nom : Dawson. prénom(s) : Astrée. âge : 32 ans. lieu et date de naissance : New York. statut civil : Célibataire. métier/occupation : Titulaires chirurgienne obstétrique. nationalité : Américaine. orientation sexuelle : hétérosexuelle. caractère : Ambitieuse - appaisante - attentionnée - audacieuse - autoritaire -bienveillante - capricieuse - charismatique - conscienceuse - confiante - concentrée - courtoise - créative - cultivée - curieuse -délicate - dévouée - directe- distinguée - douce - énigmatique - féminine - fière - fouinarde - fougueuse - gourmande - impatiente - impulsive par moment - ironique - jalouse - leader - optimiste - passionnée - protectrice - rancunière - réaliste - têtue. groupe : Scalpel. avatar : Gemma Arterton. type de personnage : scénario.

✂ l'hôpital t'y vas souvent ? Bien sûr que je vais souvent à l'hôpital. J'y travaille et j'adore mon travail. J'y vais donc minimum cinq jours sur sept, mais j'arrive tout de même à y aller parfois sept jours sur sept.
✂ quand t'as un bobo, tu pleures ou t'es du genre à prendre les devants et à te recoudre avec ce que t'as sous le coude en mode mc gyver ? Peu importe la blessure, je garde toujours mon calme. Je ne comprend pas pourquoi on devrait paniquer quand l'on se blesse. Bon, d'accord, il y a la douleur, mais il y a possibilité de la contrôlé quand on s'y ment. Si jamais il m'arrive de m'ouvrir la peau, je me recoudrais sans problème.
✂ quand t'es malade, t'es du genre repas fait de médocs ou médecine douce ? Tout dépendant du genre de la maladie. Si c'est quelque chose de passager, je prendrais usage de patience et du temps. La médecine douce est toujours apprécié, mais si jamais c'est une plus grosse maladie, j'agirais différemment, j'irais peut-être vers le bourrage de médicaments.
✂ tu mets ta santé en danger ? tu fumes, tu bois ? Malheureusement pour moi, il m'est arrivé de fumer, mais heureusement j'ai arrêté il y a trois ans. J'avais commencé à l'âge de vingt-et-un ans, une année des plus difficile pour moi. Je bois, mais seulement par occasion. Je ne bois pas sans raison.
✂ t'as des problèmes de santé connus ? Pas vraiment, sauf peut-être un traumatisme suite à la perte de mon enfant il y a de cela onze ans. J'aurais un fils de onze ans si je n'avais pas eus se problème de malformation utérine qui a causé la mort de mon bébé.
✂ ta famille t'a transmis des antécédents médicaux pas très glorieux ? Non, mes parents ne m'ont jamais transmit une maladie, je ne connais rien qui pourrait me causer des problèmes de santé face à mes parents. Plus j'y pense, ma mère est décédée d'un sclérose en plaques et il y a des risques que cette maladie neurologique me sois transmise, mais pour l'instant, il n'est pas en vu.
✂ t'es du genre allergique ? t'attrapes souvent le premier virus qui passe par là ? J'ai seulement une légère allergie aux animaux à poil, mais elle se contrôle assez bien avec quelques médicaments, ça se fait bien. J'ai un système immunitaire assez fort, si jamais j’attraperais le premier virus qui passe, je ne serais pas vraiment affecter, du moins pas pour longtemps, le temps que mon corps s'y habitue.

