts, répondant à son sourire déployé. Puis, prudemment, comme si tu avais peur de la briser à chaque instant, tu laisses ton nez se frayer un chemin vers son cou, et humes à plein poumons l'odeur que dégage sa peau. "Putain, qu'est-ce que j'aime ce parfum, c'est dingue...", et elle rit doucement, amusée par cette phrase que tu lui répètes sans cesse. "Tu radotes, vieil homme. Alzheimer te guette, c'est bien triste." Marilou sent constamment la fleur, la candeur aussi. Une sorte d'analogie qui, même lorsque tu as les yeux fermés et ne peux voir ses traits de poupée, te rappelle à quel point ta copine est encore jeune. Onze ans vous séparent, et bien que tu tentes de te convaincre qu'un vieux biker surdiplômé comme toi n'a rien à faire avec une fille comme elle, tu n'arrives pas à t'y résoudre. Marilou n'a rien d'une gamine écervelée, bien au contraire. Elle est brillante, sera probablement un grand chirurgien, a la tête sur les épaules, et ce grain de folie qui a le don de te faire fondre à chacune de ses frasques. Dieu seul sait à quel point tu as bataillé pour l'avoir, et les milliers de dollars que tu as pu dépensé à la machine à café pour lui offrir à chaque heure de la journée le même sempiternelle chocolat au lait. Le pire, c'est que tout ça, ça ne te ressemble absolument pas. Toi, t'es qu'un coureur de jupons pour lequel les filles se bousculent. Trente-quatre balais, et pourtant, t'as jamais cherché à te poser. Parce que Marilou est différente de toutes les autres nanas que t'as pu fréquenté? Oui, certes, mais au fond, tu sais qu'on est bien loin du compte. Tu es attachée à elle, peut-être même qu'un jour, tu l'aimeras du plus profond de ton âme, comme elle le mérite, mais aujourd'hui, il n'en est rien. Aujourd'hui, Marilou n'est qu'un joli pansement collé sur une plaie que t'arrives pas à guérir. Celle laissée par ton meilleur ami, qui te manque du plus profond de tes tripes. Tu lui en veux pour ce baiser alcoolisé qui t'a tant déstabilisé, tu lui en veux de vous avoir laissé vous éloigner, tu lui en veux aussi de refuser de se soigner. Tu lui en veux tellement, mais en même temps, t'arrives pas à le détester. Parce qu'au fond, Will, c'est tout ce que t'as. Mais t'essayes tant bien que mal de te convaincre du contraire, de te foutre dans le crâne que, désormais, t'es plus tout seul. T'as Marilou, et t'as tellement, tellement envie de l'aimer. Alors, te redressant, tu t'assieds contre la tête de lit et, d'un geste habile, attrape la taille de la belle et viens doucement l'asseoir sur tes hanches, déposant tes deux mains au creux de ses reins. D'un coup d'oeil, tu la toises et, approchant ton visage du sien, viens l'embrasser de nouveau. "Tu pars déjà?", que tu murmures contre ses lèvres. Et à son tour, elle vient caler ses deux paumes sur tes joues, et ponctue ta question d'un énième baiser. "Yep, y'en a qui bosse aujourd'hui, contrairement à certains," qu'elle déclame en insistant sur le dernier mot. Tu ne peux t'empêcher de laisser échapper un léger rire, accompagné d'un sourire satisfait. "C'est mon premier jour de repos d'puis deux ou trois semaines, alors j'te prierais de n'pas trop la ramener jeune fille." Tu baisses les yeux et, soudainement, les motifs de ta housse de couette semblent devenir fort intéressants, et ta voix bien moins assurée qu'habituellement. "Cela dit, j'aurais préféré le passer avec toi." Et Marilou couine, rigole, manque de hurler, manifestement emerveillée par un tel élan de tendresse, bien qu'uniquement verbal. C'est ça qui te plaît terriblement chez elle. Et elle t'attire vers elle, parsème ton visage de dizaines de petits baisers auxquels elle ne te laisse même pas répondre. "Préviens-moi la prochaine fois que tu comptes lâcher une telle bombe. Je viens de frôler l'AVC, connard." Énième sourire, et tes pupilles finissent par retrouver les siennes. "Laisse-moi partir mon chat, je suis déjà en retard. Abbey va me tuer, et je serais obligée de lui dire que c'est de ta faute..." "Laisse-moi une minute, le temps de me mettre un truc sur le dos, et je t'y emmène en moto. Ça ira bien plus vite que ton vieux taco pourri." Ne jamais la quitter, autant que faire se peut. ---------------------
Dernière édition par Charlie Weir le Sam 23 Nov - 23:25, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Jeu 21 Nov - 20:51 | |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Jeu 21 Nov - 21:39 | |
| Charlie y'a même pas de mot pour décrire ce type bienvenue |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Jeu 21 Nov - 21:41 | |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Jeu 21 Nov - 21:49 | |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Ven 22 Nov - 15:25 | |
| Oooh, bienvenue, toi!! |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Ven 22 Nov - 16:42 | |
| OMG OMG OMG CHARLIIIIIE Okay je reste zen Welcome |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Ven 22 Nov - 17:55 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - Sam 23 Nov - 12:46 | |
| C'est tout bon pour moi aussi. À cause de l'âge, je le vois bien chez les Scalpel, plutôt que les Stitch. scalpel please ! Te voilà désormais validé ! Tu peux d'ores et déjà aller poster dans le flood, les jeux, et bien entendu rp. Mais avant toute chose, nous te demandons juste de passer par ici pour recenser ton métier. Ce sont des passages obligatoires pour qu'on s'y retrouve un minimum sur le forum ! Ensuite, tu es libre d'aller te créer une fiche de liens, de sujets, et puis... Enjoy |
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| Sujet: Re: - enter, sandman - | |
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