Avant même ma naissance, mon père est décédé laissant ma mère seule enceinte de huit mois et demi. Ce n'était en rien de sa faute, c'est son travail qui a causé sa mort. Il est décédé lors d'une fusillade dans laquelle mon père a été impliqué. C'est ça faire partie de la division criminel de la police de New York. Ma mère s'est retrouver à l'hôpital quelques jours plus tard avec son frère. Elle accouchait, quelques jours en avance, faut dire que j'étais pressé de quitter ce petit ventre confortable. Je suis arrivé à exactement minuit et quinze secondes. trois jours avant la date prévue. Je suis née, heureuse et en bonne santé. Je n'avais rien d'anormal, tous mes tests de nouveau-né étaient dans la norme. Mon oncle me prit avec lui quelques jours plus tard, laissant ma mère à l'hôpital, elle devait faire face à plusieurs tests physique vu sa maladie. Ça ma prit deux semaine avant que ma mère et moi soyons réunie à nouveau. Les quatre premières années de ma vie furent belles et mon oncle et ma tente faisait partie entière de ma vie. C'était une vie super, ma mère était là, mais parfois j'ai l'impression qu'elle n'était plus là. Le jour de mes quatre ans, la terre l'appela et elle me quitta pour toujours. Je n'ai aucun réelle souvenir de ma mère. Je me souviens parcontre de la naissance des jumelles. Nous avons quatre ans de différence et j'étais toujours plus avancer qu'elle. Mais je les aimais : Daisy et Louve.

J'avais douze ans au matin que mon oncle entra dans ma chambre et s'installa au pied de mon lit, moi toujours endormis. Je me tourna et me heurtai à sa cuisse. Je pris l'envie de me lever et me tournai vers lui. Cela faisait quelques années qu'il évitait le sujet de ma mère. Je lui demandais souvent comment elle était, mais il ne me répondait jamais, il n'avait pas envie d'en parler. Mais quelque chose me disait que ça allait changer ce matin là. Je me redressai encore endormis et m'approchai de lui et le fixant. Je passai ma main dans mes cheveux les replaçant. Il me prit contre lui pour la première fois depuis des années. Il me regarda dans les yeux avant de prendre la parole. « Plus tu grandis, plus tu ressemble à Astrid. Tu sais, c'est d'elle que tu tiens ton nom. Ma soeur était un amour, un coeur en or, je ne me sentais pas capable de te parler d'elle, simplement parce qu'elle me manque. » Je me serrai contre lui, il était tout aussi triste que moi. La mort de ma mère datait de huit ans déjà. Je pouvais comprendre ce manque, puisque je n'avais jamais pus connaitre me mère. Il sortit une photo de sa poche, c'était ma mère, lui et moi, le jour de ma naissance. Il en sortit une autre d'eux deux quand ils avaient mon âge. L'illusion y était... Je ressemblait à une mèche de cheveux prêt de ma mère. Il m'offra cette photo, la seule que j'avais de ma mère. En bas, j'entendais Daisy et Louve se tirailler, encore et toujours. Je me mis à rire et donnai un petit coup sur l'épaule de mon oncle avant de sauter hors du lit. « Allez, mon oncle! Moi je suis là, et si je suis comme tu le dis, comme ma mère, il n'y aura aucun problème. » Je courus vers les escaliers et les dévalé pour le déjeuner. J'avais faim.

Dix-huit ans, j'ai ma valise sous le bras, je pars pour l'UCSF School of Medecine, en Californie, à San Francisco pour être exacte, du moins c'est mon but, je devais tout d'abbord atteindre mon Bac de biologie. Je suis sur le bas de la porte et regarde Louve de loin. Elle est restai sur le divan à côté de sa soeur. Je poussai un soupire en déposant ma valise. Je m'approchai et agrippai un coussin et lui balancer à travers la tête. Louve se rua vers moi et je me mis à courir. Elle avait quatorze ans et elle allait me manquer. Quand j'arrivai près de la porte, je m'arrêtai la serrant dans mes bras, le plus que je pouvais sans l'étouffer. Je laissai tomber quelques larmes en soupirant. « Tu vas me manquer Louve. - Toi aussi Astrée. - Je t'écrirai. » J'embrassai son front les saluai tous, même Daisy avant de me ruer vers le taxi Je jetai ma valise dans le coffre et entrai dans l'habitacle. Je les saluai de loin en agitant vivement la main. Un large sourire sur les lèvres, j'allais apprendre la médecine! J'étais en route pour mon rêve, j'allais le réaliser et j'avais travailler dur pour y arriver. Mes étudies ce sont bien passé, du moins mon Bachelor, mais quelque chose est venu troublé le tout entre la fin de mon diplôme et l'entré au Medical School, durant les vacances. J'avais vingt-et-un an. Je ne pourrais que l'expliquer qu'à travers les courriels que j'ai envoyer à Louve.

COURRIEL ENVOYÉ QUELQUES JOURS AVANT LES VACANCES DE NOËL.

Chère Louve,
Je ne rentrerai pas pour les vacances d'été. J'ai rencontré un garçon. Il est super, il prend bien soin de moi. Je vais l'amener aux vacances de noel, je te promet! Je le traînerai de force s'il faut. Il s'appelle Bastian, je l'ai rencontré à l'université.  Tu vas voir, il est adorable. On est ensemble depuis le début de la troisième année. Je promets de ne pas être en retard aux vaccances. Tu me manques Louve, énormément, réponds-moi vite, je veux de tes nouvelles ma belle!

Ta cousine qui t'aime,
Astrée.

COURRIEL BROUILLON LE 15 MAI SUIVANT.

Chère Louve,
Je ne viendrai pas pour les vacances. Ça va mal, j'ai quelques problèmes. En réalité, j'en ai un gros. Durant les vacances de noël j'ai omis de vous annoncer que j'étais enceinte de trois mois. Et bien ça a fait huit mois il y a une semaine, mais quelque chose à mal tourné. Je ne comprends pas vraiment ce qui c'est passé. Louve, j'ai perdu mon bébé. Je suis désolé de te l'annoncer comme ça, mais je n'arrive pas à prendre le téléphone pour appeler, ou même sortir de chez moi. Bastian est parti hier, il n'est toujours pas revenu, je crois que c'est finis. Je vais m'en sortir, ne t'inquiète pas pour moi. Tu sais que je t'aime ? Je ne te laisserai jamais tomber, je te le promet. Donne la bise à tes parents pour moi, vous me manquez.

Je t'aime, je te réécris plus tard.
Astrée.

COURRIEL ENVOYÉ LE 15 MAI SUIVANT.

Chère Louve,
Je suis pris par mes étudies, excuse-moi si je ne t'ai pas écris depuis quelques jours. C'est rendu que je m'endors sur mon bureau en pleine nuit. Je crois que je devrais aller dormir. Mais tu me manques, j'ai besoin de te parler, savoir comment tu vas, est-ce qu'il y a un garçon dans ta vie? En tout cas, Bastian est partit, mais ce n'est pas grave. Ce n'est qu'un garçon, ce n'est pas lui qui va me mettre à terre! Aller, quand tu auras deux petites minutes écris moi,

je t'aime,
Astrée.

Je ne lui au jamais dis, elle ne l'a jamais su. Je l'ai revue il y a cinq ans, j'ai reconnu cette longue chevelure brune entre mille. La joie qu'elle avait réveillé en moi. J'étais heureuse de la revoir. Je l'avais littéralement prit dans mes bras le plus fort que je pouvais, après tout, je ne l'avais pas vu depuis des années, elle m'avait manqué. On avait beau se parler par courriel et par téléphone, c'était tout, on ne se voyait pas vraiment. J'avais vingt-sept ans et elle, elle en avait vingt-trois. J'étais heureuse de la voir, nous travaillions maintenant ensemble. Encore et toujours, je la surprotégeais de tout et de rien. Je n'avais pas envie qu'il lui arrive quelque chose, je tenais à elle plus que tout au monde, plus qu'à ma propre vie, ironiquement. Je l'ai épaulé dans ses études, tout en travaillant à l'hôpital. Désormais, elle travaille dans mon service et je suis sa supérieur. Ce n'est pas parce que c'est ma cousine qu'elle a le droit à des traitements de faveur, ce n'est pas vrai, mais c'est un autorité familiale, je ne fais pas n'importe quoi.